La nuit risque d'être chamboulée [PV]

A cet heure là, tout le monde était dans leur dortoir à commencer à dormir, enfin tout le monde sauf Liléa. Liléa n'était pas une fille à respecter les horaires, à dormir à point fermé trop tôt, c'était pas la fille qui écoutait au doigt et à l'oeil et d'ailleurs plus d'une personne l'avait remarqué. Après tout, elle venait de perdre son père, la seule famille qui lui restait sur cette Terre alors qu'est-ce qu'il l'a maintenait à présent? Faire des études pour faire quoi, elle allait surement être placée mais pour l'instant rien n'était décidée, et puis tant qu'elle était au pensionnat son cas n'était pas urgent. Elle enchainait connerie sur connerie, elle répondait aux profs, elle se faisait virée de cours, elle portait des strings alors que c'était formellement interdit ici, mais elle s'en fichait bien de savoir ce qu'elle pouvait avoir comme conséquence.

Elle était donc posés sur le rebord de la fenêtre, fumer sa cigarette tranquillement regardant s'il y avait des élèves qui traverser sans l'autorisation le pensionnat, mais pas un chat à croire que ces élèves était des élèves parfait, sans un débordement. Après avoir finit, elle jeta le mégot par terre et referma la fenêtre, l'air frais commençant à rentrer à cet heure ci. Elle se posa dans son lit après avoir mit une nuisette transparente mais elle avait des envies, comme tout être humain alors elle tira son tiroir et y attrapa un gode. Elle commença à le lécher pour le lubrifier correctement avant de le passer entre ses lèvres vaginales sans le pénetrer pour le moment commençant à soupirer de plaisir. Elle ne se doutait pas une seconde que quelqu'un était à côté de la porte et continuait tranquillement cachait sous la couette tout de même.

Super! Y'avait trois surveillants dans ce pensionnat, fallait que les trois soient malades aujourd'hui. Faut dire, la rumeur raconte qu'ils couchaient tout les trois ensemble... Leur maladie est pas si étonnante. N'empêche que maintenant, Tezuka se méfiera quand il voudra draguer l'une d'entre elle. Avec tout ça, l'équipe de surveillance était affaiblie et n'avait plus assez de personne pour monter la garde le soir venu. Tezuka était l'un des premier que le directeur tenta de soudoyer. Faut dire qu'il hésita pas longtemps, surtout quand le dirlo parla tarif avec lui. C'était salaire doublé qu'il allait avoir droit ce soir, avec double ration à la cantine le lendemain après midi. Et même si il ne vivait pas au pensionnat même, la plus belle des chambres allait lui être réservé pour la nuit.

Là, l'hésitation disparu bien vite et c'était normal, dès lors, qu'il accepta. La soirée se passait plutôt bien. Bon, y'avait deux trois types qui tentèrent de se faufiler chez les filles. Et l'une ou l'autre gonzesse qui se trimballaient nue dans le couloir. Mais en soit, rien de très effrayant a signalé. Pour être franc, il s'ennuyait même un peu. Ils devaient à présent s'assurer que tout le monde dormait et Tezuka faisait le tour de toutes les chambres lorsqu'il fut interpellé par des soupirs émanant d'une d'entre elle. Merde. L'une des élèves se masturbait. Il avait trois choix, se déclaré et faire comme si de rien était, se déclarer et lui faire la moral, se déclarer et lui montrer qu'il y'avait peut être mieux que pour se faire plaisir qu'un gode, ou rester là à l'écouter et l'imaginer, tandis qu'il se sentait un peu à l'étroit, déjà, dans son pantalon. Pour l'instant, c'était la quatrième option qui primait, mais il réfléchissait déjà au trois autres.

Liléa se fichait pas mal de savoir qu'on pouvait l'entendre ou pas, tout ce qu'elle voulait c'était combler ses envies et bon même si les élèves était pas mal dans le pensionnat, ils étaient genre trop sur leur garde, ou à ne pas dépasser les limites pour ne pas se faire virer, une chose dont Liléa pouvait bien se ficher mais eux non alors tant pis pour eux, elle ferait avec les moyens du bord. De toute façon, parfois elle pouvait se donner bien plus de plaisir avec un gode qu'avec un mec, comme quoi des fois il suffit pas d'un mec pour se faire du bien, le solo c'est pas mal aussi. Bon ce n'était pas son habitude, elle qui disait qu'un mec était toujours utile mais à force d'être dégoutée de ceux là, elle avait su se combler seule, sans devoir demander à quelqu'un de le faire.

Elle était donc dans la chambre, tranquillement sous la couette, avec le gode dans la main et commençait à le passe entre ses lèvres vaginales. Des soupires s'échappés de sa bouche, elle sentait ses tétons durcir face à l'excitation qu'elle se donnait mais elle en voulait plus. Elle écarta les cuisses et dans un gémissement elle enfonça doucement le gode en elle, tout doucement. Elle gémissait de plaisir, en caressant son clitoris de son autre main et se mettait à gémir de plus en plus fort, oubliant carrément que tout le monde dormait. Elle continuait à enfoncer le gode en elle, mais tout doucement pour monter encore plus le plaisir en elle.

Les gémissements se faisaient progressif. Ils étaient passé de doux soupir à de petit gémissement, pour que ceux si se firent encore plus bruyant par la suite. Merde. Tezuka commençait réellement à être excité. La porte était légèrement entrouverte et le médecin tentait de voire à l'intérieur. Mais ses draps cachaient la silhouette et il n'avait que comme vue son visage défigurer par le plaisir qu'elle s'auto infligeait. Il remarquait qu'inconsciemment, sa main venait à se diriger vers son pantalon, glissant à l'interieur du tissus. Sortir son sexe maintenant était relativement dangereux, tant les autres surveillant passaient par là, mais aussi des él!ves qui n'hésiteraient pas à le dénoncer. En même temps, faire demi tour comme ça serait vachement con aussi. Eh merde après tout!

Mais qu'est ce que vous faites!?

Dit il après être rentré à l'intérieur de la chambre, sans toquer et en prenant un air faussement étonné. Sa prestation pourrait être nominé dans les gérards de la pire scène cinéma. Surtout qu'il n'était pas crédible, lui et sa grosse bosse au niveau de son pantalon. Il avait soigineusement prit le temps de fermer la porte derrière lui, allumant aussi la lumière, histoire de mieux voire quelle délicieuse élève se faisait plaisir toute seule.

Liléa avait complètement oubliée les autres élèves du pensionnat ou même qu'elle était dans le pensionnat. Tout ce qu'elle pensait à cet instant précis, c'était le plaisir qu'elle se procurait et elle n'avait absolument pas envie d'arrêter cela alors elle continuait, quitte à se faire entendre elle se disait que de toute façon, les autres n'était pas si ange que ça de toute manière, en tout cas elle l'espérait parce que s'ils l'étaient vraiment, qu'est-ce qu'ils devaient s'ennuyer. Bref, le gode dans son vagin, elle l'enfoncer doucement pour plus de plaisir étant venu passer sa deuxième main en dessous la couette pour se caresser le clitoris. Pour tout dire, ses gémissements était devenu plus sonore qu'au tout début, elle continuait donc tranquillement à se faire du bien solo lorsqu'elle entendit une voix dans sa chambre ce qui la fit tout arrêter. Elle rougissait rapidement et elle le regarda le professeur et lui dit alors:

Rien rien, vous n'avez pas le droit d'être dans ma chambre sortez...

Elle avait bien vu la bosse de son pantalon, mais n'avait rien relevé. Elle se cacha en dessous la couette, espérant qu'il parte de sa chambre et qu'elle puisse reprendre ce qu'elle faisait tranquillement. Elle avait honte de s'être fait prendre, mais en même temps c'était sur que ça allait arriver.