Douce nuit... [pv Mark]

La nuit est douce et tiède, comme toutes les autres nuits précédentes. Appuyée au rebord de la fenêtre ouverte, je regarde les étoiles. Une brise légère vient chatouiller mes cheveux. Et c'est avec un soupir que je referme ma fenêtre et me tourne vers mon lit pour aller dormir, comme toutes les jeunes étudiantes qui ont cours tôt le lendemain matin. Je suis déjà dans ma tenue nocturne, une chemise de nuit violette en soie, épousant les formes généreuses de mon jeune corps et s'arrêtant à mi-cuisse. J'éteins les lumières et me glisse dans mon large lit, dont les tissus sont aussi doux et soyeux que mon actuel pyjama. Allongée sur le dos, un bras posé sur mon ventre et l'autre légèrement relevé vers ma tête, ma respiration se fait de plus en plus régulière et mes yeux se ferment. Doucement. Lentement, je plonge dans les limbes du sommeil, sans penser un seul instant que j'ai oublié de fermer ma porte à clé...

Toujours le même rituel. Quand la nuit tombe, j'erre dans les couloirs du Pensionnat. J'aime y marcher, j'ai l'impression que les lieux m'appartiennent. Je passe en cuisine, dans les salles de classes. Même les douches et les toilettes me paraissent géniales à cette heure de la nuit. Mais mon endroit préféré reste les dortoirs. Rasant les murs, j'entends tout ce qu'il s'y passe. Parfois, des gémissements féminins, lors de sessions masturbatoires. Ce sont de loin mes moments préférés.

Cette nuit, dans les dortoirs, je n'entends pas grand chose. Mais en passant devait la chambre de Leïla, je souris en repensant à toutes ces séances de sexe avec elle. Je colle mon oreille contre la porte, peut-être fait-elle des choses coquines. En me collant à la porte, celle-ci s'ouvre. La jeune fille a dû oublier de la fermer à clé.

La pièce est plongée dans le noir, éclairée faiblement par la lune. Je m'avance doucement. Leïla a l'air de dormir, je vois ses respirations. Elle a une jambe en-dessous, et l'autre par-dessus son drap. Sa nuisette remonte assez haut sur sa cuisse. Ne pouvant résister plus longtemps à l'invitation, je m'approche et caresse sa peau du bout du doigt.

Je n'entends pas Mark entrer, profondément endormie. Malgré la légèreté des draps et de mon vêtement, j'ai chaud. Aussi, mon corps bouge seul à la recherche d'un peu de fraîcheur, sortant une jambe à l'air libre. Je ressens à peine son doigt se balader sur la peau nue de ma jambe, cela ne me réveille pas. Mon sommeil paisible continue sa route, comme si de rien n'était. Néanmoins, je pousse un soupir.

Mon doigt sur sa cuisse n'a pas l'air de la réveiller. Tant mieux. Je continue mon exploration en remontant lentement mon doigt sur sa peau, jusqu'à atteindre les formes généreuses de son derrière. Assis sur le bord de son lit, je fais le maximum pour ne pas faire de bruit, pas un seul mouvement. Je veux continuer à profiter sans la réveiller.

Mon doigt passe sous sa nuisette. Je cherche mais non, pas de sous-vêtement. Je touche directement ses parties les plus intimes. J'hésite un moment, j'ai peur de la réveiller…

Le passage léger de son doigt le long de ma cuisse apporte à ma peau de légers frissons. Et au moment où il frôle mon intimité dénudé, quand il fait trop chaud il m'arrive de dormir sans petite culotte, mes sourcils se froncent et je m'agite quelques instants en poussant une espèce de gémissement râleur avant de redevenir calme. Dans mon mouvement, une bretelle de ma nuisette a légèrement glissée de mon épaule. Ma respiration reste toujours calme, silencieuse. Je sens à peine l'affaissement de mon matelas, à l'endroit où Mark s'est assit.

Je m'arrête de bouger un instant. Voire même de respirer. Mon doigt à quelques millimètres de sa fente. Je la distingue à peine à cause de l'obscurité, mais je sens sa chaleur. En bougeant, Leïla a fait glisser une bretelle de sa nuisette, qui découvre maintenant la moitié de l'un de ses seins. Le haut de son corps étant légèrement plus éclairé, je peux voir sa poitrine. Ses tétons pointent à travers le vêtement.
J'attends encore un peu, sans rien faire. Puis j'attrape le haut de sa nuisette, et tire légèrement dessus, pour faire sortir l'un de ses seins. Leïla est belle, ainsi. Endormie, à moitié nue. Je sens dans mon caleçon une tension ! Mes mains tremblent. Je risque tout de même un geste de la main pour coller mon doigt à sa fente. Déjà humide.

Le tissu glissant sur ma poitrine pour sortir un de mes seins à l'air libre me fait de nouveau soupirer. Tout ses petits frissons que Mark m'a procuré a rendu mon sexe un peu humide. Lorsque l'un de ses doigts vient toucher légèrement ma fente, je me sens inexorablement tiré de mon sommeil. La main se trouvant sur mon ventre vient frotter avec peine mes yeux ensommeillés. Mais je ne les ouvre pas tout de suite, mon cerveau étant encore trop embrumé pour comprendre et faire quoi que ce soit. Mais je ressens tout de même une présence à côté de moi, et je sais que, même avec mes yeux ouverts, je ne verrais rien dans la pénombre.

Zut ! Lorsque j'effleure sa fente, je vois qu'elle lève sa main pour aller frotter ses yeux entrouverts. Je l'ai réveillée ! Je la regarde un moment, mais elle ne se relève pas, n'ouvre même pas les yeux entièrement. Je finis par me dire qu'elle s'est rendormie, et me reconcentre sur ce que je faisais. Mon doigt sur son sexe.

Je me mets à l'activer doucement sur sa fente. De bas en haut. De la mouille perle à l'entrée. Et je trouve facilement son clitoris, que je me mets à titiller. Ne résistant pas, je me penche sur elle, et pose ma langue sur son sexe…

Ce que je sens contre mon sexe bouge doucement le long de ma fente, ce qui a pour effet de me réveiller totalement. Puis, vient le tour de mon clitoris d'être choyé. Je soupire d'aise, et écarte instinctivement les cuisses de quelques centimètres. J'ouvre le yeux, et vois une ombre se pencher sur moi, sur mon sexe plus précisément, pour y poser quelque chose qui ne m'est pas inconnu... Je reconnaitrais cette langue entre mille ! Avec un sourire, je glisse mes doigts dans les cheveux de Mark et le caresse.

_Bonsoir professeur, chuchotais-je d'une voix à moitié endormie. Vous savez qu'il est interdit aux hommes de pénétrer dans le dortoir des filles ?

Puis, je m'aperçois grâce à la lumière de la lune qu'un de mes seins est sortit de mon vêtement.

_Et je vois que vous avez un peu profité de mon sommeil...

Je suis en train de lécher sa chatte quand Leïla se réveille vraiment. Elle me parle, mais je ne lui réponds pas, trop occupé à sucer son clitoris. Maintenant qu'elle est entièrement éveillée, je peux en profiter pleinement. Alors je pose mes doigts sur son sexe, la caresse, et en enfonce deux à l'intérieur. Leïla se met à gémir. Je continue de sucer son clito pendant quelques minutes, avant de lui dire :

_ Les professeurs ont le droit, eux. Du moins, je me suis octroyé ce droit !

Puis j'enlève entièrement le drap qui la recouvre encore un peu.

_ Enlève ta nuisette, maintenant. Et mets les jambes bien haut, bien écartées. Je veux avoir accès à ce joli trésor.

Avant de plonger de nouveau ma tête sur son clitoris.

Il ne me répond mais s'active davantage à la place. Deux doigts viennent s'ajouter à sa langue, et me caressent avant de s'introduire doucement dans ma fente désormais largement humide. Je gémis et me mord fortement la lèvre inférieure pour éviter de faire davantage de bruits. D'une main, il fait glisser le drap hors du lit, afin d'avoir un total accès à mon corps brûlant de désir.

_ Enlève ta nuisette, maintenant. Et mets les jambes bien haut, bien écartées. Je veux avoir accès à ce joli trésor.
_ Mon trésor est entièrement tien...

Sur ce, je me redresse et passa ma nuisette par dessus ma tête, dévoilant ainsi mon corps nu aux yeux de Mark, occupé à jouer avec délice avec mon bouton qui se gonfle peu à peu entre ses lèvres. Puis, je me rallonge sur le dos et place mes cuisses bien écartées et haut placées. Mes mains se placent toutes deux dans ses mains et le caresse avec insistance.

Leïla s’exécute, et tandis que je continue à la lécher, elle retire sa nuisette. Elle est maintenant nue, et écarte ses cuisses, levant les jambes bien haut. Sa petite fente s'ouvre en un instant. Mes doigts la fouillent plus profondément encore. J'ai désormais accès à son anus, également, que je caresse du bout d'un troisième doigt. Et de l'autre main, j'attrape l'un de ses seins et me met à triturer son téton. J'aime le goût de sa mouille, j'aime comment elle s'ouvre à moi, j'aime l'entendre gémir.

_ Je pourrais te bouffer toute la nuit, lui dis-je en lui suçant le clito, les doigts plantés en elle.

_ Je pourrais te bouffer toute la nuit.

Me retenir de gémir fort est extrêmement dur tellement que le plaisir qu'il me procure est intense. Ses doigts s'enfoncent profondément dans mon sexe, mon clitoris est gonflé à l'extrême, et mon anus est chatouillé par un autre de ses doigts. Mes seins ne sont pas épargnés non plus. Mon corps tremble, frissonne.

_ Hmmm... Oui... Fais-le... Réussis-je à dire à voix basse.

Leïla me chuchote de continuer, et je ne me gêne pas. C'était prévu de toutes façons. Mes lèvres sont vérouillées sur son clito que je ne cesse de sucer et lécher. Mes doigts s'activent de plus en plus vite en elle. Et elle mouille tellement que des bruits très significatifs proviennent de son sexe. Mon troisième doigt, lui, chatouille toujours son petit trou. Et doucement s'y enfonce. Je sais, par expérience, que la découverte de ce côté-là est quelque chose de tout nouveau pour Leïla. Par expérience, je sais également qu'elle ne me dira rien tant qu'elle ressens le plaisir que je lui donne.

Puis je m'allonge à ses côtés, mais dans le sens inverse, sans retirer ni mes doigts ni ma bouche. Nous sommes tête bêche. Je l'attire vers moi afin qu'elle me monte dessus, et lui dis alors que nous entamons une position du soixante-neuf :

_ Déshabille moi. Occupes toi de moi en même temps…

Sans que je m'y attende, les positions s'inversent. Mark s'est allongé sur le dos, l'entraînant avec lui. De ce fait, je me retrouve à genoux au dessus de sa bouche, qui s'occupe avec toujours autant d'avidité de la totalité de mon intimité. Il a même commencé à enfoncer un doigt dans mon anus. Je n'est peut-être encore pratiqué que peu de positions sexuelles, mais j'ai néanmoins compris ce qu'il attendait de moi en nous plaçant dans cette position.

_ Déshabille moi. Occupes toi de moi en même temps…

Ses paroles confirment mes pensées.

_ Tes désirs sont des ordres...

Mais... Le faire languir un peu peut être amusant ! Je caresse la totalité de son torse au travers du tissu, avec lenteur et sensualité. Tout en délicatesse je déboutonne un à un sa chemise, et l'ouvre en grand, laissant voir un large torse musculeux. Je me penche en avant et le lèche en commençant au niveau de ses pectoraux. Mes mains se baladent sur les côtes en de longues et douces caresses. Peu à peu, je fais descendre ma langue vers son ventre, accentuant les passages du bout de ma langue sur ses abdos. Mes mains ont suivis le mouvement et sont descendues, caressant le haut de ses cuisses et frôlant quelque peu l'énorme bosse de son pantalon...

Leïla chevauche maintenant mon visage, écrase son sexe sur mon visage. Mes doigts sont toujours autant enfoncés dans ses orifices, peut-être même encore plus, et ma langue, quant à elle, ne cesse de jouer avec son clito. Puis la jeune fille s'exécute, et défait lentement les boutons de ma chemise. Elle est assez souple pour aller lécher mon torse, et descend jusqu'à ma ceinture. Elle me caresse, frôle la bosse de mon pantalon. J'ai beau être occupé à lécher sa chatte, qui dégouline allègrement sur mon visage, j'ai envie de plus et ça ne va pas assez vite pour moi.
Alors de ma main libre, je défais moi même ma ceinture, mon pantalon, et sors mon sexe dur de mon caleçon. Puis j'attrape Leïla par la nuque, et la colle contre mon membre. Entre deux souffles et entre deux coups de langue, je lui dis :

_ Suce moi, Leïla. J'en ai trop envie…

De l'unique main libre qu'il lui reste il défait lui-même sa ceinture, baisse les derniers vêtements qui lui reste. Face à moi, son sexe tendu à l'extrême m'appelle à le prendre en bouche. Sa main vient ensuite se placer sur ma nuque, et appuie dessus pour me faire approcher de son membre dur.

_ Suce moi, Leïla. J'en ai trop envie…
_ Espèce d'impatient, dis-je amusée.

Je sors de nouveau ma langue pour lécher son sexe, du gland jusqu'à ses testicules avant de revenir. Puis, je le prend dans ma bouche, et commence de petits et rapides va-et-viens, lèvres serrées, le bout de ma langue venant jouer avec son gland. Je me laisse de nouveau envahir par le plaisir, et accélère aussi bien en rapidité qu'en profondeur.

_ Espèce d'impatient, me dit-elle.
_ Je sais, je ne sais pas attendre, surtout quand il s'agit de ta bouche.

Et enfin je sens la langue de Leïla se poser sur mon sexe. Elle me lèche, de haut en bas, du gland jusqu'à mes couilles, de nombreuses fois. Puis elle attrape mon gland, le suce, et commence de petits va-et-viens. Ses va-et-viens accélèrent, ce qui me fait accélérer les miens. Je la lèche encore plus vite. Je la doigte encore plus furieusement. Un deuxième doigt s'enfonce dans son anus. Avec ma main libre, j'écarte bien ses fesses pour avoir un accès parfait. Son clito est très dur, et je m'amuse à le lécher et à le sucer comme un forcené. Leïla commence à onduler du bassin sur mon visage, et je fais de même sur le sien, enfonçant mon sexe plus profondément encore dans sa bouche.

Nous accélérons nos mouvements chacun sur le visages de l'autre, nos sexes étouffants nos gémissements intenses. Je me fais prendre de partout, et j'aime la manière dont il s'y prend. Ses doigts me fouillent de partout. Ma mouille dégouline le long de mes cuisses, et fort probablement sur son visage. Quant à moi, j'accélère la vitesse autant que possible, laissant de minces filets de bave le long de son sexe lorsqu'il ressort presque d'entre mes lèvres avant d'y retourner. J'ai beaucoup de mal à respire, à cause de son sexe qui remplit ma bouche, mais aussi par le plaisir puissant que je ressens. Mes ondulations s'accentuent, mon corps se tend. Je me retiens de crier, et de toute façon je n'aurais pas pu. A la place j'émets un long gémissement. Les spasmes parcourent la totalité de mon corps. Et un largement flot de mouille sort immédiatement de ma fente. Oui, je viens d'avoir un orgasme dans un quasi silence. Mais je n'arrête pas pour autant mon œuvre...

Je sens rapidement les muscles de son corps se contracter autour de mes doigts, dans chacun de ses orifices. Avec mon sexe dans sa bouche, elle ne peut pas parler, ni crier, mais je l'entends gémir et grogner. Les contractions se font de plus en plus violentes, jusqu'à ce qu'elle finisse par se tendre, et déverser sur mon visage une quantité folle de mouille. Gémissant toujours plus, je comprends qu'elle vient de me jouir sur la bouche. Et j'adore ça.
Leïla ne s'arrête pour autant pas, et continue de me sucer. Mon sexe va et vient dans sa bouche, à la fois grâce à ses aller-retours, mais aussi grâce à mes coups de reins, qui me propulsent profondément en elle. J'ai retiré ma bouche de son sexe, mais je la caresse toujours du bout des doigts, et je profite entièrement de cette fellation. Je sens que ça monte doucement, que l'orgasme est proche. Puis, au bout de quelques minutes, je me sens exploser. Et c'est sans aucune retenue que j'éjacule dans sa bouche, tandis qu'elle continue ses va-et-viens.

Entre mes lèvres, je sens son sexe se contracter de plus en plus fréquemment. Suite à mon orgasme, Mark a lâcher sa bouche de mon sexe mais y laisse ses doigts. Je l'entends grogner, ses coups de rein montrent son excitation. Peu après, il lâche finalement sa semence dans ma bouche, que j'avale entièrement. Je sors son membre pour le nettoyer avec ma langue. Puis, je me redresse, faisant tomber mes cheveux le long de mon dos. Je me retourne pour faire face à son visage et m'assoit sur son ventre. De nouveau, je me penche en avant, écrasant ma poitrine contre son torse, et cale mon visage dans son cou que je mordille légèrement.

_ Est-ce que je m'améliore professeur ? Lui susurrais-je doucement à l'oreille. Ou va-t-il falloir que je prenne de nouveau cours avec vous... ?

_ Tu commences à te perfectionner. Mais je préfère te garder en tant qu'élève encore un petit peu.

En souriant, je la regarde et caresse ses cheveux. Elle est très belle, et malgré l'obscurité, je remarque qu'elle a encore un peu de mon sperme au coin des lèvres. Malgré ça, je l'attire vers moi et l'embrasse langoureusement. Ma langue pénètre sa bouche tandis que je caresse son corps, du haut du dos jusqu'à ses fesses. Après ce baiser sensuel, je l'attire vers moi encore un peu plus. Sur moi, en fait. La voilà qui me chevauche, son sexe juste au-dessus du mien. Je la regarde sans rien dire, en souriant, puis attrape mon sexe, encore bien en vigueur. Je frotte mon gland tout doucement le long de son sexe encore trempé. Je la titille gentiment, en partant de son clito, jusqu'à faire rentrer mon membre tout doucement entre ses lèvres.

_ Montre moi ce que tu as appris d'autre…

« Avec plaisir » me dit-elle.

Alors Leila se redresse et s'enfonce sur mon sexe. Jusqu'à ce que celui-ci soit entièrement calé en elle. Déjà, l'extase est là. Je suis allongé confortablement, les deux mains sur ses cuisses, et la regarde faire. Elle commence tranquillement, ondule du bassin, masse mon gland avec le fond de son vagin. C'est une sensation délicieuse ! Leila continue le show, et attrape ses seins, les malaxe, titille les pointes en tirant légèrement dessus.

Alors mes mains remontent le long de ses cuisses, jusqu'à sa fente, complètement ouverte par le passage de mon sexe. Son clitoris est bien sorti, bien excité. Du bout du pouce, je l'excite encore un peu plus. Je sens que c'est sensible mais ne m'arrête pas.

« Continue » lui dis-je.

L'expression sur son visage montre que je m'y prends bien. Alors je continues jusqu'à ce que je sente son pouce venir embêter mon clito gonflé de désir.

« Continue »

Ma respiration redevient haletante, mes mouvements s'accélèrent, et j'ajoute à tout ceci les premiers va et vient. L'excitation monte de plus en plus. Je me mords fortement les lèvres pour étouffer un maximum de bruits. Non, je ne gémis pas, il m'en faut bien plus que ça... Mais disons que c'est pour la sécurité. Ma mouille dégouline le long de mes cuisses, je le sens. Tant pis pour les draps... Je m'en rachèterais.