Prise sur le fait. [LIBRE]

Midi. Je sortis de ma classe en même temps que mes élèves, prenant mon déjeuner -un pauvre sandwich, un fruit et une bouteille d'eau- avec moi. Mais plutôt que de me diriger, avec mes élèves turbulents, vers la cafétaria, qui grouille de monde et de bruit, je décidai d'errer dans les couloirs à la recherche d'une classe ouverte. Je préfère manger seul. Pourquoi ne pas manger dans ma propre classe me direz vous. C'est simple : je déteste avoir des miettes sur mon bureau. Je préfère les laisser aux collègues.

Quoi qu'il en soit, je finis par trouver une salle ouverte. Il me semblait qu'il y avait quelqu'un, j'entendais du bruit. Il me sembla d'ailleurs apercevoir une forme se diriger sous le bureau, mais je fis comme si de rien n'était, et m'installait "à table" et commençai mon sandwich. Je pris tout mon temps.

Qui que ce soit, je me demandais combien de temps cette personne allait pouvoir rester sous ce bureau sans faire de bruit.

Au bout de quelques minutes, alors que je dégustais mon fabuleux sandwich, j'entendis un bruit, suivi d'un juron que je ne pourrais répéter ici. La jeune fille sortit de sous la table et je découvris Emi, ma très chère Emi. J'aurais pu parier que c'était elle. En fait, j'aurais dû le parier. Ça m'aurait permis de boucler mes fins de mois.

Enfin. Emi s'assit sur le bureau après avoir forcé un tiroir pour récupérer un paquet de cigarette, et s'en alluma une. Déjà, elle m'agaçait. Je ne dis rien. Aujourd'hui j'étais assez calme. Je continuai à manger mon sandwich sans rien dire, et quand elle eut terminé sa cigarette, elle l'écrasa contre le bureau, à quelques centimètres de mon bras. Et elle s'en alla en emportant la banane que je me réservais pour le dessert. Là, je ne pus me retenir :

_ Emi, si tu ne reviens pas tout de suite t'excuser pour la cigarette et me ramener mon dessert, je te jure que je t'enfoncerai cette banane si violemment au fond du cul que tu ne pourras plus jamais voir un fruit en photo !

J'y étais allé fort. Mais ce n'était pas loin de la vérité. Je tournai la tête pour la regarder droit dans les yeux.

_ Tu sais que je le ferai.

Emi s'excusa presque aussitôt après que je l'ai menacée. Elle vint même nettoyer la cendre sur le bureau. Elle alla même jusqu'à se mettre à genoux, à mes côtés, tête baissée. Wow. J'avoue ne pas en avoir attendu autant. Mais certes.

_ On dirait que tu retiens bien tes leçons, finalement, lui dis-je.

Et ce serait con de ne pas en profiter. Mais ça, je ne le lui dis pas. Je tournai ma chaise pour qu'elle se retrouve pile entre mes jambes, et posai ma main sur ses cheveux. Je la caressai gentiment, ses cheveux, sa joue. Je descendis mes mains sur ses épaules et déboutonnai le premier bouton du chemisier de son uniforme.

_ Qu'est-ce que tu as fais encore comme bêtise pour être punie ?

Je rigolai en entendant ce qu'Emi avait fait pour être punie. Moi-même j'aurais été capable de faire le même genre de connerie lorsque j'étais étudiant. Pour autant, je ne m'arrêtai pas de défaire son chemisier. Je ne savais pas encore ce que j'allais faire précisément. Mais il est clair qu'il était de mon devoir de faire respecter l'ordre, et j'avais beau beaucoup apprécier Emi, cette fille ne respectait pas grand chose.

Je finis de défaire son chemisier, dévoilant un simple mais joli soutien-gorge blanc. J'attrapai ensuite sa jupe et la relevai, pour voir sa petite culotte assortie. D'une main, j'écartai un peu ses cuisses. Pour mieux voir. Laissant sa jupe relevée au-dessus de sa taille, je remontai doucement le long de sa cuisse, puis son ventre, pour aller caresser l'un de ses seins.

_ Ce n'est pas mon devoir de te punir pour une faute que tu as commise avec quelqu'un d'autre. Mais si j'écoutais mes débiles de collègues, il n'y aurait aucune punition pour les élèves récalcitrants. Je ne serai pas sévère. Mais j'imagine que tu me comprends, n'est-ce pas ?

J'attrapai son sein un peu plus fermement, faisant sortir son téton du soutien-gorge.

Je relevai un sourcil en entendant Emi. Quel affront. En vérité, ce n'étais pas si grave, mais pour moi, ce serait une bonne occasion de prendre le dessus. Malgré ses excuses, je saisis son petit téton entre mes doigts et tirai dessus.

_ Tu penses que punir un élève, c'est mal ? Je vais te prouver que mes punitions ne sont pas toujours mauvaises, et qu'elles peuvent être… bonnes. Debout, lui dis-je en tirant un peu plus sur son téton. Mets toi contre la table.

Aussitôt en place, je relevai sa jupe et baissai sa culotte blanche juste sous ses fesses.

Une fois la culotte d'Emi baissée sous ses fesses, j'eus l'impression que la jeune fille écartait ses cuisses d'elle-même. Bien sûr, cela n'avait rien d'étonnant. Emi avait déjà goûté à mes punitions. Certes elles pouvaient être sadiques, mais elles pouvaient s'avérer très appréciables également. Je glissai d'ailleurs deux doigts dans l'intérieur de la culotte et me rendis compte que le fond était légèrement humide. A croire qu'Emi commençait déjà à aimer.

Je glissai alors une main entre ses cuisses et glissai directement un doigt le long de sa fente. Je le fis aller, de haut en bas, de son anus à son clitoris, appuyant progressivement pour m'enfoncer en elle. Je sentais son sexe se réchauffer progressivement, et son corps trembler légèrement.

_ Tu me diras des nouvelles de cette "punition" !

_ Tu m'as l'air bien excitée pour quelqu'un qui n'aime pas mes punitions, lui dis-je en enfonçant deux doigts dans son sexe.

D'une main, je tenais fermement ses fesses, et de l'autre, la doigtait violemment. J'allais plus fort, plus vite, plus profond. Son sexe, sous les assauts de mes doigts, produisait ce son si particulier d'une fente mouillée que l'on doigte avec hargne. J'aimais beaucoup ce son.

Lorsque Emi m'en demanda "encore", je n'hésitai pas à rentrer un troisième doigt, sans pour autant ralentir la cadence. Elle en voulait encore et allait en avoir ! Puis je commençai à glisser le quatrième.

_ Encore ? lui demandai-je avec un sourire aux lèvres.

_ Tu sais prendre les bonnes décisions, lui dis-je en poussant doucement le quatrième doigt en elle.

Il est clair que j'avais du mal à rentrer. Emi mouillait beaucoup, certes, mais sa petite fente restait assez serrée. Je crachai un peu de salive sur ma main et son sexe pour lubrifier un peu le tout, et m'y repris à plusieurs fois avant de réussir à rentrer le doigt. Je sentais le corps d'Emi qui tremblait, son sexe qui dégoulinait, c'était terriblement excitant.

_ Tu vois, ce n'était pas si dur.

Sans lui demander cette fois-ci, je posai mon pouce, mon cinquième doigt, avec les quatre autres.

_ T'abuse, me dit-elle.

Alors de ma main de libre, je lui infligeai deux, puis trois fessées. Insolente ! Elle mériterait que j'enfonce ma main d'un seul coup en elle, mais ce serait un coup à se retrouver aux urgences. Et je n'en avais pas spécialement envie. Une dernière fessée, pour le plaisir, et j'enfonçai de nouveau mes doigts. Je sentais que ça poussait, mais pas tellement. Je crachai de nouveau. Il fallait lubrifier. Mon pouce finit par rentrer de moitié. Puis en entier. Emi avait beau crier, je trouvais ça fort excitant ! Je voulais aller plus loin, mais c'aurait été trop dur. Alors je retirai ma main, laissant son sexe ouvert en grand.

Doigt après doigt, je léchais la mouille de Emi qui s'y trouvais encore. La jeune fille s'était retournée, jonchée sur le bureau, le visage crispé par la douleur de ce quasi-fist-fucking. Tandis que de mon côté je savourais mon dessert.

_ Je sais. Je suis désolé… je crois.

Je m'approchai d'Emi, et d'un geste bien plus doux, je posai mon doigt sur son clitoris, que je commençai à tripoter, tout en la regardant droit dans les yeux. Mon autre main se posa sur son sein que je commençai à malaxer doucement.

_ Je vais arranger ça, lui dis-je.

_ Me fais plus mal, me dit-elle, presque en suppliant.
_ Ce n'était pas mon intention.

Je la poussai sur la table, afin qu'elle se retrouve allongée sur le dos, et à l'aide de mes deux mains, écartai ses cuisses. Puis je me mis à genoux sur le sol de la classe, et plongeai directement mon visage sur son sexe entrouvert et déjà mouillé. Je me mis à lécher sa fente d'où coulait encore tout son nectar, puis remontai pour sucer son clitoris. J'alternai ainsi les caresses, allant parfois donner un coup de langue sur son anus.

Tout en la léchant, je regardais Emi du coin de l'œil, et la voyais qui commençait à se caresser la poitrine. Sentir son excitation m'incitait à continuer, à aller encore plus loin. Alors je posai un doigt sur sa fente, tout en suçant son clitoris, et l'enfonçai en elle. Puis un deuxième. Encore sous le choc de mon quasi fist-fucking, je ne voulais pas trop la remplir pour ne pas la brusquer, alors je m'arrêtai à deux doigts pour le moment.

Puis Emi se releva doucement, se mettant presque assise sur la table, tandis que je continuais de la lécher. Ses mains étaient dans mes cheveux, elle me caressait tendrement. Et c'était très agréable. Mais dans cette position, il était moins évident pour moi de bien la gâter avec ma langue. Alors je me retirai et me relevai. D'un geste rapide, je défis mon pantalon et sortis mon sexe. Je pointai rapidement le gland à l'entrée du sien, et en la regardant droit dans les yeux, m'enfonçai en elle.