J'ai une tête à obéir moi? [Maitre L]

Les gens me font rire ici, y croit vraiment qu'ils vont pouvoir me rendre obéissante non parce que franchement ce genre de choses n'arrivera pas faut l'avouer. Mes parents m’envoie de pensionnat en pensionnat espérant qu'à un moment donné je vais arrêter et je vais me tenir tranquille, une chose incertaine il faut l'avouer. J'aime répondre, j'aime provoquer et faire les pires conneries qu'il puisse exister. Me drogue, c'est un passe-temps pour moi, j'aime bien ça passe mes journées.

Les mecs, j'aime les faire souffrir, en fait je fais que ça parce que je veux pas m'investir dans les relations, relations sérieuses très peu pour moi. Je continue donc mes conneries en cours et je finis par me faire renvoyer du cours pour mauvais comportement comme d'habitude, à vrai dire ça ne va pas changer de d'habitude, je ne fais que ça.

Je me retrouve donc dans le bureau des surveillants et un surveillant me regarde pour me faire peur, non mais il a cru quoi lui? Je lui rigole au nez, parce que franchement monsieur je crois faire peur à tout faut. Je lui dis alors:

Si t'es pas content c'est pareil...tu fais pitié là!

la jeune rebelle entre dans mon bureau envoyée par un des professeurs. exclue pour "Manque de respect" est inscrit sur le bon que me tend la jeune fille.

Elle est vétue de l'habituelle tenue d'été du pensionnat. Petite jupe plissée rouge mi cuisses et chemisier blanc. Cravate rouge et chaussures vernies. Au moins, elle est dans les codes vestimentaire du lieu. En même temps elle n'a pas le choix, sa fiche stipule "élève caractérielle, provocatrice, rejetant toute autorité" c'est pour cela qu'il lui a été confisqué tout vêtement personnel lors de son entrée au pensionnat, traitement rare et réservé qu'aux fortes têtes.

Son attitude insolente, moqueuse me fit penser qu'il aller certainement falloir employer la manière forte pour dompter cette récalcitrante. Mais je croyais à l'intelligence de cette jeune fille et je tenais à essayer de la prendre par les sentiments, nouer un climat de confiance. je n'avais rien contre elle mais j'avais les moyens de la faire plier si nécessaire.

"asseyez vous ici" lui demandais-je aimablement en lui montrant une des deux chaise percée en fer blanc installées devant mon bureau.

Dans le pensionnat, tout le monde me connait connait "La rebelle" du pensionnat mais à vrai dire je m'en contrefiche un peu, ils peuvent dire ce qu'ils veulent de moi je suis comme ça et je ne suis pas prête de changer. Mes parents n'ont pas réussit à me faire changer, ce n'est pas eux qui réussiront, ils se mettent le doigt dans l'oeil. Ça va finir comme dans chaque pensionnat, être renvoyé et mes parents devront encore en trouver un autre comme d'habitude.

J'arrive donc dans le bureau des surveillants avec mon mot d'exclusion, j'aurais encore un rapport d'exclusion comme d'habitude. Vêtue dans la tenue d'été, j'entre dans le bureau et lui tends le papier. Son regard me fait plutôt rire qu'autre chose, il a vraiment cru me faire peur. Il me dit de m'asseoir en me montrant les chaises. Je m'y installe en écartant les cuisses, rien que pour le provoquer et lui dis alors:

Je suis assise, c'est bon ça te va? Tu veux quoi?

elle me tend son papier et s'assied devant moi sur la chaise.
Dans une ultime provocation elle écarte les cuisses assez pour me laisser voir le haut de ses cuisses tout en se permettant de me tutoyer.

Furieux devant tant de laisser aller je me lèves d'un bond et fait le tour du bureau. Ma main claque d'un aller retour sur ses joues.
je m'avance assez pour glisser mes jambes entre ses cuisses écartées et défait ma braguette

Je viens donc lui tendre mon papier où il y a mon rapport d'exclusion et m'assied sur la chaise en face de son bureau. La rébellion, ça fait partie de moi, je suis comme ça et personne ne pourra me changer, ni mes parents ni ces surveillants qui se croit tout permit. Pour le provoquer encore plus, j'écarte mes cuisses pour le laisser voir le haut de mes cuisses et le tutoie comme si c'était un pote.

Il vient se lève d'un bond et fait le tour du bureau, alors que sa main vient se poser sur mes deux joues en claquant assez fort. Non mais il se prend pour qui lui? Il glisse entre mes cuisses et défait sa braguette. Malgré ma grande provocation, je suis encore pucelle et je le donnerais pas comme ça. Je le regarde alors et lui dis:

Non mais t'as cru quoi là? Que j'allais être obéissante et te satisfaire? T'as rêvée là!

a son regard je compris que la manière forte serai nécessaire. Une rebelle ça se calme par la force, le dialogue ne sert a rien. une longue et pénible éducation pour briser son caractère allait commencer.
La première leçon était pour de suite.

je retourne derrière mon bureau la laissant souffler et avoir la satisfaction de la victoire. J'ouvre le tiroir du haut et en retire 2 paires de menottes métalliques.

je les lance sur le bureau, elles glissent jusque devant ses yeux, puis je reviens vers elle qui ne s'était toujours pas départie de son air arrogant.

elle compris...

Ce surveillant commence légèrement à m'énerve, il croit vraiment que je vais l'écouter et être la gentille fifille à l'écouter et à me taire. Je le vois défaire sa braguette, non mais là je vais pas le satisfaire il a rêvée. Alors qu'il retourne derrière son bureau, je sens enfin que j'ai gagnée et j'ai battus ce surveillant.

Pourtant, lorsque je le vois lancer sur le bureau deux paires de menottes métalliques, je le regarde dans les yeux et je comprends qu'il veut m'attacher, non je suis pas le genre à me laisser dominer comme ça. Je me relèves et m'approches de la porte rapidement et lui dis:

Non mais je vais y aller là, c'est pas possible...

la jeune rebelle a pris peur en voyant les menottes atterrir devant elle. Elle se lève brusquement manquant de faire tomber la chaise pour se diriger vers la porte du bureau.

a peine a t'elle posé la main sur la poignée de la porte que je l'attrape par le bras et la tire en arrière, assez brusquement pour la déstabiliser.

elle tombe au sol

je prend le temps de refermer la porte a clef et de ranger la clef dans ma poche. plus d'échappatoire.

Maintenant la première leçon de respect allait commencer

Lorsque je vois les menottes atterrir devant moi, j'avoue que là je n'ai pas vraiment envie de rester dans le bureau. Après tout, j'ai rien à faire dans ce bureau maintenant que je lui est donné ce fameux papier d'exclusion. Je me lève rapidement et me dirige vers la porte du bureau. Alors que je pose ma main sur la poignée, il m'attrape par le bras et me tire en arrière, ce qui me fait tomber au sol.

Il referme la porte à clé derrière lui et range la clé dans sa poche, je le regarde et remets ma jupe comme il faut alors qu'il vient s'asseoir au dessus de moi, je me demande ce qu'il fait là. Je le regarde et pour le déstabilisé je lui dis:

Je ne suis pas dépucelé et vous n'aurez pas ce loisir là!

assis a cheval sur son bassin je lui attrape les poignets et les lui bloque au dessus de la tete d'une seule main.
Ma force et ma puissance font d'elle un fétu de paille a ma merci.

elle me cracha au visage qu'elle était encore vierge et que je ne l'aurai pas... ce qui décupla encore plus mes forces. Mon sexe se tend sous mon pantalon

tu es pucelle jeune rebelle?... plus pour longtemps

je l'attrape par les cheveux et me relève en la tirant par sa longue tignasse. je la force à se relever sans se servir de ses mains mais en lui tirant les cheveux.

une fois debout je la guide, toujours par les cheveux jusqu'au bureau et la force a se mettre a plat ventre sur lui.

m'appuyant de tout mon poids sur elle je lui vérouille bras écartés chaque poignet avec les menottes a de petits anneaux fixés par mon prédécesseur sur le dessus du bureau. Ce brave homme avait pensé a tout.

la jeune rebelle était maintenant bras en croix, a plat ventre sur le bureau, les pieds touchant a peine le sol

Assis au dessus de moi, il attrape mes poignets et me les bloque au dessus de ma tête, en effet avec sa force il peut faire de moi ce que bon lui semble. Je lui dis alors que je suis encore vierge et qu'il ne m'aura pas, je le regarde et lui dis alors:

Si vous faites ça je vous dénonce...et votre travail va vite être donné à quelqu'un d'autre, mis à la porte ce serait dommage non?

Il m'attrape par les cheveux et me relève en me tirant par mes cheveux pour me forcer à me relever. Debout, il me tire vers le bureaux et me force à m'allonger sur le ventre sur le bureau. Il m'attache les poignets avec ces fameuses menottes vue précédemment et attaches les menottes à des petits anneaux. Allongés à plat ventre, les bras attachés, je resserre doucement les cuisses même si ma capacité de l'empêcher est minimale.

la rebelle est face a moi, sa croupe est encore protégée par sa jupe bien trop courte pour cacher la naissance de ses fesses dans cette position.

Elle serre les cuisses et les pieds mais elle doit se douter que toute résistance est inutile.

tu pensais que personne ne te materai jeune fille, je vais t'apprendre à etre docile moi

je relève sa jupe et caresse fermement ses fesses avec l'intense émotion d’être peut etre le premier à m'aventurer dans ce lieu sacré.
je la force a s'écarter en glissant mon pied droit entre les siens et en tapant contre l'intérieur de sa cheville droite

Son joli petit cul rebondi est sans défense soumis a mes désidératas

Afin de résister un peu, je serre les cuisses mais je sais très bien que ce n'est pas forcément utile, je suis attachée et sur le ventre, je ne vais rien pouvoir faire. Je souris en me moquant et lui dis alors:

Moi être docile? Tu peux toujours rêvée par contre, ça n'arriveras jamais ça tu entend! JAMAIS!!!

Il relève ma jupe et caresse mes fesses en essayant de bouger pour qu'il arrête, je veux pas être soumise face à un mec! Il me force à écarter mes cuisses en glissant son pied entre mes jambes et en tapant à l'intérieur. Je mord ma lèvre en essayant de me détacher, sans aucune chance.

elle essaye bien de se débattre dans d'inutiles contorsions qui m'amusent

sais tu jeune fille que la soumision par le sexe est une des soumission les plus ancienne tu peux dire ce que tu veux je te ferai devenir très docile

ma caresse sur ses fesses se fait plus insistante.

sous sa jupe elle a mis la shorty rouge réglementaire. Ses coutures ne résistent pas et cèdent dès que je tire dessus, offrant ainsi deux orifices encore inexplorés à mes envies.

ma main gauche s'insinue entre ses fesses puis ses cuisses avec un objectif précis, aller se écarter entre ses lèvres intimes pour sonder la réalité de son pucelage.

je présente mon majeur droit devant sa bouche et lui ordonne de le lubrifier de sa salive

tu peux refuser, mais cela te fera moins mal

Ce qu'il me dit m'amuse fortement, me rendre docile moi mais il se rend compte de ce qu'il dit là? Parce que c'est pas possible! Je le regarde en tournant la tête et lui dis alors:

Tu sais que c'est la seule fois où tu auras mon corps alors profites en!

Ses caresses sur mes fesses se font très insistante, heureusement pour moi aujourd'hui j'avais mis le shorty réglementaire, sinon il m'aurait punis encore plus. Il tire dessus et cela ne résiste pas, sa main gauche vient caresse entre mes fesses et mes cuisses. Il présente son majeur droit devant ma bouche afin que le lubrifie de ma salive. Je le regarde et lubrifie son majeur en le regardant:

Et si je veux pas que tu me dépucelle?

comprenant qu'elle ne peut rien faire, elle prend en bouche mon majeur
es tu en position de négocier

elle le suce doucement un moment et je le retire pour le glisser entre ses levres intimes que les doigts de ma main gauche tenaient écartées.

à la résistance que je sentis je compris qu'elle était encore vierge et que son pucelage serai a moi

je retire ma main et baisse mon pantalon pour liberer mon sexe dur et tendu

Je prends dans ma bouche son majeur et vient le lubrifie doucement et me demande si je sis en position de négocier, ça c'est sur que dans cette situation c'est pas vraiment une position mais bon. Je le regarde et lui dis alors:

Je ne suis pas une soumise et je le serais jamais!

Je le suce doucement alors qu'il le retire pour le glisser entre mes lèvres intimes alors que ses doigts tiennent écarter. Il sent bien que ça n'a pas étais pénétrer une seule fois, alors que je me mord la lèvre en le sentant faire. Alors que je le regarde, je le vois baisser son pantalon et voit son sexe dur et tendu. Je lui dis alors:

Tu me pénètre pas comme ça, y a des préliminaires avant monsieur je sais tout!

je souris à sa réflexion... des préliminaires... c'est bon pour les filles qu'on respecte pas pour les petites rebelles que l'on éduque.

tu veux des préliminaires? tu en auras lorsque tu seras devenue obéissante...et encore si ton maitre le décide. Pour le moment c'est moi qui décide

je présente mon sexe tendu à l"entrée de sa fente et m'y enfonce d'un seul coup, tellement violemment qu'elle décolle les pieds du sol.

Son pucelage viens de céder sous un seul de mes assaut... cette petite rebelle est dorénavant une petite salope qui va apprendre a obéir au nouveau surveillant

Je lui demande des préliminaires, c'est la première fois alors il faut que je sois prête pour ça quand même. Il ne veut pas me les donner en plus, quel con ce surveillant je le hais! Je le regarde et lui dis alors:

- Oui je veux des préliminaires, je suis encore pucelle si tu t'en rappelle pas...j'ai pas envie d'avoir mal moi! Et non c'est moi qui décidé je les veux!

Mais sans que je puisse dire quelque chose, je sens son sexe me pénétré d'un coup tellement violent que je décolle mes pieds du sol dans un cri de douleur, non mais il est malade celui là. A croire qu'il a jamais dépucelée une fille, on y va en douceur généralement pas comme un sauvage. J'essaye de bouge pour enlever son sexe de mon intimité.

cette jeune insolente n'était pas la première que je dépucelais... j'avais toujours été tendre avec les précédentes, leur donner du plaisir alors qu'en échange elles s'offraient à moi volontairement (pour la plupart) était un devoir...
Mais cette rebelle ne méritait pas de plaisir.
Elle ne méritait que corrections jusqu’à ce que la discipline rentre dans sa petite tête.

J'en avait maté de plus dure que ça. Toutes étaient devenues au fil du temps de vrai petites soumises implorant que je m'occupe d'elles...

Mon sexe tendu était au plus profond d'elle même et ses petits mouvements de hanches en vue de me faire sortir ne faisaient que faire durcir mon membre.

je me retirai doucement pour entrer encore plus violemment en elle... elle en pleurerai ou en jouirai mais elle cèderai

Ce surveillant là m'exaspère au plus haut, il me pénètre violemment alors que c'est ma première fois, à croire qu'il n'a jamais dépucelée une fille de sa vie. J'ai bien envie de le frapper mais je ne suis pas dans la possibilité de le faire à vrai dire, il enfonce son membre tendue bien au fond. Je bouge pour le faire sortir mais ça ne fait absolument rien, il rerentre en moi plus violemment que tout à l'heure. Je crie de douleur, il me fait mal. Je lui dis alors:

Aiiie...tu me fais mal connard!

ses insultes m’excitent... et me motivent...
elle va devoir apprendre la politesse et le respect de l'enseignant. Je lui donne sa première lecon de vie et de respect et elle n'a pas encore compris que seule sa docilité lui rendrai la liberté... provisoirement

Je viens d'être dépucelée par un surveillant, qui l'aurait cru? Pas moi en tout cas! Il continue ses coups de butoirs en moi violemment en s'appuyant sur mes hanches et mord mes lèvres avec envie. Je commence à prendre du plaisir, je gémis en sentant son membre s'enfoncer jusqu'à la garde en moi et oublie toute forme de rébellion, là je veux prendre du plaisir.

violemment je m'introduit dans la petite chatte maintenant dépucelée de la jeune rebelle.
Elle a cessé de se défendre, de se débattre.
Elle est maintenant complètement soumise aux coups de boutoir virulents que je lui met. Chacun de mes mouvements lui arrache un soupir


elle a enfin compris que toute résistance est inutile et va maintenant devenir une jeune soumise dont le dressage va commencer.
pour bien lui faire comprendre sa défaite j'appuie sa tête et sa joue fermement contre le bureau alors que je la besogne