Un soir au strip club (pv le trio)

Light était terrassé par les cours et les activités au pensionnat. Il avait décidé de sortir s’aérer l'esprit quand il tomba sur une brochure faisant la pub d'un Strip club non loin.
*pourquoi pas* se dit il.
Il prit sa voiture, une jolie Audi TT blanche et fila droit à l'adresse. Il était vingt deux heures quand il entra. Rapidement, il balaya la salle des yeux et se mit à une table proche de la scène où dansaient des filles à moitié nue. Héritier d'une grosse fortune, Light n'hésita pas à se commander une bouteille de champagne mais malgré tout cela, il lui manquer quelque chose. Cette chose qui le brûlait était une dévorante envie de sexe.

Any et Umi argumentaient face à Eli.

-Eli, tu comprend que tu ne peux pas travailler là!
-Ton secret serait vu et on pourrait pas rester ensemble.
-Et puis c'est facile comme job, a nous deux, trois fois par semaine, comme le pensionnat est un peu plus cher que prévu, avec ça, on aura quand même assez pour subvenir à nos besoins.
-T'en fait pas, on fera attention.

Eli s'en alla, un peu dépité même si elle savait qu'elles avaient raisons.

Les filles entrèrent tout excitées, elles n'allaient pas bosser que pour le fric, les deux perverses aiment à s'exhiber, et elles ont de quoi. Elles chopent le barman.

-On aimerait voir le patron!

Trouvant les filles ravissantes, le barman considéra qu'il ne prenait pas de risque à déranger le boss.

On les fit rentrer dans un bureau à l'étage où attendait un gros joufflu.

-OUAAAIIISSS! Hurla-t-il. Z'êtes bonnes, ça va plaire à la clientèle, Mais savez vous bouger?

Sur ce, il lanca de la musique où dominait un saxophone sexy. Les filles commencèrent à se déhancher, laissant choir leurs vêtements un à un. Une fois nues et en talons, elles se collèrent, se frottèrent l'une à l'autre, s'embrassèrent même... Le patron ne savait plus ou se mettre, heureusement son bureau cachait sa folle érection.

Une fois fini la chanson et le show, il mit un long temps avant de crier:

-Je n'ai jamais rien vu d'aussi pervers, d'aussi dépravé, d'aussi incestueux, d'aussi... d'aussi... Il hoqueta.
-Oh non, pensèrent les deux sœurs.
-Je vous engage! Vous m'avez excité comme peux on réussi, et pourtant je suis homo". Il prend un ton paternaliste: "vous n'aurez jamais à passer sous le bureau avec moi, travaillez bien, travaillez dur et vous serez les reines de ce club. Filez, allez vous changer en bas, choisissez ce que vous voulez, et refaites la même danse qu'à l'instant.

Les filles ramassèrent leurs fringues en souriant tout excitées, elles allaient se la donner sur scène.

Avant qu'elles ne sortent, encore à moitié à poil, le patron les retint.

-Une seule chose les filles, il y a une seule règle ici: On s'envoie pas en l'air avec un client, pas d'exception, même si c'est votre mari. Sinon c'est la porte.

Les filles acquiescèrent et filèrent aux loges, admirant les déesses des lieux, qui les accueillirent avec chaleur. Elles choisirent une tenue identique un peu genre cheerleaders, des sous vêtements simples et noirs.

Elles attendaient leur tour avec impatience. On les annonçait enfin.

-Et maintenant en exclusivité pour la première fois au Titty Twister: Leeeeeeeess Sulfaatuueeuuuuuuuuuuussses, on les applaudit bien fooort!

Elles montèrent sur scène et se mirent en place pour commencer le show.

Enfin un spectacle allait commencer. Light se détendit sur son siège et se servit une flûte de champagne lorsqu'on annonça les sulfateuses. Il observa ses deux jolies brunettes entrer sur la piste et se dit qu'il aurait bien voulu s'en faire un jolie casse croûte.
Contrairement aux autres, light garda son sang froid et joua la carte de l’impassibilité afin d'attiser l'envie des deux danseuses de s'attarder sur lui. Light connaissait les règles de la maison et il ne pouvait pas coucher avec ses deux filles même si elle le voulait. Quand bien même, il trouverait bien une astuces. Il regarda alors les deux jeunes femmes se trémoussaient et ses yeux pétillèrent de plaisir et d'envie...

Les filles démarrèrent, elles aimaient se montrer, sans jamais avoir une pensée pour ceux qui les reluquent, elles prennent le plaisir pour elles-mêmes et l'une pour l'autre. Elles danses doucement, simulant positions sexuelles et autres fantasmes masculins. Elles se déshabillent l'une l'autre, offrant le spectacle le plus torride et amorale de ce bar.

Tout le monde est hypnotisé, y compris les danseuses et les femmes, hétéro où non, là pour faire la fête. Les vigiles ne regardent plus ailleurs, ne voyant même pas que certains commencent à se palucher.

Les filles se se frottent, s'embrassent, font glisser leur intimité nue sur la bar de pole dance. Mais elles ne se caressent pas ni ne se lèchent, elles se contentent d'imiter les rapports, ce qui rend le spectacle suffisamment vulgaire. Elles finissent la danse debout, jambes tendues et légèrement écartées, de dos et penchées, présentant leurs fessiers et écartant avec leurs mains leur moiteurs dégoulinantes d'envie et leur anus.

Hurlements, sifflements, les billets pleuvent sur scène. On entends quelques grognements d'extase. Les vigiles, se réveillant un peu, attrapent les contrevenants (dont une femme) et les jettent dehors a coups de pieds au cul.

Light était absorbé par le spectacle érotique des jeunes femmes. Elles étaient vraiment perverses et Light adorait ça.
Heureusement pour lui, il avait garde son calme et éviter l'expulsion. Il se faufila discrètement vers la sortie de la scène et lorsque les deux filles descendirent il les interpella. Il faut dire que les vigiles avaient du boulot et c'est pourquoi Light décida de faire une proposition indécente.

«Ecoutez les filles je vous donne le double de ce que vous avez touchez ce soir si vous vous offrez a moi sans retenu. Cela vous dit il?»