Me faire punir? [Pv les hommes ^^]

Pause de midi. Après le déjeuner, je me suis dirigé vers les classes. Il fallait que je prépare du matériel pour le cours que je donnais l'après-midi même, et le prof de maths m'avait emprunté deux-trois affaires que je comptais récupérer. Arrivé devant sa salle, j'ai poussé la porte mais celle-ci avait l'air bloquée. Etrange, puisque rares sont les portes fermées à clé dans cet établissement. Sauf si le corps enseignant était occupé à s'affairer sur les corps d'étudiantes... J'ai donc collé mon oreille à la porte, curieux que j'étais. Je n'entendais pas grand chose. Il y avait du bruit, certes, mais impossible de savoir quoi.
Puis j'ai eu une illumination. J'étais allé voir le chef d'établissement le matin-même pour pouvoir récupérer du matériel entreposé dans les caves du pensionnat. Pour aller le chercher, il m'avait donc donné une clé passe-partout. Le genre de clé magique, à laquelle aucune serrure ne résiste. Et j'avais oublié de la rendre.
J'ai donc introduit la clé dans la serrure, et ai enfin pu ouvrir la porte pour voir ce qu'il s'y passait derrière...

Je ne suis qu'à moitié surpris de retrouver cette chère petite Rebelle derrière cette porte, se rhabillant, tout comme le fait le professeur de mathématiques à côté d'elle. Elle a apparemment réussi à faire ce que je ne l'ai pas laissée faire la dernière fois.
La jeune fille me regarde, et voyant mon regard noir, se dit qu'il vaudrait mieux partir. Elle prend le reste de ses affaires et tente de s'échapper par la porte que je viens d'ouvrir. Dans un sens, elle a raison. A sa place, c'est ce que j'aurais fais moi aussi. Seulement je ne la laisse pas faire. Et alors qu'elle passe à mes côtés, je la saisis par le bras, et la plaque contre le mur. Me mettant à quelques centimètres d'elle, je lui explique alors :

_ Le mec qui vient de te sauter est un con qui vient de se mettre dans une merde incroyable. Il le sait, ce qui m'épargne une grande discussion avec lui. Bien qu'on aura besoin de se dire deux-trois trucs s'il ne veut pas que j'en parle au grand chef. Mais toi, c'est autre chose. Tu m'as désobéi, et j'aime pas ça du tout. Tu sais ce que ça veut dire ?

Et je tire sur son chemisier, faisant sauter les quelques boutons.

_ T'aimes ça, te faire punir, on dirait...

_ Que ce soit un bon coup ou pas ne m'intéresse pas. Et je ne suis pas jaloux. Je pourrais le regarder te baiser sans soucis du moment que tu m'obéis. Mais ton comportement m'énerve. Et tu vas recevoir la punition que tu mérites.

Elle me pousse pour tenter de m'échapper, mais pas assez pour y arriver. Je la rattrape facilement, et l'agrippe par les cheveux. J'imagine que ce ne doit pas être très confortable, mais ce n'est pas le but. Lui bloquant un bras dans le dos, j'arrive à la maîtriser. Je la fais alors sortir de la pièce, et la fait traverser tout le couloir comme ça. Jusqu'à ce qu'on arrive à ma chambre. C'est un endroit très privé, je n'y emmène quasiment personne. Mais elle a mérité sa punition, et je préfère être tranquille pour ça.
Arrivé dans ma chambre, je la pousse sur le sol, et ferme la porte à clé. Elle n'a aucun moyen de m'échapper. Même la fenêtre est condamnée par d'épais barreaux. Je m'approche ensuite d'elle, et lui demande :

_ Alors. Tu fais ce que je te dis et on fait ça tranquille? Ou tu préfères la manière forte ?

Voilà qu'elle commence les insultes...

_ Manière forte, donc, lui dis-je.

Puis je me dirige vers mon bureau, où traine tas de paperasse et autre matériel de photo, et j'ouvre mon tiroir. J'y prends un flacon de pilules. Je me retourne ensuite face à mon étudiante préférée, agite le flacon face à elle. J'espère qu'elle se demande ce que c'est. J'espère que ça l'intrigue, et que ça la fait flipper. Le plus dur reste à faire, désormais. Je prends une pilule dans ma main, et me rue sur elle. Elle se débat, mais j'arrive tant bien que mal à la plaquer au sol, sur le dos. Bloquant ses bras au sol, la résistance se fait moindre. Je lui pince alors le nez, de sorte à lui faire ouvrir la bouche, et je lui fais avaler la cachet. Puis me relève.

_ Bien, lui dis-je. Je dois te dire ce que je viens de te faire avaler... C'est un paralysant temporaire. En gros, pendant une quinzaine de minutes, tu ne pourras plus te débattre, plus bouger. Et ça me fera des vacances, un peu. Tu seras consciente de tout, par contre, ne t'en fais pas. Tu ne louperas rien.

Je me retourne et vais dans l'armoire proche de mon lit. J'en sors plusieurs cordes.

_ Ce qui veut dire que j'ai un quart d'heure pour travailler tranquillement.

Le bondage est tout un art. On me l'a appris il y a bien longtemps, mais je manque d'entrainement. Cette petite Rebelle fait un sujet parfait. Maintenant qu'elle est immobilisée, je vais pouvoir m'amuser un peu. Alors que je reviens avec mes cordes, elle me crache dessus. Effrontée ! Je m'essuie, et lui rends la pareille. Comme elle ne peut pas bouger, il est plus facile pour moi de viser, et je crache pile sur son visage.

_ Calme toi, maintenant, ou on va jamais y arriver !

Je commence alors mon travail avec les cordes. Je commence par écarter ses cuisses en grand. Puis je replie ses genoux, et attache ses cuisses à ses mollets, pour qu'elle garde cette posture. Je relie ensuite les cordes à ses mains, que j'attache bien serrées dans son dos. De cette manière, ma petite pensionnaire est tout à fait immobilisée, et elle est totalement ouverte.
Je vais ensuite chercher une paire de ciseaux sur le bureau, et me penche vers elle. Attrapant ses vêtements les uns après les autres, je les découpe et la dénude ainsi. Il ne me reste que quelques minutes avant qu'elle retrouve l'utilité de ses membres.

Le paralysant va bientôt ne plus faire effet, et je finis tout juste de déshabiller ma pensionnaire. Celle-ci n'arrête d'ailleurs pas de se débattre. Je pense avoir bien serré les liens, elle ne devrait pas pouvoir se sortir de là. Se débattre, à la rigueur, mais ça ne fera que m'exciter encore plus.
La rebelle se rebelle, m'insulte, n'arrête pas de parler, de blablater... Ça me fatigue. J'attrape alors les bouts de tissus, autrefois ce qui lui servait de sous-vêtements et de chemisier, je crois, et m'en sers pour la bâillonner. Là, on finira peut-être par s'entendre.
Ma pensionnaire est entièrement nue, à ma merci, attachée. Je caresse ses cuisses, comme on caresserait un animal ou une œuvre d'art dans un musée. Sans tendresse aucune. Je retourne ensuite à mon bureau, et récupère mon appareil photo. Je commence ensuite à la flasher, la photographiant sous toutes les coutures, et de très près.

_ Ca pourra toujours servir...

A en croire comme elle commence à se débattre, le paralysant ne fait plus effet. Tant pis, j'ose croire que mes liens ne se déferont pas. Je finis donc tranquillement les photos que je veux faire. Prenant soin de photographier de près ses orifices, on ne peut plus visible, ou encore ses seins, sa bouche bâillonnée...
Mais la rebelle se débat de plus en plus, et je décide de passer à la vraie punition. J'attrape ma ceinture, sur le lit, et sans attendre plus longtemps, commence à frapper ses fesses. Le cuir claque contre sa peau, et n'épargne pas non plus son sexe et ses cuisses. Je la fouette fort et longtemps, jusqu'à ce que la ceinture fasse des marques rouges. Puis je me penche au-dessus d'elle, et insérant d'un seul coup trois doigts dans son sexe, lui dis :

_ Tu peux te débattre tant que tu veux, la punition ne fait que commencer !