Après la cérémonie (PV Haruka Hope)

Dans mon petit village de mon Écosse natale, il y avait une coutume. Dès l'arrivée des jours un peu frais, on revêtait nos habits traditionnels et on faisait le tour du village. Effectivement, ça pouvait paraître bizarre, mais on le faisait depuis des générations. On disait que ça nous donnerait des forces pour travailler la terre même en plein hiver. A côté de ça, je n'ai jamais été agriculteur.

Mais ces derniers temps, au Pensionnat, alors que les beaux jours étaient déjà partis, je me pris d'un élan de nostalgie. Aussi, ce matin là, je sortis ma tenue traditionnelle de mon placard et l'enfilai. Un veston, une chemise blanche, et surtout mon kilt. Accompagné bien sûr du sporan, la petite sacoche en lapin portée autour de la taille, et mes chaussures hautes, traditionnelles. Sans compter tous les emblèmes de mon village. Ainsi vêtu, je me mis en tête l'idée de faire, non pas le tour de la ville, j'en aurais pour des heures, mais au moins une bonne balade. Je commençai dès le petit matin, aussi vers midi, je commençais à avoir vraiment très faim.

Je m'arrêtai à ce restaurant, où j'allais souvent, et pris place au fond de la salle. Le garçon vint prendre ma commande, et je pris un journal en attendant mon assiette. Cependant, je sentais sur moi un regard. Un rapide coup d'œil au-dessus du journal, et je trouvai la coupable : une jeune fille du pensionnat, apparemment intriguée par ma tenue.

La jeune fille se leva et vint vers moi.

_ Je peux m'assoir à votre table ? Il n'y a plus beaucoup de place et j'avoue que je vous trouve assez charmant.

Je crus apercevoir ses joues rougir lorsqu'elle me dit ça. Je regardai néanmoins autour de nous, la salle était loin d'être bondée. Au maximum, nous étions dix. Je regardai alors de nouveau la jeune fille et souris, rigolai presque.

_ Bien sûr, assieds toi. Je suis Mark, prof au Pensionnat. Mais il me semble que tu y es déjà, je t'ai déjà vue.

A ce moment, le serveur apporta mon assiette. Je le retins un instant.

_ Tu as mangé ? Je t'invite.

Haruka. Oui effectivement je l'ai eue en classe avant qu'elle ne change de cursus. Une bien gentille et jolie jeune fille, qui n'avait pas changé soit dit en passant. Quand je lui proposai de manger en ma compagnie, elle accepta volontiers. Je lui commandai donc une assiette de frites et un bon bifteck, que nous pourrions toujours partager si elle n'avait pas assez faim. Puis Haruka rajouta :

_ Si jamais je peux faire quelque chose pour vous, n'hésitez pas.

Je crus déceler un petit air de malice lorsqu'elle me dit ça. Quelque chose me disait que ce n'était pas anodin. Je lui répondis par un simple sourire, finissant ce que j'avais dans la bouche, puis lui dis :

_ On verra ça en temps et en heure. Mais pour l'instant j'ai une question pour toi. J'ai eu l'impression que ma tenue t'intriguait. C'est le cas ?

Je me mis à sourire en l'écoutant. J'étais sûr que la question allait tourner autour de ça. On me pose toujours cette question. Mythe ou réalité. Je regardai Hakura droit dans les yeux en souriant.

_ Les légendes, c'est fait pour entretenir le mystère. Or si je te le dis, il n'y aura plus de mystère.

Je pris une bouchée de mon plat, découvrant son regard plein de déception.

_ Mais je peut peut-être faire un marché avec toi. Tu m'as l'ai gentille, et si jamais je te dis de ne jamais répéter ce secret, je sens que je peux te faire confiance. Alors je vais te le dire à une condition : je te montre ce qu'il y a sous mon kilt si tu me montres ce qu'il y a sous ta robe. Question d'égalité.

Je n'arrivais plus à décoller ce sourire de mon visage. Je tentais de pousser Haruka à l'exhibitionnisme en public et ça me plaisait beaucoup.

_ Ok, j'accepte le marché, cela ne me dérange pas.

Parfait. Mon sourire resta collé à mon visage. Je baissai les yeux pour la regarder faire. Haruka remonta sa robe tout en écartant les jambes. Lentement. Et lentement, je découvris ses bas blancs, puis son porte-jarretelles blanc, et enfin sa petite culotte blanche. C'était très mignon, avec un petite côté angélique. Bien sûr, cela m'excita immédiatement, et je sentis mon sexe qui commençait à se raidir sous mon kilt.

D'ailleurs, en parlant de mon kilt…

_ Tu as honoré ta part du contrat, à moi d'en faire de même.

Je relevai mon kilt, doucement, comme pour entretenir le suspense. Et lui montrai qu'effectivement, sous un kilt, on ne porte rien. Mon sexe apparut face à elle, déjà en légère érection.

_ Est-ce que cela répond à ta question ?

Tandis que j'exhibais mon sexe à la jeune fille, celle-ci posa sa fourchette et bloqua son regard sur mon entre-jambes. Incapable de le lacher des yeux. C'était excitant, à la fois d'observer et de se sentir observé. Et cela se ressentait sur mon sexe, qui gonflait à vue d'œil. Il y avait comme une tension sexuelle énorme entre nous deux. Je pouvais facilement le sentir.

Je pris donc la main d'Haruka et lui dis :

_ Tu devrais te rapprocher…

Et je l'attirai vers moi, pour qu'elle soit assise sur la même banquette que moi. N'hésitant pas plus longtemps, je posai ma main sur sa cuisse, et remontai le long de ses bas, puis de ses jarretelles, pour arriver à sa petite culotte. Je jouai un peu avec l'élastique, puis lui dis :

_ On est pas encore à égalité. Moi je n'ai rien, sous mon kilt…

_ Il suffit d'enlever le nœud et on est à égalité, me dit-elle.

Facile. La regardant droit dans les yeux, je tire sur le nœud, et le devant de sa petite culotte, effectivement, se retrouve enlevé. Et je me retrouvai avec, devant les yeux, une belle petite fente, qui avait l'air légèrement humide. Je lâchai son morceau de culotte et posai mon doigt à l'entrée de son sexe. Je la frôlais, presque. La peau était chaude, et effectivement humide. Je le fis passer, de haut en bas, puis retirai ma main et portai mon doigt à ma bouche.

_ Pour le dessert, ce sera délicieux, lui dis-je avec un sourire.

Puis je retournai poser deux doigts sur son sexe, que je commençai à caresser.

Cette jeune fille avait un côté surréaliste. D'un côté, on aurait dit un ange, on lui ouvrirait les portes du paradis sans aucun problème. Et à côté de ça, avec son même air angélique, elle me demandait si elle pouvait goûter mon membre… Et comment !

Je retirai rapidement mes doigts de son sexe, pour lui prendre de nouveau la main. Délicatement, je la tirai vers moi, vers mon entrejambes ou s'érigeait mon sexe. Je la tirai de sorte à ce qu'elle soit presque allongée sur la banquette. Une fois en position, je passai ma main derrière elle, caressai ses fesses, et glissai de nouveau deux doigts entre ses cuisses pour reprendre là où je m'étais arrêté.

_ Tu as le droit à ton dessert, si tu veux, lui dis-je en tirant mon kilt un peu plus haut.

Haruka n'hésita pas une seule seconde avant de saisir mon membre entre ses mains, puis entre ses lèvres. Elle y goûta comme à une friandise. Quelques coups de langue sur mon gland, puis elle commença à le sucer. Haruka avait une petite bouche, et mon sexe était mine de rien assez imposant. Mais elle arrivait parfaitement à gérer la situation. Je sentais mon sexe pénétrer sa bouche progressivement et ça me faisait un bien fou.

Les yeux fermés, je savourais le moment en grognant légèrement. Mes doigts s'activaient entre les cuisses d'Hakura. Deux doigts la pénétraient, désormais, et elle était de plus en plus trempée. Je la doigtais de plus en plus vite, si bien qu'on entendait le son de petits clapotis venant d'entre ses cuisses. Parfois, je retirais mes doigts pour caresser ses fesses, son anus, avant de replonger dans son sexe.

_ Continue comme ça, Hakura, lui murmurai-je.

Puis j'appuyai sur sa tête pour qu'elle en avale encore plus.

Toute son anatomie, hein ? Je pris Haruka au mot et sortis mes doigts de son sexe pour les poser sur son petit trou. Je la caressai un moment, avant de pousser mon doigt à l'intérieur. Un, puis deux. Mon Dieu, si cette fille était aussi ouverte, on allait pouvoir s'éclater.

_ Tu aimes te faire prendre par là ? lui demandai-je en la doigtant.

Puis j'accélérai la cadence. D'une main, je doigtais son cul, de l'autre je tenais sa tête que je faisais aller et venir sur mon sexe. Je poussais dessus pour qu'elle en prenne un maximum dans la bouche. Je frôlai même l'entrée de sa gorge.

_ Continue, Haruka. Vas-y à fond, je vais bientôt jouir… lui dis-je dans un grognement.

_ Je suis assez ouverte, me dit Haruka, et j'aime être prise dans n'importe quelle position, et dans tout ce qui est possible. Je fais ce qu'on me dit de faire, quoi.

Soumise, donc ? C'était parfait. Mon côté dominateur se réveillait petit à petit et j'allais jouer avec elle, c'était sûr et certain.

Et pour commencer, je posai mes mains sur la tête d'Haruka pour que celle si prenne tout mon membre dans sa bouche. Sa gorge, même. J'avoue que sur le moment, je pensais qu'elle n'allait pas y arriver. Voire même me vomir dessus. Je l'aurais cherché, ceci dit. Mais non, Haruka prit tout mon sexe dans sa gorge, jusqu'à coller son nez à mes couilles. Mais qui dit gorge profonde, pour moi, dit arrivée imminente de l'orgasme.

Je ne prévins même pas Haruka et décida de lâcher tout mon sperme dans sa gorge, directement. Ce qui n'avait pas l'air de la déranger le moins du monde. Elle avala tout, consciencieusement, avant de relever la tête. Elle avait encore du foutre sur les lèvres, et c'était terriblement sexy.

Je la remerciai pour le compliment, avant de retirer mes doigts de son cul et de la relever. D'un geste du bras, je la couchai sur la table, même si les assiettes n'étaient pas encore débarrassées. D'un autre geste assez vif, j'écartai ses cuisses, et plongeai mon visage sur son sexe. Un premier coup de langue sur sa fente, puis son clito, puis son anus… Je dévorai son sexe.

_ Moi aussi j'ai le droit au dessert, lui dis-je.

Ma langue s'infiltrait de partout, de son clitoris à son petit trou, je la dévorais tout simplement. Haruka mouillait de plus en plus, gémissait en se cambrant sur la table. J'enfonçai de nouveau deux doigts dans son cul et la doigtai rapidement, en rythme avec ma langue. Si rapidement que la jeune ne mit pas beaucoup de temps avant de jouir sur mon visage, envoyant un petit flot de mouille sur moi.

Le serveur et les quelques clients nous regardèrent, mais ne dirent rien. Ils avaient l'habitude que des choses bizarres se passent ici, ce n'était pas le genre de public à s'offusquer. Haruka finit par me sortir de mes pensées :

_ Je ne sais pas si vous êtes un dominateur, mais je veux que vous me dominiez, je vous veux en moi… me dit elle en haletant.
_ Ma petite, je crois que tu es tombée sur le bon numéro.

Encore un geste rapide, je l'agrippai et la retournai, toujours sur la table. Je remontai sa robe sale au-dessus de ses hanches, et écartai ses cuisses. Je me faufilai rapidement, posai mon gland sur son anus. Et poussai, d'un coup. La masturbation anale que je lui avais prodiguée aidait bien, et je rentrai presque d'un coup. Une fois bien au fond, je restai immobile un instant, puis débutai de lents va et vient. Accompagnés de fessées qui rythmaient la baise et marquaient sa peau.

Profondément enfoncé entre ses fesses, je me mis à besogner Haruka avec vigueur. Mes cuisses claquaient contre les siennes à chaque coup de reins. De son côté, la jeune fille prenait apparemment son pied à se faire sodomiser face à quelques clients plutôt satisfaits du spectacle. Qu'importe.

Je continuais également à la fesser avec force. Ses fesses étaient devenues rouges, l'emprunte de mes doigts était d'ailleurs visible sur sa fesse droite. Le claquement résonnait dans la salle, et ce n'en était que plus excitant. Sans m'arrêter, je tirai sur sa robe pour mettre ses seins à l'air. Il me sembla même que je la déchirai un peu, dans l'action. Une fois ses seins libres, je me penchai sur elle pour les saisir, les malaxer, les maltraiter en les pinçant, en tirant dessus. Collés contre la table, ils se frottaient sans cesse à la nourriture. De la mayonnaise et du ketchup, qui accompagnaient les frites, avaient sali sa robe et sa poitrine désormais dénudée. Et j'y trouvai là beaucoup de plaisir. En la traitant de la sorte, je voulais la salir et l'humilier.