Petite promenade (libre)

Je ne suis pas surveillant, je ne suis que prof. Et pourtant, j'aime bien me balader dans ce pensionnat, aux heures les plus tardives de la nuit. Non pas que j'ai quoi que ce soit à faire du respect de l'ordre dans cet établissement, mais prendre une jeune pensionnaire en flagrant délit, c'est une occasion pour moi de la punir bien comme il faut. Et puis parfois, la nuit, on entend des petits cris, des grognements, s'échapper de la chambre de certaines pensionnaires... Cette douce musique berce mes nuits... En général, je ne vais pas trop voir ce qu'il se passe chez les garçons. Ca pour le coup, c'est le boulot du surveillant. Mais ce soir, je m'y risque car j'ai vu la petite Myrioko, ma chienne à moi, s'y aventurer. Je l'ai suivie sans faire de bruit, gardant une bonne vingtaine de mètres entre elle et moi. La petite catin ne portait rien d'autre qu'une nuisette, qui même à vingt mètres, ne cachait rien de son corps. Et pour mon cas, de son derrière. Elle se dirigeait chez les garçons, apparemment envieuse de quelque chose de pimenté pour cette nuit. Mon plan était simple : la prendre en flagrant délit, puis la prendre tout court. Je l'ai ensuite vue trouver une cible, un garçon de son âge qui traînait par là... Il avait l'air plutôt intéressé par la marchandise, tu m'étonnes! Mais j'ai dû faire un pas de trop. J'ai tapé dans le mur sans faire attention, et alerté le garçon qui est parti en courant. Myrioko, elle, n'a pas bougé, sachant sûrement déjà ce qui l'attendait. Tant pis, je me suis mis à découvert, et me suis avancé vers elle.

_ Et on peut savoir ce que tu fais là ? lui ai-je demandé en tirant ses cheveux en arrière.

je faisais ma ronde à l'autre bout du dortoir des garçons lorsque je vis passer en courant un jeune homme qui semblait fuir une punition ...
je l'interpellais afin afin qu'il me raconte son aventure.
Il m'avoua non sans que je l'ai un peu brusqué qu'il avait croisé une jeune fille dans le dortoir des garçons... fait extrêmement grave car il est strictement interdit aux sexes de se mélanger dans les dortoirs...

j’entendis au même moment des cris de la dite jeune fille . d'un pas pressé je me dirige vers les cris et tombe nez a nez avec Mark, professeur émérite du pensionnat tirant par les cheveux la jeune Myrioko

Que se passe t'il ici?? demandais je à Maitre Mark

Je l'avais prise la main dans le sac, et Myrioko était passée aux aveux. Me disant tout simplement qu'elle était là pour se faire baiser. Ca ne m'étonnait pas vraiment d'elle, mais sa franchise ressemblait à de l'insolence, et par conséquent, m'énervait ! J'allais la tirer par les cheveux, jusqu'à mon bureau, pour lui infliger la punition qu'elle méritait, lorsque j'ai entendu des bruits de pas. Et la seconde d'après, Maître L, le surveillant du pensionnat, apparaissait dans la lumière. Je ne le connaissais pas très bien, je l'avais croisé une ou deux fois, par-ci par-là, mais on avait jamais parlé. Il me demanda alors ce qu'il se passait. Sans pour autant lâcher les cheveux de Myrioko, je lui répondis.

_ Je l'ai trouvée en train d'errer dans les couloirs. A la recherche d'une partie de jambes en l'air apparemment, ajoutai-je en sortant un sein de Myrioko de son chemisier, et pinçant vivement son téton. J'aurais bien besoin d'un avis de professionnel, du coup... A-t-on le droit de punir une élève dans le couloir ou faut-il l'amener au bureau des surveillants?

La demande du professeur Mark me sembla fort juste.

Je me dis de suite qu'une punition dans mon bureau était nécessaire mais, qu'un "procès" équitable entraînerait une sanction équitable...si tant est que l'on puisse être équitable avec un être vil et inférieur

je devais savoir ce que cette petite salope avait eu en tête avant de me prononcer... et j'avais bien une petite idée de sa punition suivant sa version des faits.Pourtant avant même de l'avoir entendu, elle paraissait coupable,

normalement les punitions doivent etre en relation avec la faute commise, je suis chargé d'y veiller. Il me semble qu'un cette petite chienne a besoin d'une correction digne d'elle si la faute est avérée

Je me baissais vers Myrioko et lui pris les cheveux a coté de la main du professeur Mark et lui demanda en les tirant

donne ta version de l'histoire jeune chienne

Ayant entendu les arguments des deux parties mon avis fut vite fait. Cette petite salope méritait une punition exemplaire..
Venir dans le dortoir des garcons avec la volonté de se faire sauter alors que des enseignants sont là pour gérer ce genre de problème est une grave erreur.

Elle devrai subir les plus bas châtiments, devant les yeux de tous les élèves du pensionnat.

tu as donc envie de te faire baiser jeune chienne... nous allons remédier a cela. Ta punition sera exemplaire

Je pris vite la décision de faire convoquer tous les élèves dans le grand amphithéâtre. et je demandais à maître Mark d'y conduire Myrioko.

La proposition de ce cher Maitre L me plut assez. Je m'attendais, à tout dire, à ce qu'on lui donne une bonne correction dans un coin tranquille, dans l'un de nos bureaux, ou bien même ici. Mais l'humilier en public... voilà qui était excitant ! Déjà j'avais hâte que le spectacle commence. Et lorsque Maitre L me demanda d'amener cette chienne de Myrioko dans l'amphithéâtre tandis qu'il irait chercher les autres pensionnaires (en pleine nuit!), je ne me fis pas prier.
Tirant sur les cheveux de Myrioko, je lui ordonnai de se mettre à quatre pattes.

_ Tu vas y aller en marchant comme la chienne que tu es, tu m'entends ? lui dis-je.

Et tandis que nous nous dirigions vers l'amphitéâtre, je ne pus m'empêcher de relever cette nuisette, qui en effet ne cachait rien de son anatomie. Je défis ensuite ma ceinture, et tout en marchant, je lui fouettai le cul avec le cuir.

_ On dirait que t'as bien déconné, cette fois-ci. Tu vas en prendre pour ton grade.

Nous arrivions à l'amphithéâtre.

tous les élèves sont assis dans l’amphithéâtre en tenue obligatoire.

un brouhaha normal pour un amphi se fait entendre lorsque le professeur Mark entre en tenant Myrioko a ses pieds, a quatres pattes, comme une petite chienne qui suis sont maître apeurée dans la rue.

Leur entrée fait sensation. Au premier rang je reconnais la petite rebelle et la jeune Ahn.

je tapote sur le micro branché et sans hausser la voix, je réclame le silence.

Plus un bruit dans l'amphi. juste le claquement de ceinture de Mark sur la peau nue des fesses de la petite chienne

Lorsque je fis entrer la chienne dans le grand amphithéâtre, les élèves se mirent à parler à voix basse, commentant l'entrée et la tenue de leur camarade. Cependant, un ordre calme mais sec de Maître L. les fit tout de suite taire. Nous sommes restés là une minute. Maître L. et mois regardions les élèves, les élèves regardaient Myrioko, et Myrioko avait la tête basse.
D'un regard, je demandai à mon confrère si je pouvais prendre le micro. Je lui donnai alors la laisse de la chienne et m'approchai du micro. Puis je dis à l'assemblée :

_ Votre petite camarade ici présente a commis une faute. Cette petite salope n'avait pour désir que de se faire prendre dans le dortoir des garçons. Et sa petite escapade mérite punition ! Ce soir, nous allons la punir comme il se doit, face à vous, et cela vous servira d'avertissement à tous ! Voilà ce que l'on fait à ceux qui désobéissent...

Je m'approchai alors de la chienne, et déchirai ses vêtements pour la mettre entièrement nue. Puis je tendis ma ceinture à Maître L. en lui disant :

_ Vous voulez commencer les hostilités, peut-être ?

avec plaisir cher ami

je pris la ceinture qu'il me tendis et la mis en boucle pour la passer autour du cou de Myrioko, sans mettre de cran de telle façon qu'en tirant dessus la ceinture pouvait l'étrangler.
je tirai d'un coup sec pour lui faire comprendre que sa respiration dépendait de son obéissante et la fis monter a genou sur le bureau en tirant sur la ceinture.

les élèves étaient silencieux et observaient la scène. La punition allait être publique, une première dans ce pensionnat mais elle allait servir d'exemple.

je pris la jeune chienne par les joues et la forca a ouvrir la bouche....

Maitre Mark... elle est a vous

Le silence régnait sur l'amphithéâtre, j'attendais, la tête basse, la suite des réjouissance. En bonne chienne je me montrais docile, même si on m'avait laissé le choix je serais restée une chienne soumise. Après avoir fait un petit discours histoire d'expliquer la situation Maitre Mark s'approcha de moi et m'arracha sans aucune pitié mes vêtement un à un, de sorte que je me retrouve nue. Il passa ensuite la ceinture à Maitre L qui la saisit et me la passa au cou. Il tira ensuite dessus d'un coup sec ce qui me coupa brièvement la respiration. Une fois qu'il estima que j'avais compris il me fit monter sur le bureau et me mettre à genoux. Je m'exécutais sans protester, gardant pour moi le plaisir que je prenais à me faire martyriser, malheureusement pour moi, on peut maitriser bien des chose mais la mouille coulant le long de ma cuisse je ne put le cacher. Maitre L pressa mes joues, me forçant à ouvrir la bouche et passa la main à son collègue.

Pendant que mon collègue, Maître L, s'amusait à jouer avec la laisse de la chienne, la laissant quelques secondes sans air, je m'occupais de mon côté à défaire mon pantalon. Je ne mis pas longtemps avant d'être nu face à toute cette assemblée. Je n'avais aucun gêne, ce qui m'importait était de punir la chienne. Aussi, quand Maître L ouvrit grand la bouche de Myrioko en m'invitant à commencer, je ne me fis pas prier.
J'attrapai fermement les cheveux de la chienne pour la faire pencher en avant, et d'un coup sec, enfonçai mon sexe au fond de sa gorge. Sans ménagement, je commençai une pénétration profonde qui la faisait hoqueter bruyamment. Je ne m'arrêtai pas pour autant, et me tournant vers l'assemblée, je dis seulement :

_ Commençons doucement, le voulez-vous...