Longueurs (— Clara Clarckson)

Je fermais les yeux pour profiter du soleil qui me caressait la peau. Quand Clara est sortie de la piscine, elle m'a fait de l'ombre, et j'ai senti de l'eau tomber sur mes jambes. J'ai ouvert mes yeux, du coup, et je l'ai regardée se mettre à quelques mètres de moi. Je ne comprenais pas pourquoi elle avait l'air si prudente. Je ne lui voulais aucun mal, au contraire. Je l'ai laissée s'installer tranquillement au soleil, et je me suis levé pour la rejoindre. Si elle ne venait pas à moi, j'irais à elle. Quoi qu'il arrive.
J'ai posé mon corps nu juste à côté du sien. Je savais qu'elle avait envie de cacher sa nudité, mais elle manquait de bras pour que je ne puisse rien voir. Du coup le spectacle me plaisait assez ! En la regardant et en souriant, j'ai passé mon doigt sur son corps, de haut en bas, de l'épaule jusqu'à sa hanche. Puis je l'ai regardée, et lui ai dit :

_ Je te fais peur ?

( tu seras punie pour ça ^^ )

Elle avait donc peur de moi. C'était un bon point. J'ai donc pris le temps de réfléchir à ce que j'allais pouvoir faire. Ma main était toujours posée sur sa hanche. A quelques centimètres de son entre-jambes. Je lui lançais des regards froids, pleins d'assurance, et d'envie. Mais dès que ses yeux rentraient en contact avec les miens, elle détournait le regard. Trop apeurée.

J'ai alors avancé ma main vers l'intérieur de sa cuisse. Mes doigts étaient à deux centimètres, peut-être moins, de son sexe qu'elle essayait désespérément de cacher avec sa main. Mais je ne la touchais pas. Je la frôlais seulement. Je trouvais ça tellement plus intimidant. Agrippant sa cuisse, j'ai tiré lentement dessus, et lui ai dis :

_ Faut pas que tu aies peur, Clara. Oublies tout ce qui peux te retenir, laisse toi faire. Et écartes tes jambes.

Clara ne cessait de se plaindre, de dire que ce n'était pas bien, qu'il ne fallait pas. Or, je savais que ce qui allait se passait ne pouvait être que bon, aussi bien pour elle que pour moi. J'ai donc pris la décision de ne plus prendre en considération ses plaintes incessantes, et de n'écouter que mes envies. Je n'allais pas la violer ! Juste la pousser à regarder en face ses propres désirs, ses désirs enfouis et inavouables (et inavoués). Que m'arriverait-il, au pire ? Elle irait se plaindre auprès du directeur ? Son témoignage ne ferait pas le poids face au mien.
J'ai alors tiré sur sa cuisse, pour lui faire écarter les jambes. Puis ma main a glissé vers le haut. Je sentais mes doigts se rapprocher de plus en plus... Jusqu'à entrer en contact. Du bout de l'index, je me suis mis à titiller les lèvres de son sexe. Humide.

_ On dirait pourtant que ça ne te déplaît pas, tout ça, lui ai-je dis.

Puis, caressant l'entrée de son sexe du bout des doigts, je lui ai dis, tout bas :

_ Lâche toi ! Je sais que tu en as envie !

Je me suis arrêté un instant, sans pour autant retirer mes doigts de son entrejambes. J'ai essayé de réfléchir une seconde. Comment une jeune fille comme elle, aussi jolie, pulpeuse, pouvait-elle n'avoir jamais goûté au plaisir de la chair !? Cependant, pour moi, c'était l'occasion rêvée. Je voyais maintenant en elle la timide jeune fille effarouchée, qui n'attendait que celui qui allait la décoincer, la sortir de son carcan. En l’occurrence, moi. Je ne me suis donc pas offusqué de cet aveu, et au contraire, j'ai avancé un peu plus mes doigts dans son sexe. Clara mouillait, je le sentais. Il fallait que je la pousse au-delà de ses limites. Mes deux doigts s'activaient maintenant à l'entrée de son vagin, tandis que mon pouce est venu se poser sur son clitoris pour débuter un doux massage.
Tout en la regardant, j'ai fini par lui chuchoter, moi aussi :

_ Quoi de mieux qu'un professeur pour apprendre ?

Lorsque j'ai senti ses doigts parcourir mon doigt, je me suis dis que le plus dur était désormais derrière nous. Clara se laissait visiblement aller à son plaisir. C'était tout ce que je recherchais. Et ça avait l'air de l'exciter un peu plus au fur et à mesure.
C'est ce que je sentais sous ma bouche ; son sexe ouvert, dégoulinant de mouille. Je m'appliquais pour bien tout lécher, et tout avaler. J'ai ensuite pris ses cuisses dans mes mains, et les ai ouvertes le plus grand possible. Je voulais que son sexe s'ouvre pour moi. Ainsi je parvenais mieux à la lécher. Du clitoris jusqu'aux abords de son anus. Elle dégoulinait désormais à la fois de mouille et de ma salive.
Après quelques minutes de coups de langue intensifs, j'ai posé mon pouce sur son clitoris, jouant avec comme avec un joystick, et j'ai commencé à introduire un doigt en elle...

Elle ne le savait sûrement pas, mais mes fesses étaient un endroit très érogène de mon corps. Une simple caresse à cet endroit me rendait plus dur que jamais! Excité, je me suis mis à geindre. Mais à la différence d'elle, je ne me gênais pas pour faire du bruit. Je savais qu'à cette heure-ci, on était tranquille. A moins qu'on ne tombe sur un autre voyeur, comme elle quelques minutes auparavant. Au lieu de ça, Clara se pinçait les lèvres pour s'empêcher de crier.
Du coup, j'ai décidé d'accélerer les choses pour la faire lâcher prise. Tandis que mon pouce avait trouvé et faisait joujou avec son clitoris, deux doigts la pénétraient, de plus en plus vite. Ma deuxième main était occupée à caresser l'un de ses seins, pincer son téton... Ma bouche quant à elle, continuait à lécher et aspirer toute sa mouille.
Sa main, désormais, avait glissé de mes fesses et descendait vers mon sexe. Je la sentais de plus en plus libérée.

_ Laisse toi aller, Clara ! Tu en as envie, n'est-ce pas ?

Pendant un moment, j'ai continué à jouer entre ses cuisses. Je suçais son clito, et aspirais toute sa mouille. Mes doigts aussi continuaient à jouer en elle. Les deux allaient de plus en plus vite. Un troisième était même allé se réfugier entre ses fesses pour titiller son anus.
De son côté, Clara tenait mon sexe dans sa main et le masturbait doucement. Mais la masturbation n'était pas mon fort. J'avais envie de sentir sa bouche sur moi, tout comme je sentais son sexe contre la mienne.
Aussi, je me suis lentement relevé, sans pour autant quitter son entre-jambes, et je me suis décalé, jusqu'à être tête-bêche par rapport à elle. Mon sexe, qu'elle tenait toujours, était maintenant tout près de son visage.
Pour la pousser à me prendre en bouche et à entamer ce soixante-neuf enflammé, j'ai accéléré le rythme de mes doigts en elle et de ma langue sur son clito... Je voulais la faire exploser d'excitation.