Une soirée bouillante [LIBRE]

l était déjà 23h et Emi tournait dans son lit, sans pouvoir dormir. Elle avait chaud, trop chaud. La jeune fille, en quête de nouvelles aventures, décida d'aller au club privé, histoire de danser un peu. Elle mit une petit robe noire, très moulante, n'arrivant qu'à mis cuisse avec un decolté descendant jusqu'au nombril.. Elle ne prit pas la peine de mettre des sous-vêtement sous cette petite robe. Elle partit donc au club.Une fois arrivée, elle constata que la musique braillait à tout va, que la plupart des gens étaient déjà bien cuit. Emi se rendit donc au bar, histoire de commander quelque chose. Elle s'assit sur un tabouret, essayant tant bien que mal de tenir sa robe qui menaçait de dévoiler son corps. Elle attendit le Barman.

_ Que puis-je pour vous ? Dit-il.
_ Uhm. Un TGV pur s'il vous plais. Répondit Emi.
_ Vous êtes majeur bien sûr ironisa le serveur. Une carte peut être ?

Emi rougit et bien sûr la demoiselle n'était pas majeure. Une personne arriva et posa sa main sur la taille d'Emi sans que celle-ci ne puisse voir son visage.

_ 2 TGV de suite dit la personne. La demoiselle est avec moi.

Les boites, ce n'est pas franchement mon truc. On s'entend pas parler, les gens sont à la fois cons et bourrés, et bien souvent, on a affaire qu'à des ringards. Pas mon truc, donc. Les filles, par contre… ce n'est pas la même chose. Et au club, travaillait une serveuse sur laquelle j'avais jeté mon dévolu. Croisée une fois aux alentours de l'école, on avait discuté. J'avais demandé ses horaires… et elle m'avait apparemment menti, vu que ce soir, je me retrouvais seul au bar devant mon verre de whisky.

Alors que j'entamais mon deuxième verre, je vis la porte s'ouvrir. Et c'est une élève à moi que je vis entrer. Robe courte et très décolletée. Très attirante. Mais pas vraiment l'endroit où aurait dû se trouver une pensionnaire à cette heure-ci. J'avais deux solutions : aller la voir, l'engueuler, la virer du bar… ou bien la regarder faire, tout en restant caché dans l'ombre.

Emi. Je me souvins enfin de son prénom —je n'ai jamais été fort en prénom. Je la regardai au bar, tenant sa robe d'une main, puis commandant son verre. Et là, soucis. Je la vis se décomposer. Je n'entendais pas ce qu'ils se disaient, mais à tous les coups, il venait de lui demander son âge. C'est là que je devais passer à l'action.

Je me levai de mon siège, sortis de l'ombre et passai derrière Emi. Posant une main sur sa taille, je regardai le cocktail que tenait le barman. Un TGV. J'en avais beaucoup entendu parler, sans y avoir goûté. D'un air assuré, je dis au barman :

_ 2 TGV de suite. La demoiselle est avec moi.

Le barman me regarda et alla en préparer un deuxième. Pendant ce temps, je m'assis aux côtés de ma jeune élève.

_ Tu m'en dois une, lui dis-je. Normalement ils sont intransigeants avec ce genre de problème. Et il faudra aussi que tu me dises ce que je viens de commander, parce que j'en ai strictement aucune idée…

Comme Emi continuait de me regarder sans rien dire, j'ajoutai :

_ Tu te souviens de moi, quand même ?

_ Tu m'en dois une, dit-il. Normalement ils sont intransigeants avec ce genre de problème. Dit-il. Et il faudra aussi que tu me dises ce que je viens de commander, parce que j'en ai strictement aucune idée...Ajouta-t-il. Tu te souviens de moi, quand même ?

Emi sursauta quand l'homme arriva. Bien sûr qu'elle s'en souvenait. C'était son prof de dessin, celui qu'il l'avait dépucelée. Elle rigola à cette pensée.

_ Comment ne pas se souvenir de vous rigola-t-elle. Ce que vous avez commandé ? Tequila, gin, vodka ajouta-t-elle.

Emi n'arrêtais pas de tenir sa robe qui menaçait franchement de fiche le camp. Elle grommela des injures sur sa robe, sur le pourquoi elle l'avait mise. Elle eu une idée. Elle sourit au professeur, passant ses mains derrières son dos, puis doucement, mais surement elle lui prit sa veste. Emi mit donc la veste de son professeur. Puis elle attendit tranquillement sa boisson. Le professeur avait mit sa main sur la taille d'Emi. Ceci ne la gêna pas. Elle l'avait déjà vu nue et vice versa alors il n'y avait aucun problème. Le barman arriva avec la boisson, Emi cogna son verre dans celui du professeur puis le bu d'une traite. Une fois finit, elle sortit l'argent de la poche de la veste de son professeur puis paya. Elle rendit la veste au professeur puis lui tira la main pour aller sur la piste de danse. Autant en profiter pensa-t-elle. Elle adopta une attitude quelque peu provocante en dansant. Après quelques minutes de danse, un jeune vînt se placer entre elle et Mark. Se collant peu à peu à Emi.

Emi se souvenait de moi, cela me rassurait. Elle avait l'air d'aller bien, ça faisait longtemps que je ne l'avais pas vue. Sa robe, par contre, avait l'air de la faire toujours autant chier. Et sans me demander quoi que ce soit, elle prit ma veste pour la mettre sur ses genoux. Ok, pourquoi pas. En attendant les cocktails, je me souvins de nos jeux ensemble, il y a un petit moment. On avait été très proches. Si proches qu'on avait fini par être emboités l'un dans l'autre. C'était une période très excitante.
Puis les cocktails arrivèrent, Emi trinqua avec moi et enfila son verre d'un coup. Wow ! Sacrée descente ! Sans perdre plus de temps, je pris le verre et descendis le mélange d'alcools cul sec également. Pas mauvais, pas bon non plus… Buvable. Emi prit l'argent qui se trouvait dans ma veste et paya les cocktails avec avant de m'entrainer vers la piste de danse. Je mis dans un coin de ma tête un pense-bête : à un moment ou à un autre, elle devrait me rembourser.
Sur la piste, Emi était déchainée, me montrait son plus beau déhanché… Enfin. Elle le montrait un peu à tout le monde. Si bien qu'à un moment, une espèce de gugusse vient se placer entre elle et moi et commença à lui faire du rentre dedans. Un peu abasourdi par la situation, j'attrapai finalement le gars par l'épaule et me penchait vers lui :

_ Faut m'excuser, mon pote. J'suis pas jaloux, mais les plans à trois avec un autre mec, j'suis pas très partant.
_ Qu'est-ce que t'as le vieux ? me dit-il de manière tout à fait agressive. C'est ta poule, cette jolie ?

Comment osait-il me parler, ce pequenaud ? Je pris Emi par le bras pour la tirer vers moi, et l'embrassa fougueusement, enfonçant ma langue dans sa bouche, tout en palpant son corps de manière assez exagérée pour que tout le monde puisse voir. Puis je la lâchai et regardai le bonhomme. Un coup de tête bien placé partit tout seul et l'homme se retrouva à terre.

_ La prochaine fois tu lui parles mieux que ça.

Sans rien comprendre, Mark tira Emi par le bras pour l'attirer vers lui, puis il embrassa la jeune fille sans aucune retenue, la caressant de tous les côtés et sous les regards de tous les clubbeurs. La situation s'empira lorsque Mark mit un coup de tête bien placé dans celle du jeune homme. Le garçon tomba à terre dans un violent soubresaut, le nez dégoulinant de sang. Emi fut planté là quelques secondes, puis en voyant la sécurité arriver, elle attrapa Mark par la main pour l'entraîner dans la rue. Elle se mit à courir, tout en traînant Mark derrière elle. Ils arrivèrent derrière une poubelle. Emi plaqua Mark contre la poubelle en le faisant s'agenouiller et elle se plaqua contre lui.

_ Quelques années de délinquance ça porte ironisa Emi.

Quand la sécurité sortit pour regarder où ils étaient passés, Emi se plaqua encore plus qu'avant contre lui. Elle attendit en silence pendant quelques minutes puis se releva doucement. Elle regarda autour d'elle puis fit signe à Mark de se relever.

_ Voilà .. Personne, sourit-elle.

Elle enleva la veste et la rendu à Mark puis elle sortit un billet de son décolté pour remboursés Mark.

Après mon coup de tête, qui avait envoyé le merdeux à terre, le visage en sang, ça commençait à s'agiter dans la boite. Emi me prit par la main et m'entraina dehors en courant. Les vigiles nous suivaient à travers la boite, mais nous étions plus rapides. Rapidement, nous étions dehors. Emi m'amena jusqu'à une petite ruelle un peu sombre et nous nous sommes accroupis derrière une poubelle en attendant que ça se calme.

Inconsciemment, je regardai Emi, de haut en bas. Le fait que nous soyons accroupis m'offrait une superbe vue sur ses sous-vêtements, sous sa robe. Je bloquais. Puis je la vis se relever et regarder autour.

_ Voilà… Personne, me dit-elle.

Elle me rendit ma veste et me tendit un billet, pour rembourser le cocktail. Je ne le pris pas. Je regardai plutôt autour de nous. Une ruelle sombre… Des poubelles… Je m'avançai doucement vers elle et lui dit :

_ Une ruelle sombre, lugubre, dégueulasse… Personnellement ça me rappelle quelque chose. Pas toi ?

Je m'avançai encore un peu jusqu'à la plaquer contre le mur. Délicatement, je passai mes mains sur ses hanches, et déposai un baiser sur sa joue.

_ Et si on reprenait là où on s'est arrêtés dans la boite ? En souvenir du bon vieux temps…

_ Une ruelle sombre, lugubre, dégueulasse... Personnellement ça me rappelle quelque chose. Pas toi ? Questionna-t-il. Et si on reprenait là où on s'est arrêtés dans la boite ? En souvenir du bon vieux temps...

Il plaqua Emi contre le mur en l'embrassant sur la joue puis plaça ses mains sur ses hanches.

_ Maintenant ? Là ? Tout de suite ? s'affola Emi.

Puis pourquoi pas ? Pensa-t-elle. Elle se dégagea des bras de Mark puis le plaqua contre le mur. Elle se mit sur la pointe des pieds. Elle posa ses lèvres dans le cou de son professeur puis sans prendre conscience elle lui fit un suçon. Elle posait sa marque pour quelques heures. Elle glissa ses mains autour de sa taille comme pour l'emprisonner. Elle grelottait, mais peu importe, elle allait avoir sa dose de sexe et ça c'était plus que bien. Elle se dégagea deux minutes.

_ Ici ? Sûr ? Le questionna-t-elle.

Après un petit temps d'indécision, Emi finit par me plaquer elle même contre un mur avant de venir me sucer le cou. Une vraie vampire. Elle avait du me faire un beau suçon. Puis je sentis ses doigts glisser le long de mon corps, me prendre par les hanches. Elle était pleine de fougue.

Cependant, elle s'arrêta un instant, se recula de quelques pas et me regarda:

_ Ici ? Sûr ?
_ Oui, lui dis-je en me rapprochant d'elle, sûr et certain. On serait en pleine rue, bondée, que j'aurais les mêmes envies.

Une fois à son niveau, je posai à mon tour mes mains sur ses hanches. Et doucement, relevai sa robe jusqu'à sa taille, dévoilant ainsi ses sous-vêtements à qui voulait les voir. Enfin, il fallait se dépêcher, car d'un geste, je descendis sa culotte sur ses chevilles.

Il était visiblement sûr de lui. D'un geste il fit descendre la culotte d'Emi, celle-ci arriva à ses chevilles. Emi se colla au niveau du mur et ramena Mark devant elle. Elle l'attira à se coller contre elle, puis elle l'embrassa. Doucement elle défit sa boucle de ceinture et fit glisser son pantalon au sol, elle fit également tomber son caleçon. Doucement elle posa ses mains sur le sexe de son professeur avant de faire des mouvements de bas en haut. Elle se retrouvait là à le branler, alors qu'à la moindre seconde elle pouvait être surprise. Doucement elle se détacha de l'emprise de son professeur et le re plaqua contre le mur. Au fur et à mesure elle se retrouva à genou devant lui, en position soumise. Elle mit doucement ses lèvres sur le sexe de son professeur puis commença à lécher le gland de l'homme peu à peu elle prit son sexe entièrement puis fit des gestes de vas et vient doux et lent. Au fil et à mesure elle continua et commença à faire des gestes rapide et efficace. Elle leva ses yeux pour rencontrer ceux de son professeur et adopta un net regard de biche. Soudain elle se stoppa.

_ Vous aimez monsieur le professeur ? Dit-elle avec une voix de sainte.

Elle attendit une réponse, là, la bouche face au sexe de son professeur, a genou, sans culotte.

Une fois la culotte à ses chevilles, je la retirai entièrement. Et la mis dans ma poche. Une sorte de trophée, si l'on veut. Puis je me relevai, regardai Emi droit dans les yeux. Celle-ci m'attrapa par le col et vint se plaquer contre le mur, et moi contre elle. Notre baiser dura un moment. C'était sauvage, plein d'envie ! Sans nous arrêter, je sentis les mains d'Emi attraper ma ceinture et la défaire. Même chose avec mon pantalon, puis mon caleçon. Elle me branla un petit peu, mais j'étais déjà très dur. C'était assez inhabituel mais je me laissais faire. Emi me retourna et me plaqua contre le mur. Puis je la vis descendre et se mettre à genoux. Je regardai un peu autour de nous. Des voitures passaient un peu plus, mais qu'importe. Je n'allais pas arrêter maintenant.

Je sentis Emi qui commençait à lécher mon gland, un peu, puis un peu plus, puis à prendre mon sexe dans sa bouche. Petit à petit, elle commença à me sucer en bonne et due forme. Elle accélérait, mais s'arrêta soudainement.

_ Vous aimez, monsieur le professeur ? me dit-elle avec une voix tout à fait innocente.

Elle resta comme ça un moment, sans rien dire. J'en profitai pour l'observer, sans rien dire non plus.

_ Ecarte tes cuisses, finis-je par lui dire à voix basse. Je veux voir ta chatte.

Puis j'attrapai sa tête et enfonçai profondément mon sexe dans sa bouche.

Emi obéit à l'ordre de Mark, tout en repensant à leur dernière rencontre dans une ruelle semblable à celle ci. Elle continua sa pipe tout en réfléchissant. La dernière fois, ils s'étaient amusés à faire mal à l'autre. Elle avait mit tout près de deux semaines pour pouvoir s'asseoir et marcher correctement. Elle regarda deux secondes le sexe de Mark est aperçu une faible marque de dents.

_ Si on passait aux choses sérieuses proposa-t-elle.

Elle reposa ses lèvres et s'affaira à lui faire une gorge profonde. Emi avait apprit à gérer son souffle. Elle caressait les cuisses de Mark remontant parfois contre son torse en agrippant son t-shirt. Puis elle se mit à rigoler, en repassant au jour où elle avait mordu Mark. Sans faire attention, elle ne remarqua pas qu'elle avait pressé les dents. D'un coup, elle le mordit et explosa de rire.

_ En souvenir du bon vieux temps dit-elle.

Emi proposa de passer aux choses sérieuses, voilà qui me fit sourire ! Je n'attendais que ça ! Elle commença alors une sacrée gorge profonde ! Sans s'étouffer, ni rien. Apparemment, elle avait pris des cours. Quoi qu'il en soit, elle me fit une pipe du tonnerre. Je profitais complètement, les mains sur les hanches, les yeux fermés.

Puis je sentis une douleur énorme ! La salope avait recommencé ! Quelques mois après cette aventure violente dans la ruelle, elle m'avait de nouveau mordu le membre.

_ AAAAAAAHHHHH SALOPE ! criai-je en l'attrapant à la fois par les cheveux et par la gorge.

D'un geste rapide je la relevai et la fis lacher prise. Une lumière s'alluma et une vieille dame sortit pour regarder. Elle dut nous voir tous les deux a moitié nus, moi tenant Emi par la gorge.

_ Ne vous en faites pas madame, lui dis-je, c'est une vieille amie que je n'ai pas vu depuis longtemps, vous pouvez vous recoucher tranquillement.

Et elle ferma sa fenêtre. Je me tournai vers Emi, qui avait l'air amusée, et lui décollai une claque qui la fit tomber par terre contre le mur. Me jetant sur elle, j'arrachai littéralement sa robe, la mettant ainsi à nu.

_ Toujours aussi garce et rebelle, hein ! On va voir si tu vas rigoler, maintenant.

Emi sentit que maintenant les choses sérieuses allaient arriver. Certes, elle l'avait cherché. Mark était deux fois plus violent que la dernière fois, deux fois plus fougueux et dominant. La jeune fille appréciait cela. Elle posa doucement ses mains sur celle qui tenait son cou, appuyant peu à peu pour qu'il lâche tranquillement la prise qu'il y avait. Emi se prit une claque qui eu le pouvoir de la faire valser à terre contre un mur. La jeune fille se frotta la tête. Oui, encore plus violent. Sa robe fut arrachée brutalement et Emi fut mise à nue.

_ Alors Mark ? Comme au bon vieux temps dit-elle dans un air de rébellion.

Elle se releva peu à peu, puis plaquage Mark contre un mur.

_ Je ne suis plus la soumise d'avant. Grogna-t-elle.

Elle fit glisser le t-shirt de Mark au(dessus de sa tête puis le jeta au niveau d'une poubelle. Emi arriva presque à la hauteur de Mark grâce à ses talons. Ce qui eu le don de lui donner du courage, de la confiance en elle.

Après le choc contre le mur, Emi trouva la force de se relever et de venir me défier. Elle me poussa même contre le mur.

_ Je ne suis plus la soumise d'avant, me dit-elle.
_ Tu es toujours aussi rebelle, par contre. C'est dommage, on aurait pu juste prendre notre pied. Non, il a fallu que tu compliques tout.

Emi attrapa mon teeshirt et le retira. Je me laissai faire. Je voulais voir où elle était capable d'aller. Puis elle se posta face à moi et se mit sur ses talons, le seul vêtement qu'il lui restait. Elle devait se sentir forte, moi je la sentais fébrile et soumise malgré elle.

D'un geste rapide, je l'attrapai par les cheveux et la fis rouler par terre. J'attrapai ma veste à mes pieds et rapidement m'assis sur elle pour la bloquer. Dans ma veste j'attrapai une paire de menottes.

_ Je ne sors jamais sans, lui dis-je, ça peut servir…

Et je la plaquai, face contre le sol, avant de lui passer les menottes, mains dans le dos. Ma main passa sur ses fesses, et j'écartai ses jambes. Je passai entre ses fesses, sur son petit trou, sur sa fente… Elle ne mouillait pas encore vraiment, mais j'enfonçai quatre doigts en elle d'un coup. Deux par devant, deux par derrière.

_ Est-ce que c'est toujours aussi douloureux, à sec ?

Emi eu un sursaut lorsqu'elle sentit les quatre doigts rentrer en elle si soudainement. Elle souffla pour apaiser la douleur.

_ Est-ce que c'est toujours aussi douloureux, à sec ?

Que répondre pensa-t-elle. Dilemme. Si elle dit oui, il va continuer, si elle dit, il va également continuer. Autant garder sa fierté pensa-t-elle.

_ Moins monsieur rigola-t-elle. Beaucoup moins.

Le sol gelé lui faisait douloureux, ainsi que toutes les plais qu'elle devait avoir. Elle tremblotait légèrement, de froid, de douleur..

_ Moins monsieur, me dit-elle en rigolant. Beaucoup moins.

Rha, je détestais sa façon de me narguer, et je voulais lui montrer que non, elle n'allait pas s'en tirer comme ça. Je posai ma deuxième main sur ses fesses. Et de la même manière, j'enfonçai deux nouveaux doigts dans son cul et deux nouveaux doigts dans sa chatte. Huit doigts en elle. Je souris en espérant qu'elle souffre, maintenant.

_ Qu'est-ce que tu me fais pas faire, hein !

Je me penchai sur elle pour enfoncer mes doigts le plus profondement possible, et commençai à aller et venir dans ses deux trous.

Lorsque Emi sentit les quatre autres doigts rentrer en elle, elle hurla de douleur. Quatre c'était facile à supporter, mais lorsque la somme double, la douleur irradie.

_ Stop ! Stop ! Hurla-t-elle. C'est bon !

Elle fit bouger son corps légèrement, mais suffisamment pour ne plus avoir mal. Elle réussit à faire un tour sur elle-même et ainsi elle pu s'asseoir en face de son agresseur. Elle l'embrassa doucement, comme pour se faire pardonner, les mains toujours menottées dans son dos..

_ Je m'excuse susurra-t-elle. Je suis toujours une vraie soumise, toujours ...

Une fois mes HUIT DOIGTS en elle, Emi se mit à crier. C'était inévitable. Moi-même je ne pensais pas pouvoir mettre une fois huit doigts dans les orifices d'une fille. A sec.

_ Stop ! Stop ! C'est bon !

De mon côté, j'avoue avoir rigolé. Elle se débattait dans tous les sens pour que j'enlève mes doigts, si bien que j'ai fini par les retirer. D'un coup sec. Emi en a alors profité pour se retourner et s'assoir face à moi. Et sans que je la vois venir, elle vient m'embrasser, tendrement, sur les lèvres.

_ Je m'excuse, je suis toujours une vraie soumise, toujours…
_ Tu mens, lui dis-je en attrapant et tordant son téton.

Une fois à la limite d'arracher son téton, je le relachai, et crachai dans ma main. Je la posai alors sur sa fente, et commençai à la caresser. Mon doigt allait de son anus douloureux à sa clito, que je prenais plaisir à titiller. Je voulais la faire mouiller.

_ Et si on reprenait là où on en était ? Et ne compte pas sur moi pour t'enlever les menottes.

Emi s'était encore foutu dans de beaux draps et bien sûr elle aimait ça. Emi le savait très bien qu'elle était toujours la petite soumise d'avant et Mark aussi le savait, mais il jouait de la rébellion de la jeune demoiselle.

_ Je ne mens pas grogna-t-elle.

Emi le vu cracher dans sa main puis venir caresser sa fente ainsi que son anus. Sans le vouloir, Emi rejeta la tête en arrière. Son corps commençait à trembler doucement et sa fente commençait à rejeter de la cyprine.

_ Comment tu fais dit Emi. Comment tu fais pour me contrôler ainsi ?

Emi commençait à avoir très chaud et à trembler de plaisir, bientôt elle s'abandonnerait totalement et elle serait ainsi complètement à Mark pour une soirée. Ses mains étaient dans son dos, attachées. Elle était assise, les cuisses écartées, à la vue du premier venue. Elle n'était plus en position de force.

_ J'ai mes petits secrets, lui répondis-je. Mais tu n'en sauras rien.

Ma main continuait de s'activer sur sa fente. Je m'amusai à triturer son clitoris un moment, afin d'exciter la belle chatte que j'avais devant moi, et une fois celle-ci humide de plaisir, j'enfilai deux doigts à l'intérieur. Un troisième doigt toujours posé sur son clito. Plus ça allait, et plus je sentais sa mouille dégouliner sur ma main.

Je la masturbai pendant de longues minutes, durant laquelle je l'écoutais gémir avec le plus grand plaisir. Quand je sentis son corps trembler, proche de l'explosion, je retirai mes doigts, et les enfonçai dans sa bouche.

_ Tu aimerais que je te fasse jouir ?

Emi tremblait de tout son long. Les doigts de Mark l'étouffait mais elle fit un peu ce qu'il attendait. Elle commença à sucer les doigts qui étaient dans sa bouche. Après quelques minutes, Emi reprit ses esprits et se souvînt que Mark lui avait posé une question et elle savait pertinemment que si elle n'y répondait pas, ça aller barder.

_ Oui je veux chuchota-t-elle.

Elle cambra doucement son bassin pour se mettre dans une position plus confortable et attendit que Mark décide de ce qu'il voulait lui faire. Sa fente dégoulinait de mouille et son anus la faisait souffrir, mais le plaisir était là, il la faisait suer, transpirer . Des grognements sortaient de sa bouche. Elle était passée du stade de la jeune fille sage à celui de la jeune femme bestiale.

Je poussai alors Emi, qui tenait fébrilement sur ses pieds, accroupis. Cela eut pour effet de la faire tomber sur le dos, la tête dans les poubelles. Aussitôt, je me mis à genoux et j'attrapai ses jambes et les relevai à mon niveau. De sorte que je me retrouve face à sa délicieuse chatte. Et sans attendre plus longtemps, j'entamai un long cunilingus. Ma langue suça sa fente, son clito, tandis qu'un doigt pénétrait de nouveau son anus. De mon autre main, j'attrapai l'un de ses seins, torturai son téton en le pinçant et le tournant sur lui-même. Mais jamais je ne m'arrêtai de lécher sa fente. Sa fente si trempée, ouverte, dans laquelle je rentrais aisément ma langue avant de retourner sucer son clito. Elle avait bon goût, Emi. Je prenais un plaisir malsain à la faire gémir de plaisir après l'avoir torturée.

Après avoir claqué chacun de ses seins, je rajoutai :

_ Jouis sans retenue, ma chérie. Hurle ton plaisir, je t'en prie.

_ Jouis sans retenue, ma chérie. Hurle ton plaisir, je t'en prie. Lui dit Mark.

Emi n'attendit pas plus pour jouir. Son corps se tendit comme pas possible, ses hurlements de plaisir envahir la ruelle tel un écho violent, une de ses mains alla sur son sein pour le caresser tandis que l'autre agrippa une des mains de Mark. Sans se rendre compte elle le griffa. Ses hurlements se transformèrent en grognement intense et long. Mark dût se prendre un flot de cyprine dans la figure vue la dose qu'Emi lâcha.

_ Merci grogna-t-elle. Merci.

Ses soufflements, ses cris, ses grognements se poursuivirent en bruits profond. Peu à peu la chaleur descendit, Emi se calma. Ses cheveux étaient poisseux, collant mais cela elle s'en fichait puisqu'elle était au maximum de son plaisir. Elle s'agrippa doucement au sol puis respira lentement avant de fermer les yeux.

Je ne pensais pas que ce serait si rapide. Pourtant, quelques minutes seulement suffirent pour qu'Emi se retrouve aux portes de l'orgasme. Ma langue enfoncée dans sa fente, mon doigt enfoncé dans son cul, elle se mit à hurler en cambrant son corps. Plus aucun voisin ne devait être endormi maintenant. Elle hurla son plaisir, et sa petite chatte se chargea d'envoyer un flot de mouille à mon visage.

_ Merci, dit-elle avant de se coucher par terre, à même le sol crade de la rue.

Je lui souris un instant, un sourire qui voulait dire "de rien, mais je n'en ai pas encore fini avec toi". Je tournai le corps d'Emi afin qu'elle se retrouve sur le ventre, son visage se retrouvant écrasé contre le sol dégueulasse. Puis je me postai derrière, remontai ses fesses, et écartai ses cuisses. Durant ce cunilingus tout à fait délicieux, mon sexe n'avait pas cessé de gonfler. Alors d'un seul coup, je pénétrai sa fente. Elle était tellement mouillée que je rentrai en elle comme dans du beurre.

_ De rien, lui dis-je alors.

Mark glissa en la jeune fille sans aucun problème. Elle était tellement trempée que rien ne s'opposerait à une pénétration. Cependantn Emi détestait ne pas voir son partenaire sexuel, mais avec Mark elle n'osait pas se retourner. Néanmoins, Emi se releva doucement pour aller coller son dos contre le torse de Mark. Doucement elle glissa sa tête dans le cou de Mark et malgré la position inconfortable elle commença à l'embrasser dans le cou, en mordillant gentiment sa peau. Sans s'en rendre compte celle-ci se mit à brunir. Lorsque Emi remarqua cela, il fit son maximum pour faire comme ci qu'il n'y avait rien en priant que Mark ne remarque rien. Emi ressentit la vague de plaisir la submerger et elle ouvrit lentement la bouche en sortant quelques petits grognements. Des petits gémissements commencèrent à gagner la ruelle dans un bruit rauque et sourd. Emi attrapa les bras de Mark et les posa sur son ventre. Ainsi elle était dans son emprise. Pour elle cela voulait dire qu'elle s'abandonnait, que maintenant elle lui appartenait.