bureau du nouveau surveillant

Maitre L découvrait le bureau qui lui était destiné. Accolée à ses appartements, une petite pièce obscure, tapissée de mosaiques tentant de faire croire que les murs du bureau était d'inspiration romaines. En fait la couleur et les motifs lui faisait plus penser aux murs des maisons de passe et des vespasiennes qu'il avait découvert avec passion lors de ses nombreuses visites dans les ruines de Pompéi.

son prédécesseur avait nettoyé la pièce et n'avait laissé comme traces de son passage que 2 chaises percées à acoudoires de hauteurs différentes, austères, en fer blanc auxquelles pendaient deux paires de menottes.

Il contourna le grand bureau et tira le fauteuil en cuir presque neuf qui lui était destiné. il se dit que celui ci avait du etre changé ou que le surveillant précédent ne s'y était jamais assis.
Il posa son sac au son et s'affala dans le moelleux fauteuil, contemplant son nouveau bureau.

il tira le premier tiroir et y trouva des clefs numérotées. il avait remarqué les chiffres gravés sur le métal des menottes des numéros. il en déduisit que ces clefs avaient leur utilité... mais il s'en occuperai plus tard.

Dans le second tiroir se trouvait le règlement intérieur du pensionnat. Il le pris et l'ouvrit sur le bureau. le craquement que fit la reluire le fit sourire... jamais ce règlement n'avait été ouvert avant ce jour, preuve que les règles de son prédécesseur lui étaient propres. Il le feuilleta rapidement et le rangea a nouveau.

Le 3eme tiroir contenait le "facebook" des élèves passés. Ce facebook avait été ouvert et réouvert des milliers de fois au vue de son usure. Des annotations étaient portées sur chaque page présentant un élève. certaines étaient simples, d'autres plus précises. Mais elle ne concernaient à priori que des anciens élèves.

Un second facebook reprenait les fiches des élèves présents, et une liasse de feuilles aggraphées mentionnaient les profils des futurs arrivants.

Maitre L feuilleta avec attention ces deux livres lorsque quelqu'un frappa timidement à sa porte

Myrioko avait appris qu'un nouveau surveillant était arrivé au lycée et elle s'était dit qu'elle devrait aller le saluer, question de politesse. Elle se rendit donc au bureau des surveillant et toqua timidement a la porte. Habillée comme a son habitude sans sous-vêtement, elle portait l'uniforme d'été du lycée, c'est a dire une jupe plutôt courte de couleur rouge ainsi qu'un chemisier blanc et rouge. Elle avait ouvert les premiers boutons de son chemisier ce qui créait un beau décolleté et laissait l'orée de sa poitrine visible.

Elle entra, n'attendant pas de réponse de la part du surveillant et ayant prit cette habitude avec son prédécesseur. Elle salua le nouveau d'un sourire et ouvrit ses fines lèvres pour se présenter.

-Bonjour monsieur, je m'appelle Myrioko Hakura et je suis élève ici. J'espère que nous allons bien nous entendre.

Elle lui adressa un clin d'oeil.

Lorsque la porte d'ouvrit Maître L fut surpris. il ne lui avait pas semblé dire "entrez".

La jeune effrontée était dans l'encadrement la porte, dans la tenue réglementaire de l'école. Elle avait juste défait quelques boutons supplémentaires pour laisser apercevoir la naissance de ses seins.
Maître L compris qu'elle n'avait pas de soutien gorge. il lui a même semblé qu'elle pointait. Lorsqu'elle le salua son clin d’oeil et son regard mutin lui laissa penser qu'il allait souvent avoir affaire avec cette jeune élève. Elle avait été la première et pour le moment la seule a venir se présenter. Elle était courageuse et sans gène. 2 qualités qu'il appréciait si elles étaient domptées.

Cela n’empêchait pas que cette effrontée avait ouvert la porte de son bureau sans attendre de réponse. Il se dit que les habitudes prises du temps de son prédécesseur avait fait leur temps et qu'il fallait reprendre les choses en main et mettre un peu de discipline dans ce pensionnat... et dans ce bureau

Il se leva,posa ses poings sur son bureau et lui ordonna

"sortez mademoiselle je ne vous ai pas autorisé a entrer"

La jeune fille s'attendait a un accueil plus chaleureux de la part du nouveau surveillant, sa réaction la surpris quelque peu et elle le regarda quelques secondes, un air d'incompréhension dans les yeux. Elle comprit ce qu'il voulait et sortit de la pièce sans rien dire, la tête baissée et ses yeux fixant le sol, sans lui tourner le dos. Elle referma la porte derrière elle et toqua de nouveau, attendant cette fois la réponse pour pénétrer de nouveau dans la pièce. N'ayant pas eut le temps de la voir en détail. Il y avait un fauteuil de cuir devant le bureau rectangulaire n'ayant pas changé depuis son dernier propriétaire, sur ce bureau le facebook des élèves était ouvert et elle avait du mal a reconnaitre les personnes des photos, surement dut au fait qu'elle les voyait a l'envers. Elle courba le dos avant de saluer le nouveau surveillant :

-Bonjour Monsieur, désolée de ma soudaine intrusion de tout a l'heure ce n'était pas très poli de ma part d'entrer sans attendre votre autorisation...

Elle attendait qu'il dise quelque chose, gardant l'échine courbée.

Maître L surveilla du coin de l'oeil le retrait de la jeune élève. lorsque la porte se ferma il sourit.

Apres qu'elle eu frappé a nouveau a la porte il attendit quelques secondes avant de lui lancer un "entrez" qui n'avait rien de chaleureux.
Il tenait à marquer son territoire et à faire comprendre a cette jeune effrontée qu'on ne rentrais plus dans son bureau sans le minimum de révérence dû au corps enseignant.

Elle s’avança courbant l'échine vers le bureau rectangulaire. Cette position rendait son décolleté encore plus plongeant ce qui entraîna chez le surveillant une érection immédiate.

Il se leva et contourna son bureau et se planta devant elle

"redressez vous mademoiselle"

Le surveillant fit le tour de son bureau avant de se planter devant elle. Il lui ordonna sèchement de se relever. Elle se redressa donc, lentement et planta son regard dans le sien. Elle ne savais rien de cet homme mais se disait qu'elle allait bien l'aimer. Autoritaire, dominateur, un homme parfait a ses yeux.

Elle resta là à le regarder en attendant un autre ordre de sa part. Elle s'imaginait déjà avec son membre allant et venant violemment en elle. Rien qu'à cette idée elle commença a mouiller un peu.

[hrp : excuse la longueur mais pas trop d'idées...]

elle se redressa et se tint droite devant lui. elle était encore a 2 mètres du grand bureau

il posa sa main sur sa joue, la caressa doucement quelques secondes puis la gifla violemment avant de recommencer a la caresser doucement, presque avec tendresse.

il se retourna vers le bureau et saisi le facebook. il le tourna vers elle et lui demanda de chercher sa fiche

La main de l'homme qui lui faisait face vint lui caresser doucement la joue, surement pour que la claque qui suivit soit plus surprenante. Une fois qu'il eut enlevé sa main de sa joue maintenant rouge elle ne dit rien.

Elle se contenta de prendre le facebook qu'il lui tendit et l'ouvrit, se cherchant parmi les visages familiers qui peuplaient les pages du livre épais. Elle finit par se reconnaitre et tendit le livre au surveillant, le doigts sur sa photo.

-C'est moi, me voilà.

Le surveillant fut amusé par l'absence de réaction de la jeune fille. elle ne s’attendait certainement pas a cette caresse et encore moins à la gifle qui suivit. Mais il adorait souffler le chaud et le froid, l'amour et la haine, la violence et la tendresse...

elle lui désigna la page correspondant à sa fiche sur le Facebook. il la lu distraitement.

Il la fit se retourner face a lui et posa sa main sur son sein droit, par dessus son chemisier déboutonné. il caressa doucement ce sein lourd et ferme. sa caresse devint plus forte et insistante.
Il guettai les réaction de la jeune éleve

Elle le laissa la retourner et se retrouva a lui faire face, elle le détailla du regard, le trouvant mignon, un peu. Une main vint lui caresser le sein droit ce qui la fit frissonner. Elle ne tenta pas de repousser la main qui palpait avec de plus en plus de force et d'insistance se poitrine ferme et sensible au possible. Elle se contenta de demander, prenant un air timide et gêné :

-Êtes-vous sur d'en avoir le droit, Monsieur ?

Elle lâcha un petit gémissement.

Il ne daigna pas répondre a sa question...

en avait il le droit ?!?!?! jamais il ne s'était posé cette question incongrue... il marqua un temps d’arrêt devant cette question saugrenue qui le déstabilisa une fraction de seconde... il ne s’attendait pas à ça.. on lui en avait fait des remarques dans sa carrière... mais jamais celle là !
Bien sur qu'il avait tous les droits entre les murs de son bureau, dans tous le pensionnat et ailleurs aussi probablement.

D'ailleurs il pensa a mettre une affiche sur sa porte d'entrée "vous qui entrez ici, abandonnez tous droit et toute dignité"... cette idée le fit bander encore plus

il accentua sa caresse sur ce sein offert, elle lacha un gémissement discret mais audible et repoussa contre le lourd bureau la jeune élève

La question qu'elle venait de poser sembla le déstabiliser vu qu'il resta quelque seconde suspendu dans son geste. Il avait l'air d'apprécier la caresse sur sa poitrine vu que la bosse déjà formé dans son pantalon grossit.

Myrioko se demandais s'il était comme Mark, dominateur, violent, humiliant, cela lui aurait beaucoup plus.

Le surveillant la poussa contre le bureau se trouvant derrière elle, lui ôtant toute chance d'échapper a ses mains qui lui malaxait le sein droit avec toujours autant d'ardeur.

Maitre L. planta son regard dans celui de la jeune élève.

son soupir lui avait plu

il glissa ses doigts sous son chemisier, l'ouvrit en grand, découvrant sa poitrine puis repris sa caresse encore plus fermement.
il pris son téton entre pouce et index et le pinca fortement tout en glissant son autre main entre ses cuisses par dessus sa jupe.

elle ne pouvait reculer, les fesses bloquées par le lourd bureau

Il finit par ouvrir le chemisier de la jeune élève en grand et de poursuivre la caresse sur son sein mais a même la peau, cette fois. La caresse fini par cesser, laissant place a un pincement fort.

Une main vint se glisser entre ses cuisses et commença a caresser son sexe humide par dessus sa jupe.

Elle se mordit la lèvre pour ne pas gémir et ainsi dévoiler son plaisir.

le surveillant remarqua que la jeune élève se mordait la lèvre... aimait elle cette sensation de douleur... il vérifierai ça plus tard

sa main droite se glissa entre ses cuisses et de son majeur et de son annulaire il commença a frotter violemment le petit bouton de la jeune fille

Un frottement aussi violent contre son clitoris lui fit mal et elle laissa échapper d'entre ses lèvres un petit cri. La douleur fit grimper son excitation en flèche et elle commença a mouiller abondamment. Elle finit par supplier :

-Acceptez d'être mon second maitre, s'il vous plait. je veux être votre jouet sexuel et satisfaire tout vos désirs...

ma caresse violente sur son clitoris ce transformât en pincement tout aussi violent

je n'aime guère partager... mais tu m'as l'air assez interressante pour deux

La jeune soumise descendit sa main vers l'entrejambe du surveillant. D'une seule main elle défit la braguette et le bouton et sortit le membre tendu de sa prison de tissu. Elle commença a le caresser doucement de sa main. Quand il lui pinça violemment le clitoris elle lâcha un bref hurlement de douleur. Elle resserra l'étreinte de sa main autour du sexe dur de son nouveau maître et commença a faire des va et viens.

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