Nettoyage en profondeur [libre]

Comme un forçat, Paul suait en passant sa serpillère entre les rangées de bureaux. Mais quelle bande de petits merdeux ! Des avions en papiers jonchaient le sol, quelques mégots écrasés à la hâte avaient noircis le mur blanc cassé, une capote usagée et fermée d'un petit noeud paressait sur le lino du fond de la classe...

Pour se détendre, le gardien concentrait son esprit sur des images d'élèves. Quelques unes de ces petites s'habillaient comme des putes. Ah, ces soutiens gorges rembourrés et trop petits, ces jupettes, ces parfums capiteux... Il en était sûr, ces salopes devaient être un régal dans l'intimité. La seule pensée d'en prendre une à même le sol ocre de la salle lui rendait de la vigueur. Son sexe gonflait dans son pantalon tandis que les muscles de ses bras endoloris répétaient sans fin le même va-et-vient avec le manche de sa serpillère : avant, arrière, avant, arrière...

Myrioko devait traverser le lycée pour rejoindre sa chambre, elle marchait lentement dans les couloirs, n'étant pas pressée de se retrouver enfermée entre quatre mur avec sa colocataire. Elle aurait voulu rester un peu plus longtemps allongée dans l'herbe du parc du pensionnat. Le temps s'était adoucit ses derniers jours et elle aimait prendre un peu de temps pour elle entre les cours et ses maitres. Elle ne s'attendait pas à croiser quelqu'un, pensant que tout le monde avait finit de travailler mais elle tomba sur ne salle de classe éclairée. Elle s'arrêta pour voir qui s'y trouvait et aperçut le gardien qui servait aussi de larbin au directeur. Elle s'avança un peu dans la salle et lança un "Bonjour !" enjoué. Le voyant trimé comme ça elle se dit qu'elle pourrait l'aider un peu et peut-être avoir un récompense à la clef. Elle s'approcha donc un peu plus, ses seins ballotaient à chacun de ses pas, comme d'habitude, elle ne portait aucun sous-vêtement. La jupe de son uniforme était beaucoup plus courte que les autre, cachant avec peines les parties les plus intimes de son corps et le chemisier était assez ouvert pour que l'on voit une bonne partie de ses seins mais pas assez pour que l'on soit satisfait. Elle demanda alors :

-Puis-je vous aider dans votre travail ?

Paul se tourna. Une de ces ravissantes petites pétasses se tenait dans l'embrasure de la porte. Une paire de seins à faire bander un mort, une petite jupette savamment portée trop courte... Et voilà qu'elle voulait l'aider !

Toi, ma belle, tu ne vas pas y couper... pensa le gardien avant de s'approcher lentement.

"Mais voilà une élève bien sage !" lança-t-il franchement à son adresse. Il sourit, et son sourire avait un allure carnassière.
A côté d'elle, il semblait gigantesque. L'élève n'était pas très grande et lui même mesurait un mètre quatre-vingt dix. Il songea un instant, regardant son biceps, qu'il aurait presque pu la soulever d'une main. Trois ans d'entretien du parc avaient fait saillir sa musculature et les veines de ses mains puissantes.

Il luit tendit une serpillère.
"Tiens, prends ça, tu vas en avoir besoin".

Et tandis que, d'une pression encore amicale dans le dos de la petite, il lui faisait signe de rentrer dans la pièce, son autre bras fermait silencieusement la porte de la classe et verrouillait la serrure.

"Tu as déjà nettoyé une salle de classe ? Viens là que je te montre !"

Il la plaça à côté du bureau du professeur, se mit dans son dos et l'entoura de ses bras, saisissant ses mains dans les siennes pour lui imprimer le mouvement attendu. Ses yeux s'arrêtèrent sur les bras de la petite. La peau de la pensionnaire était claire, laiteuse. Par contraste, la sienne semblait recouverte d'ombre, burinée qu'elle était par le soleil. Dans un flash, il se vit la prendre sur le bois couleur ébène du bureau. Cette chose blanche et fragile, soumise à la double pression du brun de son corps et du noir de la planche, immobilisée et gémissante... Son sexe durcit encore.

Patience, tu vas y avoir droit...

Le gardien s'approcha d'elle avec lenteur et lança un "Mais voilà une élève bien sage !" avec un sourire qui aurait révélé ses intention à la plus pure des nonnes. Faisant comme si elle n'avait rien remarqué, la jeune élève offrit à l'homme un sourire empreint de douceur avec une touche de timidité. Elle remarqua alors combien elle se sentait petite à côté de ce géant qui, en plus d'être "immense" montrait une musculature plutôt impressionnante. La jeune innocente se demanda si son sexe était aussi impressionnant, à cette pensée elle sentit qu'elle commençait à être un peu excitée.
Elle saisit la serpillère qu'il lui tendait et avança en sentant la pression dans son dos, finissant de pénétrer dans la pièce. Le gardien lui dit qu'il allait lui montrer comment nettoyer une salle de classe, ils se placèrent près du bureau réservé à l'enseignant et l'homme se plaça derrière l'élève. Les mains du gardiens se fermèrent sur les siennes qui tenaient déjà le manche de la serpillère. Elle se laissa guider, s'appliquant à faire de son mieux.
Elle se concentrait tellement qu'elle ne se rendit pas compte qu'elle s'était un peu penchée, dévoilant ainsi le bas de son joli derrière. Elle recula d'un pas, dee sorte qu'elle soit collée à lui, contre le bas de son dos elle sentit une bosse dure et comprit tout de suite qu'il était excité. Elle fit en sorte que les mouvement effectués en passant la serpillères fassent frotter son dos contre cette bosse, comme si elle ne le faisait pas exprès, ah...innocente jeune fille...

Les fesses rondes de la petite caressaient le pantalon de Paul avec insolence. Et en baissant le regard pour admirer sa proie, sa découverte le fit bouillir : elle ne portait rien sous sa jupe. Son intimité toute chaude s'offrait à lui. La ramoner comme elle le méritait allait être encore plus facile que ce qu'il avait escompté.

Sa main droite n'attendit pas un instant de plus. Elle descendit le long du corps de l'éclatante petite pute, sans cesser un instant de la maintenir avec fermeté, et parvint à son entrejambe. Sans ménagement, il passa la main sous sa jupette et plaça son doigt sur son bourrelet de chair. Le titillage vigoureux démarrait. D'une pression de sa paume, il ramena le bassin de son nouvel défouloir contre lui et le plaqua. La bosse formée par sa verge lui pénétrait la raie des fesses. Un beau prélude à ce qu'il comptait lui infliger.

"Alors petite, on viole le règlement ? On porte des tenues aguicheuses ? Il va falloir que je te punisse moi même, alors ! Et crois moi, ça va être sévère !"

La jeune élève avait pour projet de bien chauffer le gardien avant de se faire prendre violemment, malheureusement pour elle, ce dernier était plus pressé qu'elle. Alors qu'elle s'appliquait à frotter son petit cul contre la bosse dure qu'elle sentait à travers son pantalon elle sentit une main glisser le long de son corps tout en la maintenant fermement, elle lâcha le manche de la serpillère qui tomba au sol. La force de l'homme l'étonna, elle ne pouvait rien contre lui, cela l'excita encore un peu et son entrejambe se fit plus humide. La main vint se placer contre son sexe brûlant d'excitation et un doigt commença à la titiller, déjà sensible et un peu à cause de la surprise elle laissa échapper un petit cri. Elle saisit le poignet du gardien, essayant de le faire enlever sa main, sans succès, d'un coup sec il ramena le bassin de la jeune fille contre lui. Elle sentait son sexe dur pénétrer la raie de ses fesses.

"Alors petite, on viole le règlement ? On porte des tenues aguicheuses ?
Il va falloir que je te punisse moi même, alors ! Et crois moi, ça va
être sévère !"

Myrioko réfléchit un peu avant de répondre d'une voix tremblante :

"Je porte l'uniforme de l'école, je ne viole pas le règlement...est-ce ma faute si cette tenue met particulièrement mon corps en valeur ?"

Elle tenta de se dégager de la poigne d'acier de l'homme, sans succès.

La pute tremblait légèrement et sa voix trahissait sa crainte : "Je porte l'uniforme de l'école, je ne viole pas le règlement...est-ce
ma faute si cette tenue met particulièrement mon corps en valeur ?"

Pourtant, entre les tremblotements de son timbre, une pointe de provocation perçait encore. Ces arômes de peur et de rébellion enivraient Paul comme une liqueur violente. Il approcha sa mâchoire de l'oreille de sa proie.

"Ah ce n'est pas ta faute, espèce de salope ? Et ta petite culotte, on te l'a volée ? Tu me prends pour un con ?"

La rage s'empara de lui. Ses deux mains attrapèrent les bords du chemisier de la pensionnaire, totalement incapable de lui résister, et les écartèrent violemment. Les boutons sautèrent un par un, tel cirque de puces. La petite pute lui opposa une résistance aussi brève que vaine lorsqu'il lui ôta sa loque. D'un geste, il la jeta au bout de la salle. L'absence de soutien gorge de la garce acheva de le faire bander comme un taureau. Son gourdin lui semblait emprisonné dans une cage trop petite. Elle allait devoir y remédier, cette salope !

"Agenouille toi ! Tu m'enlèves tout, mes chaussures, mes chaussettes, mon pantalon, tout ! Et soigneusement, espèce de garce !"

Il lui appliqua une gifle sonnante pour faire bonne mesure.

"Tu as intérêt à être une bonne suceuse. Pour une traînée dans ton genre, c'est le minimum !"