Travail nocturne

Comme à son habitude, Mark avait boudé la cantine du pensionnat pour aller manger dans son restaurant préféré, celui qui lui rappelait tant ses terres écossaises d'origine. Il ne rentra pas tard. Du travail l'attendait, et il voulait profiter de la nuit et du calme de l'internat pour avancer un peu.

Mark déambulait dans les couloirs, croisant quelques étudiants et étudiantes se dirigeant vers leurs chambres ou se bécotant dans les coins sombres qu'ils pouvaient trouver. Il monta ensuite les escaliers qui le menaient à sa salle de classe. Il la trouva étrangement allumée, la porte à demi ouverte.

Sans faire de bruit, il s'approcha pour regarder ce qui s'y passait. Il y trouva une jolie jeune fille, une pensionnaire qu'il n'avait pas eu encore le plaisir de rencontrer. Celle-ci, se croyant sûrement seule, était en train de déboutonner son chemisier. Libérant inconsciemment sa poitrine à la vue de Mark.

Mark décida de ne pas rester plus longtemps sur le pas de la porte, et tandis que la jeune fille s'était remis à travailler, il poussa la porte et entra. L'étudiante se retourna d'un seul coup, faisant ainsi balancer ses seins devant Mark. Celui-ci s'avança doucement, sûr de lui. Il prit une mèche de la fille entre ses doigts, puis caressa sa joue. La fixant droit dans les yeux, il lui dit :

_ Alors comme ça on fait des heures sup' ?

Mark prit un vilain plaisir à voir la jeune fille devenir rouge, gênée de sa quasi nudité face à lui. Il la vit ensuite tenter désespérément de rattacher sa chemise, bouton par bouton. Mark lui tapa sur la main pour qu'elle arrête.

_ Pas besoin de te rhabiller, tu es très bien comme ça.

Il la regarda droit dans les yeux, puis ses yeux tombèrent sur sa poitrine. Il passa le bout d'un de ses doigts sur son téton, durci. Était-ce la peur ou l'excitation qui lui faisait dresser fièrement les points de ses seins ?

_ D'ailleurs, continua Mark, retire complètement cette chemise. Tu n'en auras plus besoin ce soir.

Qu'il arrête ? Hors de question ! Au contraire, Mark allait continuer. Il était comme ça, Mark. Dites lui d'aller à droite, vous pouvez être sûr qu'il ira à gauche.

Alors, tandis que la jeune fille l'implorait d'arrêter, Mark rapprocha de nouveau sa main de son sein. Et cette fois-ci, il attrapa son téton entre son pouce et son index. La regardant droit dans les yeux, il se mit à pincer le bout de son sein, très sensible, et lui dit :

_ Il faut que tu saches, ma petite, qu'ici il n'y a pas d'indécence qui tienne. Ici, dans ce pensionnat, il n'y a que des élèves et des professeurs. Et les professeurs fixent les règles que les étudiants doivent suivre s'ils ne veulent pas être punis comme il se doit.

Mark se rapprocha le plus près possible de son étudiante, à quelques centimètres de son visage, et pinçant un peu plus fort son téton, lui dit calmement :

_ Et je t'ai dis de te déshabiller. Tu m'as bien compris?

Mark put admirer la poitrine de la jeune fille. Une bien belle poitrine, qu'il avait envie de malaxer, titiller, mordre, torturer... Ses tétons pointaient incroyablement. Mais il vit aussi que la petite garce prenait un malin plaisir à faire traîner les choses, mettant une éternité pour défaire sa jupe. Elle le chauffait, c'était évident. Énervé, Mark attrapa la jeune fille par les cheveux, la tira vers lui, avant de gifler plusieurs fois sa poitrine.

_ Et tu te dépêches d'obéir, tu entends? On a pas toute la vie!

Mark afficha un sourire satisfait, froid, lorsqu'enfin Myrioko se retrouva entièrement nue. Il constata également qu'elle ne portait aucun sous-vêtement. Pas de soutien-gorge, pas de culotte... Il en déduit alors qu'il se retrouvait face à une belle petite cochonne, et afficha un nouveau sourire satisfait.

Mark s'avança ensuite vers Myrioko, la fixant droit dans les yeux. Il posa alors sa main entre ses cuisses, effleurant la fente de son sexe du bout des doigts. Puis il se retourna, et alla s'assoir à sa chaise.

_ Tu as l'air d'aimer ça, quand un homme te domine... lui dit-il enfin. Ça tombe bien, j'aime ça, dominer.

Il la regarda un instant et continua :

_ Viens par ici s'il te plaît. Viens te mettre à genoux face à moi.

Il s'avança vers Myrioko et toucha son sexe d'un doigt, le retirant trop vite au gout de la chienne soumise qu'elle était. Elle ne protesta pourtant pas et fit ce que le professeur lui dit. Elle s'approcha de lui a quatre pattes et se mit a genoux devant lui. Elle hésita un moment avant de dire :

-M...maître ?

Lorsque Myrioko l'appela "Maître", Mark sentit un frisson lui traverser la colonne vertébrale. Et sentit son sexe se tendre dans son pantalon. Il regarda la jeune fille devant lui. Nue, à genoux. Parfaitement soumise. Il sourit. Puis avança sa main vers elle. Il se mit à caresser son cou, descendit sur ses seins, pinça une nouvelle fois ses tétons, plus fort cette fois-ci, testant ainsi leur résistance à la douleur. Et il descendit encore, jusqu'à poser son doigt sur sa fente. D'un geste de la main, il lui écarta légèrement les cuisses, pour avoir plus facilement accès à ce qu'elles renfermaient. Il trouva l'entrée de son sexe, déjà bien humide, et y planta immédiatement son doigt. Mark était à quelques centimètres du visage de Myrioko.

_ Tu as l'air d'une bonne chienne, lui dit-il. Je peux t'offrir beaucoup de plaisir. Ce plaisir passera par la douleur, et l'humiliation, mais tu seras bien récompensée si tu es sage, et obéissante. Si tu veux partir, tu peux encore. Tu prends tes affaires et tu sors d'ici tout de suite. Si tu veux rester, et savoir tout ce que j'ai à t'offrir, saches que tu ne pourras pas faire machine à arrière. Et si tu veux rester...

Mark défit l'ouverture de son pantalon.

_ ... tu peux commencer par me montre ce que tu sais faire pour être sage.

Quand la main de celui qu'elle avait appelé maitre entra en contact avec son cou elle ferma les yeux pour apprécier la caresse. La main descendit sur ses seins et un pincement se fit sentir sur ses tétons, elle gémit et mouilla un peu plus, elle aimait la douleur. La main glissa plus bas vers la chatte humide de la chienne soumise qu'elle était a présent devenue et elle écarta docilement les cuisses. Le doigt de son maitre pénétra son vagin brusquement, lui arrachant un nouveau gémissement, faible, il en faudrait bien plus pour qu'elle crie. A la tirade de l'homme, quand elle entendit les mots "douleur" et "humiliation", un frisson de plaisir la parcouru, elle se mordit la lèvre inférieur et elle ouvrit a demi les yeux. Elle se lécha les lèvres avant de répondre :

-Je ne partirais pour rien au monde, mon corps vous appartient pour toujours désormais...soyez mon maitre...s'il vous plait

Elle sortit le membre du pantalon et commença a lécher le bout du gland.

Mark se laissa déshabiller, et lorsqu'il sentit la langue de Myrioko s'abattre sur son gland, il sourit en laissant échapper un petit rire satisfait.

_ Tu es une bonne chienne, lui dit-il...

Il caressa les cheveux de Myrioko, et dégagea sa nuque. Puis il fouilla dans un tiroir de son bureau, ordonnant à Myrioko de continuer jusqu'à ce qu'il lui dise d'arrêter, et en sortit un collier et une laisse. Tandis que la jeune chienne continuait de sucer son Maitre, celui-ci attacha d'abord le collier à son cou, puis accrocha la laisse au collier.

_ Et une bonne chienne a le droit à son collier et à sa laisse, n'est-ce pas ?

Après avoir bien profité de la bouche de Myrioko, Mark estima qu'il était temps d'arrêter. Il tira alors sur la laisse afin que sa chienne lâche son joujou. Il se leva, retira sa chemise, mais garda son pantalon, bien que son sexe encore dur soit encore dehors.

_ Ne me fais pas jouir tout de suite, lui dit-il. Tu mangeras plus tard. Pour l'instant suis moi.

Mark attrapa la laisse et tira Myrioko jusqu'au milieu de la salle.

_ Mets toi à quatre pattes là-dessus, lui dit-il en désignant un bureau d'écolier.

Et en attendant que sa chienne s'exécute, il se dirigea jusqu'à la grande armoire qui se trouvait au fond de la classe. A l'intérieur se trouvaient divers objets, de plaisir et de torture... Le parfait attirail du Maître dominateur qu'il était. Il en sortit une paire de pinces, auxquelles étaient rattachés des poids, ainsi qu'un martinet.

_ Bien, dit-il ensuite à Myrioko. Jouons un petit peu...

Myrioko aurait eut envie de le sucer encore un peu mais se résigna, elle se devait d'être obéissante pour plaire a son nouveau Maitre. La petite chienne suivit son Maitre a quatre pattes jusqu'au milieu de la pièce puis grimpa sur le bureau et attendit la suite sagement. Elle l'entendit ouvrir un placard et prendre des choses dedans, il lui annonça ensuite qu'ils allaient jouer un peu.

-Quel jeu Maitre ? Je veux jouer =3

Myrioko avait dit à Mark qu'elle voulait jouer. Et sans attendre, Mark lui assena un grand coup de martinet sur les fesses !

_ Ne me dis plus jamais que tu veux quelque chose, petite chienne ! Ici c'est moi, qui veux. Toi, tu demandes, voire tu supplies. Compris ?

Puis Mark fit le tour de sa chienne. Son sexe était toujours sorti, fièrement exhibé. Il tira les cheveux de Myrioko pour qu'elle le regarde, et lui cracha au visage. Sans rien dire de plus, il continua son tour. Il saisit un de ses seins, tira sur la pointe, et accrocha une des pinces à laquelle était rattaché un poids. Il répéta l'opération sur son deuxième sein. Maintenant, les seins de Myrioko pendaient et se balançaient de droite à gauche.

Mark se replaça derrière elle, caressa sa fente, très humide, puis son anus. Dans les deux cas, il pénétra un peu son doigt à l'intérieur. Pour la titiller. Puis il reprit:

_ Bien, jouons. Je vais te donner 30 coups de martinet. Pour voir comment ma chienne réagit aux corrections. Tu comptes chaque coup, et tu remercie ton Maitre. Si tu te trompes, on recommence. C'est simple.

Et Mark lança le premier coup. Le cuir claqua les fesses de la jeune fille, y laissant déjà une belle trace rouge.

Le cuir claqua sur sa peau et elle serra les dents, elle l'avait mérité. Son Maître lui dit qu'elle ne devait plus jamais dire ce qu'elle voulait, son rôle était de demander ou supplier.

-Com...Compris Maître.

Mark lui tira brusquement les cheveux, tournant son visage vers son sexe toujours sorti pour qu'elle puisse l'admirer puis lui cracha au visage, encore une fois elle ne protesta pas. Il lui mit ensuite des poids aux seins, ça la tirait, c'était plutôt excitant. Mark finit par se placer derrière elle et caressa ses deux orifices, faisant pénétrer son doigt légèrement a l'intérieur. Il lui expliqua le jeu, elle hocha la tête montrant qu'elle avait compris. Le cuir mordit une deuxième la peau délicate de ses fesses et elle se mordit la lèvre avant de dire :

-Un...merci Maitre.

Mark continua de donner les coups de fouets à Myrioko, content que sa petite chienne soit si obéissante et soumise. Au trentième coup, il avait recouvert les fesses de la jeune fille de marques rouges, mais aussi le haut de ses cuisses, jusqu'à l'intérieur des cuisses, sur son sexe. Le fessier de Myrioko avait tout simplement l'air en feu !

Il s'approcha alors d'elle, caressa son corps, gifla ses seins, sur lesquels étaient toujours attachés les poids, ce qui les fit se balancer encore plus. Puis il redescendit sa main et la colla entre ses cuisses. Ainsi il put constater que Myrioko mouillait toujours autant. Il enfonça ses doigts en elle, brutalement. Après l'avoir ainsi pénétrée un instant, il monta lui aussi sur la table.

_ Tu es une bonne chienne, lui dit-il d'un ton solennel.

Et il posa son gland sur sa fente. Puis posa ses mains sur ses hanches, et commença à s'enfoncer en elle.

Myrioko se comportait comme une bonne chienne, a chaque coup elle comptait et remerciait son maitre comme il le lui avait ordonné. A chaque coup de fouet elle sentait son petit cul brûler un peu plus. A chaque coup de fouet elle mouillait un peu plus, la cyprine coulait a présent le long de sa cuisse, s'il continuait comme ça elle allait jouir juste grâce a la douleur. Malheureusement le trentième coup arriva trop rapidement et le plaisir retomba, elle se trouvait a présent haletante.

Il la caressa puis gifla violemment sa poitrine qui balancèrent encore plus, tirant sur ses tétons devenus ultrasensibles. Elle gémit de plaisir. La main glissa vers son entrejambe et ses doigts s'enfoncèrent brutalement en elle, elle ne put retenir un petit cri et ses hanches qui n'attendaient que ça se mirent a remuer. La pénétration ne dura cependant que quelques secondes et il retira ses doigts, englués de cyprine. Myrioko le sentit monter sur le bureau, derrière elle. Il lui dit qu'elle était une bonne chienne. Myrioko sentit le bout du sexe de son Maître a l'entrée de sa fente puis il commença a s'enfoncer lentement en elle. Le joli petit cul de la chienne commença a remuer, elle était excitée a bloc et aurait voulut une pénétration plus violent mais se retint de reculer, son Maître n'aurait surement pas apprécié. Elle ne put retenir un léger aboiement.

-Ouaf !

En sentant son sexe s'enfoncer en elle, la petite chienne de Mark se mit à aboyer. Elle se prêtait au jeu à 200% et Mark adorait ça. Alors il prit la laisse dans sa main, et tira dessus. Cela étranglait sûrement un peu Myrioko mais qu'importe. Ainsi, la petite soumise était obligée de se cambrer, et Mark pouvait admirer à loisir la courbure de son dos et son fessier remuer à chaque coup de butoir !

Puis Mark commença à accélérer le rythme, jusqu'à la défoncer complètement. Et dans le même temps, il l'insultait, la traitant de tous les noms. «Sale petite chienne!» «Ma petite pute à moi!» Tout cela excitait encore plus Mark, qui accéléra encore un peu plus le rythme. Il se saisit alors du martinet, et se mit à fouetter le dos de la pauvre Myrioko.

Mark continuait de baiser la petite Myrioko très fort, défonçant l'intérieur de sa chatte à chacun de ses coups de reins. Et l'excitation le rendait fou, voire violent, et plus il la défonçait, plus il lui fouettait le dos et le cul. Des marques rouges recouvraient sa peau. Mais Myrioko avait l'air de tenir le coup et au contraire, d'en tirer du plaisir.

Alors Mark cessa de la fouetter et, toujours en la pénétrant brutalement, écarta ses deux fesses. Il cracha un gros paquet de salive sur son petit trou, avant de poser deux doigts dessus et de les enfoncer en elle. Il lui doigta le cul pendant un petit moment, pour détendre le muscle et élargir l'entrée, puis il retira ses doigts. Et les remplaça par le manche du martinet. Il le fit rentrer très vite, et quasiment en entier, sans faire attention à la douleur que pourrait ressentir Myrioko. Une fois installé, il le fit aller et venir à l'intérieur, comme s'il s'agissait d'un sextoy. Bien sûr, il continuait de la prendre par devant. Ainsi, la petite chienne Myrioko était prise en sandwich, en quelque sorte. De son autre main, Mark alla titiller le clitoris de la jeune fille.

Il était bien décidé à la faire jouir, maintenant !