Mise en abîme avant les cours (Pv Mr le prof de Math <3)

Ce matin-là, le réveil fût tout ce qu'il y a de compliqué pour une des jeunes étudiantes du pensionnat. Là où d'autres continuaient à dormir paisiblement, la jeune fille fût réveillée de manière assez brusque par l'alarme stridente de son réveil. Peu motivée sur le coup, elle coupa l'alarme en faisant tomber le réveil au sol avant de sortir sa tête de sous son oreiller. Aya se frotta alors doucement les yeux en, s'asseyant sur son lit, réfléchissant à la raison de son réveil si brutal. Les quelques courbatures dont faisaient preuve son corps, lui rappelèrent rapidement la soirée ô combien mouvementée qu'elle avait passé. Loin d'être déçue par la situation, elle se rappela aussi l'ordre que lui avait donné son prof de Math... Venir dans sa chambre avant d'aller en cours.

Obéïssante comme jamais, la jolie etudiante sortit de son lit et alla prendre une douche glacée pour se réveiller convenanblement. En allant vers la salle de bain, elle retira la nuisette, avec laquelle elle dormait, et entra dans la cabine de douche aussitôt après. Une fois sa douche prise, Aya attacha ses cheveux pour en faire une longue tresse s'écoulant le long de son alors q'une mèche de cheveux ondulée encadrait son visage. Peu après, elle sortit son uniforme scolaire qu'elle revêtit soigneusement : La jupe écossaise lui arrivait à mi-cuisse et laissait entre-voir un shorty rouge en dentelle. Le chemisier, un peu petit, mettait en valeur sa généreuse poitrine et le décolté faisait sous-entendre un soutien-gorge rouge en dentelle et légèrement transparent. Elle mis sa veste de blaser, ses longues chausettes arrivant au-dessus de ses genoux et ses escarpins noirs avant de sortir de sa chambre.

Comme demandée, elle monta au troisième étage pour rejoindre son professeur dans ses quartiers. Elle traversa silencieusement les couloirs, son ombre glissant contre les murs de l'école tel un fantôme. Après une dizaine de minutes, elle arriva devant la porte de son nouveau Maître et frappa délicatement contre elle-ci, les joues rougissantes comme jamais à l'idée d'entrer dans la chambre d'un professeur. Fortement intimidée par la situation, elle n'avait même pas réalisé qu'elle avait 50 minutes d'avance sur l'heure prévue.

Après sa rencontre dans la forêt, notre professeur rentra lentement à l'institut. Il avait décidé de rentrer seul, alors que la nuit était déjà bien avancé et que en tant normal, il l'aurait volontiers accompagné jusqu’à sa chambre pour se rassurer qu'elle ne rencontre pas d'autres "loup" mais aussi pour savoir ou etait sa chambre.
Mais là il avait besoin de se retrouver seul; il marcha et fit le point sur cette étudiante qu'il avait rencontré par pur hasard. Il se demandait d’où elle avait appris à être si soumise a un homme. Qui l'avait éduquer? avait elle eu un Maitre ?
Il arriva finalement dans sa chambre complétement KO. Il s'endormit directement..

Lorsqu'il entendit taper à la porte, il fut surpris. Il avait l'impression d'avoir dormi que quelques secondes. Sa folle soirée et l'eau froide avait eu un effet sur lui finalement. Il sentit un gros mal de crane...et se sentait un peu faible

il cria simplement ..
oui c quoi...

il avait complétement oublié l'ordre qu'il avait donné à Aya.

Bien que la nuit précédente eut été éprouvante et plaisante à la fois, Aya n'avait pas trop de mal à s'en remettre. Pas une seule courbature dans le corps, pas de marques sur la peau, rien. C'était à croire qu'elle avait passé une longue et reposante nuit de sommeil. La jeune fille gardait pourtant très clairement dans son esprit, le fait qu'elle s'était trouvée un Maître qui semblait pouvoir lui apporter ce dont elle avait besoin. Ainsi, vêtue de sa tenue d'écolière, la jolie soumise resta plantée devant unz qimple porte de bois avec une grande gêne.

Un susrsaut la fit sortir de ses pensées lorsqu'elle entendit parler le professeur et releva les yeux vers la porte. Observant celle-ci avec un brin d'angoisse, elle mit un temps fou à rassembler les mots pour répondre... Comme-ci la porte elle-même pouvait lui faire du mal. Après un moment, elle prit une inspiration et souffle d'une douce voix.

"C.... C'est Aya... Maître."

La jeune fille ne bougea pas d'un millimètre et baissa à nouveau la tête. Ses mains serraient nerveusement sa jupette, attendant un signe de la part de son Maître. De plus, elle espèrait soit pouvoir renter dans son dortoir soit aller dans la chambre du professeur au plus vite... Elle ne voulait tellement être vue par quelqu'un à une heure aussi matinale.

D'aussi loin qu'elle s'en souviennes... Aya a toujours été soumise. On l'a elevé à la soumission dès son plus jeune âge. Puis lorsqu'elle fut en âge de comprendre, les Soeurs l'ont initiée au sexe et à ses plaisirs. Ainsi Aya n'a jamais su dire non à un homme... Et sous ses airs angéliques se cachent une véritable tirgesse.

La réponse tarda à venir mais quand il l’entendit dire derrière la porte « C’est Aya..Maitre » Huri eut un large sourire aux lèvres. Non seulement la soirée c’était terminé d’une manière exceptionnelle mais voilà que la journée commençait dans le meilleur hospice qu’il puisse être : se faire réveiller par la voix d’une belle soumise. Son mal de crane et sa fatigue disparurent d’un seul coup.

Il jeta un coup d’œil rapide à sa chambre. Son bureau qui se trouvait en face de son lit était rempli de documents et de livres. Il y avait une lampe de bureau et un ordinateur portable encore ouvert. Il aperçut aussi dessus son téléphone portable ainsi qu’un morceau de pizza posé sur une petite assiette. Il ne savait pas depuis quand ce morceau de pizza était là. La chaise était en cuir noir et n’avait pas d’accoudoir. Le bureau était situé juste sous la fenêtre qui était à l’heure actuelle recouvert par des rideaux de couleur rouge foncé.

A droite du lit, il y avait une armoire à deux portes noirs très simple que l’on peut facile trouvé dans le magasin Ikea. Puis il y avait la porte d’entrée.

A gauche, il avait une petite bibliothèque où était rangé des livres de tous type et de tous taille. Puis il y avait une porte donnant accès à la salle de bain toilette. Celle-ci était assez simple puisqu’il avait une simple douche, un lavabo et des toilettes. Tous les murs étaient peints en blanc cassé. La seule décoration de la chambre était un tableau placé juste sous le lit. Il représentait une jeune femme nue à genou les jambes écarté les mains attachées derrière le dos. On y voyait autour de sous un collier d’où partait une chaine. Cette photo était en noir et blanc.

Par terre, prés de son lit trainé ses habits et ses chaussures. Mais pour ceux qui observaient avec détails, on pouvait voir aussi un string bleu légèrement caché sous lit.

Huri s’étira un instant, il avait besoin d’un petit instant pour ne pas lui montrer sa fatigue et un signe de faiblesse de sa part. Elle venait de l’appeler Maitre, il était hors de question qu’il lui montre que la soirée d’hier l’avait littéralement lessivé.

Il plaça son drap juste sous son nombril, montrant ainsi son torse mais pas le bas.

il finit par dire après avoir jeter un dernier coup d’œil à la chambre

« Entre..je t’attendais.. »

Aya écarquilla un peu les yeux en entendant la voix du professeur à travers la porte. Elle fut soudainement prse d'une petite angoisse à l'idée de devoir passer le seuil de cette porte. Même si la répuation de l'établissement était déjà toute faite depuis un bon bout de temps, la jeune fille n'avait jamais eu de Maître à proprement parlé. Elle ne pensait pas en trouver un pour être honnête. Après les Soeurs lui avaient ordonnée de se perfectionner, pas de se trouver un unique et véritable dominant. Et elle savait que si elles venaient à l'apprendre, elles viendraient la retirer de l'établissement ausssi sec. Perdue dans sa reflexion, elle posa inconscienment une main un peu tremblante sur la poignée de la porte.

*Si je rentre... Ça veut dire que je m'oppose aux ordres et à l'éducation des Soeurs... Je sais pas si j'ai le droit... Elles m'ont élèvée, nourrie et blanchie pendant si longtemps...*pensa-t-elle.

Silencieuse, un peu paralysée sur place, elle sortit de ses pensées et secoua la tête. Il était tant pour elle qu'elle prenne ses propres décisions, tant pis pour les conséquences qui s'en suiveront. Finalement elle abaissa finalement la poignée et ouvrit la porte lentement, laissant appercevoir peu à peu l'intérieur de la chambre du professeur. Malgré la peineombre qui était offerte par les rideaux, elle arrivait plus ou moins à distinguer les choses.

Aya entra lentement la pièce et referma la porte derrière elle avant de s'adosser dessus. Elle baissa le regard aussi tôt et crispa ses mains sur la poignée de la porte. Sa décision était prise et définitive, elle se soumettrai définitivement à son Maître et en assumerai les conséquences si cela venait à se savoir.

D'un regard gêné et rougit, Aya se mit à balayer l'endroit de regard. C'était un dortoir tout ce qu'il y a de plus banale et typique d'un professeur au vu du bureau et des livres sur la bibliothéque. Elle tourne brièvement la tête vers le lit et apperçut le cadre, ce qui la fit rougir et la mit un peu mal à l'aise. Après un long moment sans rien faire, elle retira ses chaussures par politesse avant de s'approcher du lit sans un mot. Gardant malgré tout une distance honorable, elle s'agenouila au pied du lit et posa ses mains sur ses cuisses. Avant de baisser le regard. Les joues fortement empourprées, Aya avait du mal à cacher sa gêne...

"B.. Bonjour Maître... C... Comme vous pouvez le voir... J'ai obéïe... Je suis là"

Il la regarda entrer dans sa chambre. Elle portait la tenue classique d’étudiante : Jupe écossaise, chemisier, blaser, chaussette blanche, et espadrille noire. Des filles portant cette tenue, il en voyait des dizaines tous les jours. Mais sur elle, la tenue semblait se transformer Aya en un objet de désir. Le fantasme suprême d’homme occidental classique était entièrement représenté par elle. Elle retira ses chaussures et avança vers lui. On voyait sa poitrine légèrement rebondir quand elle marchait. Ses pas était court ni trop lent ni trop rapide. Huri aimait les détails, et pour l’instant il savourait la justesse et l’élégance de sa marche. Elle se mit à genou délicatement. Il apercevoir assez rapidement qu’elle portait un dessous rouge. Mais ses yeux s’attardèrent aussitôt sur ses seins si généreux si accessible mais encore non dévoilé. Il apprécia le décolleté et la découverte du rouge de son haut.

Elle posa alors ses mains sur ses cuisses et baissa ses yeux. . « B.. Bonjour Maître... C... Comme vous pouvez le voir... J'ai obéïe... Je suis là »

On voyait très bien que cette fille avait déjà eu une éducation stricte sur la manière de se comporter avec un Maitre. Elle n’avait fait aucune erreur. Elle avait de l’expérience, il s’imaginait qu’elle avait du avoir un autre Maitre, ou même plusieurs. Il devait se montrer alors à la hauteur de son expérience. Il n’avait pas à faire à une débutante, il en était sur. Il était hors de question qu’elle s’ennuie avec lui, et qu’elle finisse par chercher un autre Maitre.

Il se leva se mettant nu devant elle. Il vit en sorte de bien lui faire voir qu’il n’était pas encore excité. Il plaça sa main sur sa joue, la caressa un instant puis avec son doigt arrangea légèrement sa mèche rebelle. Sans un mot ensuite, il se dirigea vers l’armoire et pris un boxer noir et l’enfila. Puis se mit sur sa chaise et se tourna vers elle. Il était alors en face d’elle mais légèrement éloigné

« Content que tu es obéie..retire ton blaser et déboutonne ton chemisier…j’espère que tes seins m’exciteront un peu » Il voulait qu’elle lui donne le meilleur d’elle-même.

Aya sentait monter en elle une certaine forme d'angoisse sans trop savoir la raison de cette venue. L'éducation stricte qu'elle avait reçue l'avait rendue peu sûre d'elle-même. En réalité, au moindre faux pas, les Soeurs se permettaient de la rabaisser et la corriger de manière plutôt violente. Voilà pourquoi, lorsqu'elle avait décidé de son propre chef de passer le pas de cette porte, elle avait un peu peur des conséquences qui allaient en découler. Les Soeurs allaient-elle l'apprendre ? Si oui, qu'elle serait leurs réactions ? Était-elle à la hauteur du professeur, qu'elle voyait très clairement comme son nouveau Maître ? Comment allait-il réagir si elle faisait un faux pas ?

La jeune étudiante fixait alors le sol, silencieuse après être venue s'agenouiller au pied du lit. Les mains posées sur ses cuisses, elle ne se rendit même pas compte qu'elle serrait très nerveusement sa jupe. Légèrement perdue dans ses pensées, elle en fût extirpée lorsqu'elle entendit du mouvement. Son visage se releva un peu, Aya se trouva face à son Maître qui venait de se lever et qui, visiblement, dormait nu. Elle remarqua clairement qu'il n'était pas excité mais ne fit aucunes remarques et ne s'attarda même pas sur ce détail. Elle leva les yeux pour le regarder, bien plus intimidée que lorsqu'elle l'avait rencontré dans la forêt.

En réalité, la scène avait quelque chose de surréaliste. Elle, agenouillée dans sa tenue d'écolière devant son Maître, dénudé, qui la dominait très clairement par sa grandeur et par son statut de professeur. C'était un peu irréel. Pourtant, aussi soumise soit-elle, elle ferma doucement les yeux en sentant la main se poser sur sa joue. Aya a toujours su apprécier le petit moment de douceur, c'est une chose dont elle a terriblement besoin. Ses paupières se relevèrent lorsqu'elle entendit son Maître s'éloigner et le suivit du regard.

Elle attendait patiemment que le professeur finisse par dire quelque chose. Même si le silence n'était pas chose que la jeune fille aimait, elle aurait pu s'en accommoder. Si le prof de Maths avait décidé de rester silencieux, alors très bien, elle resterait agenouillée devant son lit à l'observer sans rien dire de son côté non plus. Pourtant, le silence finit par être rompue par l'écho de la voix de l'homme qui, après l'avoir complimenté, finit par lui donner un ordre.

"Vos désirs sont mes ordres, Maître." souffla timidement Aya.

La belle soumise se redressa un peu pour être plus à l'aise. Dans un geste presque aérien, les fines mains d'Aya agrippèrent timidement le blazer et le firent glisser de ses épaules avec une lenteur lascive. Le regard grisé de la jeune fille s'était posé sur celui son Maître, alors que ses yeux brillaient d'une grande timidité et d'une soumission sans faille. Lorsque la veste heurta doucement le sol, la petite étudiante glissa se mains sur son chemisier, se contentant d’effleurer les boutons sans les défaire. Après un instant, elle défit en délicatesse chaque bouton qui, à masure qu'il étaient défait, laissait apparaître sa peau de porcelaine et la dentelle de son soutien-gorge. Quelques secondes après, le chemisier subit le même sort que le blazer et toucha le sol.

Aya détourna la regard, les pommettes quelques peu rosées. Sa longue tresse retomba sur sa poitrine alors qu'une de ses mains la maintenait, la faisant frissonner quand ses ongles effleurèrent la peau de son poitrine.

Huri l’observa de l’endroit où il était. Il essaya tant mieux que mal de capter son regard. Le souvenir de ce corps qu’il avait utilisé sans aucun remord dans un recoin d’un foret, lui donnait envi de le contempler plus en détail mais cette fois dans un lieu qu’il maitrisait : sa chambre.

Elle retira comme il l’avait ordonné et sans même la moindre hésitation son blazer. Il avait remarqué qu’elle avait l’habitude de répondre systématique à chacun des ses souhaits.
« vos désirs sont mes ordres »
Comme une sorte de rituel qu’elle avait appris depuis sa tendre enfance. Le désir d’un homme était un ordre. Il en était persuadé déjà hier mais maintenant il en était sur, elle avait eu un autre Maitre voir plusieurs.

son blazer ne tarda pas à se retrouver sur le sol de la chambre tout prés d’elle.

Elle déboutonna lentement les boutons de son chemisier. Elle savait qu’il fallait prendre son temps. Il l’avait même remarqué qu’elle avait posé ses yeux sur lui. Comme pour vérifier qu’elle exécutait correctement les désirs de son Maitre. Elle avait donc l’instant d’un regard remarqué comme les yeux Huri brillaient d’envie d’en voir plus.
Lorsque le premier bouton, puis le second furent défait, il eut une monté d’excitation, et très vite son membre viril grossissait.
Le regard de l’homme était désormais vers cette poitrine et se soutien gorge rouge en dentelle. Son désir augmentait, il devenait presque soumis à la volonté de la jeune femme de défaire ou pas ses autres boutons. Bien entendu, il savait qu’elle le ferait, il en avait aucun doute la dessus.

Lorsque le chemisier fut, enfin, complètement retirer et poser près du blazer. Huri la regarda baisser les yeux vers le sol. Il remarqua la chevelure posée sur la poitrine, il fut alors satisfait de ce qu’il voyait. Il n’en doutait plus de toutes les jeunes filles qu’il avait pu croiser jusqu’à lors, elle était vraiment la plus désirable et la plus éduquer.

Il se leva et alla vers elle.

Il se place de telle sorte qu’il se trouva derrière elle. Il resta un instant ainsi. Il posa ses yeux sur son dos. Il s’attarda un bref instant sur les agrafes du soutien gorge, puis descendit ses yeux vers le bas du dos. Il était encore rempli du souvenir de la soirée.

Il fut surpris de la droiture de son dos. Mais aussi de la blancheur de sa peau. Hier il ne l’avait pas remarqué à cause sans doute la nuit et du peu de lumière.

Il passa sa main sur sa nuque sous sa chevelure, puis commença a enroulé sa main attirant tout la chevelure autour de sa main et de son bras.

« Ton prénom est bien Aya..et tu es bien une de mes éléves. .. »

Il connaissait la réponse bien sur et il n’attendait pas réellement de réponde de sa part.
Il monta légèrement sa main, faisant en sorte de chignon suspendu avec ses cheveux et cela lui permettait de dirigeait facilement sa tête.

Il passa devant elle alors tout en gardant sa main sur ses cheveux en face d’elle.

Tout prés d’elle. Son sexe était à la hauteur de son visage.

« et nous avons un cour ensemble ..ce matin..n’est ce pas »

Il fit en sorte en tirant légèrement sur la chevelure que le visage se colle presque sur sexe.
Il voulait lui montrer qu’il se servait d’elle comme il le désirait.

« eh bien ce matin pendant le cours, tu pourras penser à la fellation que tu va me faire maintenant »

Il tira de nouveau sur ses cheveux…afin de faire en sorte qu’il puisse voir son visage mais surtout ses yeux..avant qu’elle commence à exécuter ses désirs.