Douce nuit... [pv Mark]

Leila commence à aller et venir sur mon sexe. Doucement d'abord, puis en accélérant un peu le rythme. Mon pouce sur son clito accélère au fur et à mesure qu'elle accélère aussi. Je la regarde. Belle comme tout, elle se mord érotiquement la lèvre pour ne pas faire de bruit. D'ailleurs, nous ne faisons ni l'un ni l'autre de bruit. On entend seulement le bruit très particulier de son sexe trempé qui rencontre le mien.

Pendant que mon pouce s'amuse sur son clito, mon autre main glisse sur sa hanche, puis sa fesse. Je la caresse un moment, écarte ses fesses, passe ma main entre. Mon pouce glisse sur son anus, et je le cale bien dessus pendant qu'elle va et vient sur mon membre.

« C'est tout ce que tu peux faire ? » lui demandai-je avec un air taquin.

Pendant ce temps, Mark déplace sa main libre pour la mettre entre mes fesses, et cale son pouce contre mon petit trou. Il semble amusé.

« C'est tout ce que tu peux faire ? »

Je gronde un instant, légèrement essoufflée. Mes coups de rein deviennent brutaux contre son sexe dressé, je m'active davantage pour obtenir des va et viens rapides. Je laisse tomber mes seins pour poser mes mains sur le lit, afin d'avoir une aide. Ma poitrine, désormais libre, rebondit à chaque mouvement brutal de ma part. J'essais de me donner au maximum, mais je ne suis pas sûre qu'il sera satisfait de ça. Le connaissant, il voudra encore plus...

Répondant à ma provocation, Leila se met à accélérer le mouvement. Elle va et vient sur mon membre, vite et fort ! Elle devient sauvage, et ça me plait. Pour être plus stable, elle lâche ses seins et pose ses mains sur le lit, en se penchant un peu plus sur moi.

Du côté de ses fesses, mon pouce est toujours bien installé. Mais avec les mouvements, il s'enfonce progressivement, jusqu'à faire des aller-retours en elle, en rythme avec mon sexe. Je commence alors à sentir l'excitation monter de plus en plus vite. Lâchant son clitoris, j'attrape l'un de ses seins, qui se balance juste au-dessus de moi. J'attrape l'un de ses tétons, le tord légèrement, le pince. Je veux que cette partie de jambes en l'air s'intensifie encore un peu plus.

« Tu m'excites » lui chuchoté-je à l'oreille.

Je sens son pouce entrer peu à peu dans mon anus et suivre les mouvements intenses. Mon clitoris sensible est lâché, mais à la place c'est l'un de mes seins qui se fait maltraité sous ses doigts. Je sens son sexe gonflé et tendu, sa bouche s'approche de mon oreille.

« Tu m'excites »

Il confirme ainsi mes pensées. Les premiers gémissements viennent, faibles. Je me laisse tomber sur Mark, sans pour autant arrêter ma besogne, et mord un oreiller pour étouffer mes premiers bruits. Je suis là, en train de me faire prendre par les deux trous, et je gémis à peine... Serais-je devenue une vraie chaudasse difficile sans m'en apercevoir, ou est-ce un effet de la fatigue ? Je lâche quelques instants l'oreiller.

-J'ai... l'impression... que tu vas... devoir mettre le paquet... pour me faire jouir...

Et je reprends aussitôt l'objet "étouffeur de bruits" en bouche. A cause des mouvements bestiaux, j'ai du mal à parler. Il faut vraiment que je dorme, ou demain je ne serais pas capable de suivre mes cours...

Je me sens vexé ! Très vexé ! Mettre le paquet pour la faire jouir ? Est-ce que je ne lui ferais plus aucun effet ? Là, Leila me blesse dans mon égo, et je me dois de réagir. Tandis qu'elle a la tête enfoui dans l'oreille, je l'attrape par les hanches et fait sortir mon sexe du sien, avant de la retourner sur le lit. Rapidement, je la mets face contre le matelas, et me poste sur elle. Avec mes mains, je relève un peu son bassin, et écarte ses cuisses. Il ne me faut pas plus de dix secondes pour la pénétrer de nouveau, en levrette cette fois-ci. Je la pénètre brutalement, faisant claquer mon corps contre le sien. Mon pouce revient à sa place, dans son petit trou, et mon autre main se glisse sur son sexe. Je veux titiller son clito, et l'exciter encore plus. Tout en la pénétrant violemment, je m'allonge sur elle et lui dit à l'oreille :

« Je relève le défi! »

A une vitesse incroyable, il me pousse face contre le matelas, et c'est à son tour de se trouver sur moi. Je sens le bas de mon corps se soulever et mes cuisses se faire écarter au maximum. Ais-je touché un point sensible ? On dirait car il me pénètre encore plus fort que ce que je n'ai fait auparavant. La force masculine... Quel délice ! Ses pouces retrouvent leur place initiale, l'un dans mon anus et l'autre sur mon clitoris fragile. Ma tête est totalement écrasée contre l'oreiller. Je le sens s'allonger contre mon dos et me murmurer à l'oreille :

« Je relève le défi! »

Et il me baise, tel une bête sauvage. Je me fais défoncer, torturer, malmener... Mais, juste ce soir, j'aime ça ! Je me retiens de crier, cependant je sens que je ne vais pas tarder à lâcher. Et je sais que si je lâche l'objet de ma bouche pour parler, je craquerais encore plus vite. Il ne faut pas... Pas tout de suite !

Je commence à baiser Leila de plus en plus vite et plus en plus fort. Mon pouce sur son clito semble faire de l'effet, je sens qu'elle se met à mouiller de plus en plus. Je grogne en la pénétrant, je me transforme en animal avide de sexe ! Mon pouce dans son anus va et vient en elle, puis je le retire, lui mets une claque sur les fesses. J'attrape ensuite ses cheveux, la forçant à retirer la tête de l'oreiller.

« Tu n'aurais pas dû me mettre au défi, lui dis-je. Je vais te baiser et je continuerais jusqu'à ce que tu jouisses. »

De nouveau, je lui mets deux fessées, une sur chaque fesse, avant de pénétrer de nouveau mon doigt dans son petit trou. Sans relâche, je la pilonne. Je ne compte pas m'arrêter avant qu'elle se met à crier de plaisir…

Je suis à deux doigts de craquer... Ses râles sont bruyants, je ne suis pas sûre qu'il cherche à les dissimuler. Il retire son doigt de mon derrière, et me donne la fessée. Telle une chienne, il me tire les cheveux pour que je redresse la tête, accentuant en même temps la position dans laquelle je me trouve.

« Tu n'aurais pas dû me mettre au défi. Je vais te baiser et je continuerais jusqu'à ce que tu jouisses. »

Enfin... Deux nouvelles claques atterrissent sur mes fesses avant de me faire encore une fois doigter par derrière. Je me contracte. Non... Je dois résister... Mais un de ses coups de reins violents m'est fatal. Je finis par laisser échapper un cri, qui s'intensifie à chaque coup de butoir. Mon corps se met à trembler sous les coups, mes jambes ne me supportent presque plus. Je suis entièrement parcouru par des spasmes de grandes ampleurs. Il ne lui a suffit que d'un instant pour me dominer totalement.

Ca y est ! Leila se met à gémir de plus en plus sous mes coups de reins. Il n'est surtout pas temps pour moi de m'arrêter. Au contraire, j'intensifie le rythme. Mon bas ventre claque contre ses fesses à chaque aller-retour. Ses fesses, d'ailleurs, me donnent terriblement envie. Je lâche alors son clito, et attrape sa main pour la fourrer entre ses cuisses :

« Remplace moi. » lui dis-je.

Ma main gauche est toujours occupée à doigter le petit trou de Leila. Ma main droite, libre désormais, se met à lui administrer quelques bonnes fessées. Je n'ai pas eu l'impression que ça la dérangeait tant que ça. Et moi, de mon côté, ça m'excite terriblement. Alors je lui claque le cul en rythme avec mes coups de reins. L'entendre gémir de plus en plus n'est que plus excitant !

Si tout le pensionnat n'est pas encore réveillé, c'est que les murs sont bien insonorisés ! La masturbation de mon clito s'arrête net, et à la place, il attrape ma main et la place dessus.

« Remplace moi. »

Ni une, ni deux, je m'exécute aussitôt avec férocité. Quant à lui, il me donne des fessées incroyables au même rythme que ses coups de reins. Je sens mes fesses devenir de plus en plus sensibles, elles commencent d'ailleurs à me piquer. Mes spasmes s'intensifient, mes muscles se tendent à l'extrême. Mais ça ne veut pas sortir... Alors je malmène encore plus mon bouton, j'ondule mon bassin... Et je finis par jouir dans un grand cri. Mais je ne m'arrête pas, car je sais que mon professeur aime quand je crie comme ça, et s'arrêter là alors qu'il n'a pas jouit c'est plutôt... nul ? Je sais pas trop comment dire ça.

-Oui ! Oui ! Mark ! Oui !

Peut-être que mes paroles vont l'inciter à lâcher sa semence dans mon corps...

Je ne m'arrête plus. Fessée après fessée, son cul devient rouge, il chauffe. Mes coups de reins ne s'arrêtent plus non plus, et j'ai l'impression de la défoncer littéralement. Tout en activant sa main entre ses cuisses, Leila se met à gémir, crier même. Son corps tremble, j'ai même du mal à la retenir.
Puis, dans un cri de bête, Leila finit par jouir. Je sens son vagin se contracter autour de mon sexe. Je continue néanmoins de la pénétrer brutalement, tandis que son orgasme retombe peu à peu. Quand elle se met à crier mon nom, je me sens défaillir. Je donne les derniers coups de reins, puis retire mon sexe du sien, et mon pouce de son cul. Il me faut moins de cinq secondes pour éjaculer massivement entre ses fesses et sur le bas de son dos, en grognant comme un animal.
Quand l'orgasme retombe, je me laisse moi aussi retomber à ses côtés. Reprenant mon souffle, je la regarde et lui dis :

« Tu es définitivement une très bonne élève… »

Mission accomplie ! A peine son nom crié qu'il se retire de moi et éjacule sur mon derrière, éclaboussant tout autour : mon dos, mes draps... Il s'allonge à côté de moi, totalement épuisé par sa performance. Lorsqu'il parvient à retrouver un souffle à peu près correct, il me lance un coup d'oeil.

« Tu es définitivement une très bonne élève… »

Je lui adresse un petit sourire fatiguée.

-Merci monsieur...

Je me lève difficilement et attrape un vieux chiffon pour nettoyer un maximum ce qu'il a tâché. Un regard vers le réveil m'indique qu'il ne me reste plus que quatre heures de sommeil avant que la sonnerie stridente retentisse pour se lever. Génial... Et en plus, je sens que je vais avoir du mal à rester assise sur une chaise pendant quelques temps !

« Merci monsieur… » me dit-elle d'une voix fatiguée.

Je comprends vite, et lui souris. Leila se leve et trouve un chiffon avec lequel elle essuie nos sécrétions, puis se recouche. Les yeux fermés, elle est prête à se rendormir. Je la regarde, souris… Elle est belle, nue, endormie. Je pose ma main sur son corps, la caresse un moment. Je lui tapote gentiment les fesses et me penche pour lui donner un baiser sur le front.
Puis je me lève, me rhabille, et me dirige vers la porte.

« Bonne nuit Leila. Et n'oublie pas de fermer la porte la prochaine fois. A demain. »

Je sors alors de la chambre et me dirige vers la mienne. J'ai moi aussi besoin de sommeil.

» Douce errance... < Libre >
» Mark
» Le repère de Mark
» Nouvelle [ Mark ]
» La drogue...[Mark]