La drogue...[Mark]

Ce que j'aime quand les journées sont finit, je peux enfin aller dans ma chambre et être tranquille. On se rend pas compte à quel point c'est long ces journées, surtout lorsqu'on est renvoyés à chacun des cours. C'est vrai, c'est long après mais bon j'y peux rien si les profs ne m'aiment pas c'est pas de ma faute.

Assise sur le rebord de ma fenêtre, j'attrape ma drogue dans mon sac et commence à sniffer doucement en respirant l'air en même temps, là je suis très bien et j'aimerais bien que les soirées sont plus longue que les journées.

Fin de journée. Comme à mon habitude j'aime bien marcher un peu dans le parc du pensionnat. Seul. Ca me permet de me ressourcer un peu...
En revenant de ma balade, j'aperçois une élève, assise sur le rebord de sa fenêtre. Au début, je me dis qu'elle va sauter... Même de loin, elle a l'air de faire la gueule. Et puis en me rapprochant, je la vois qui sniffe un truc, à même le sachet. Une junkie, pas une suicidaire. Je la reconnais, c'est une nouvelle. Jamais eu l'occasion de discuter avec elle, mais j'en ai entendu parler. Sale caractère, mauvais comportement. C'est ce que disent certains de mes collègues. Un avis dont je me fous totalement, soit dit au passage.
Je décide alors de monter, et voir ça de plus près. J'entre dans sa chambre sans frapper et lui lance seulement un :

_ Ce truc va te flinguer.

C'est le seul moment de la journée où je peux être tranquille et je peux fumer ma drogue tranquillement parce que sinon les profs et les surveillants me cherche et je ne peux pas faire ce que je veux. En même temps, je suis dans un pensionnat et donc forcément ils ne vont pas me laisser tranquille comme je l'espérerais. Je suis donc assise sur le rebord de ma fenêtre à sniffer ma drogue lorsqu'une voix se fait retentir dans la chambre en me disant que ce truc va me flinguer. Je souris en le regardant et lui dit alors:

Faut bien que quelque chose nous tue un jour ou l'autre....

Je souris et continue en tournant la tête pour regarder dehors, je ne sais pas vraiment ce qu'il va faire.

Faut dire qu'elle a pas tort sur ce coup. Je suis bien placé pour le savoir, moi qui ai toujours voulu rester plus ou moins en marge de notre belle société... Elle n'a pas tort, mais j'ai raison aussi, et son air insolent m'énerve un petit peu. Je m'approche donc d'elle, et la regarde en souriant, tout comme elle m'a souri. Et d'une pichenette, j'envoie son sachet de poudre trois étages plus bas. La différence entre elle et moi, désormais, c'est que moi je garde mon sourire. Et puis je me retourne, fais deux-trois pas dans la pièce, et sort de ma poche un pochon d'herbe. Ce n'est pas pour rien que j'aime être seul lors de mes balades.

_ Cette drogue t'aurais tué, lui dis-je. C'est complètement artificiel, créé chimiquement par des junkies. Par contre, si tu veux gouter quelque chose de plus... naturel.

Je n'ai jamais étais le genre de filles à écouter ses parents, à faire ce que bon lui demande, en effet ça à dégénérer rapidement quand ma mère a quittée le domicile familiale, je me suis retrouver seule avec mon père qui était malheureux. J'étais là pour lui, et le jour où ma mère est revenue, il m'a complètement zappé, oublier. Et puis, j'ai subis quelques attouchements par un mec de mon collège, rien de très grave puisqu'il a fait que me toucher, aucune pénétration ni ses doigts ni son sexe mais ça m'a marqué et mon père n'a pas étais là non plus. Depuis ce jour, je ne suis plus la même et je me drogue, ma vie n'ayant plus aucune signification. Il s'approche et envoie mon sachet par terre, je crois que je vais le tuer celui là, il se retourne et fait deux trois pas en sortant un sachet. Je le regarde et lui dis alors:

Tu sais quoi j'en ai rien à foutre de tes conseils à la noix...alors laisse moi tranquille!

En me relevant, ma jupe se relève et normalement les string ne sont pas autorisés pour ceux qui se rebelle le plus, mais moi le règlement il me passe au dessus et donc mon string se fait apercevoir.

Je m'assois sur le lit de cette fille, tandis qu'elle est occupée à m'envoyer chier. Je lui réponds très tranquillement.

_ Calme toi, un peu. Je t'offre un petit pétard et toi c'est comme ça que tu me remercies ? Ingrate, va...

Je commence à rouler le joint. Je la regarde.

_ Et puis si t'es pas contente, va donc te plaindre auprès du directeur, si jamais tu vois qui c'est. Tu lui diras que je t'ai confisqué ta dope, et t'en profiteras pour lui dire que son règlement tu te le fous au cul et que tu continues à porter tes jolis petits strings alors que ca t'est formellement interdit.

Je continue de la regarder, elle ne bouge pas... J'allume le joint, tire une première taffe.

_ Alors, tu en veux oui ou merde ?

Alors qu'il s'assoit sur mon lit, il me répond de me calmer un peu, non mais je crois que ça va pas le faire avec lui. Je le regarde et lui dis alors:

-Si tu m'avais pas lancée mon sachet je n'aurais rien besoin, alors c'est de ta faute pas de la mienne!

Il commence à rouler le joint et me fait face aux strings que je porte, je me doutais qu ça allait venir je sais pas pourquoi. Je le regarde et lui dis:

-Je le connais très bien t'en fais pas pour ça! Oh c'est bon il va pas me saouler pour des strings, ça fait plus classe j'y peux rien si ce directeur à la con n'y connait rien moi! Mais tu peux lui dire, je me ferais virée et puis c'est tout!

Il allume le joint et tire une taffe, bien sur que j'en veux, je m'approche de lui et lui pique le joint pour tirer plusieurs taffes, oh que c'est bon!

_ Hé, vas-y mollo ! Cette herbe c'est une petite rareté ! Si tu savais d'où ça vient, tu la fumerais pas comme ça. Savoure, bordel.

Je lui reprends le joint des mains, et tire une latte, délicatement. Je recrache la fumée en faisant des ronds. Je lui souris, tire encore une latte, et lui passe le joint.

_ Pourquoi t'es énervée comme ça ? Détends toi un peu ! Surtout que moi je suis pas le directeur, et personnellement je m'en branle, de tes strings et de toutes tes histoires. Si tu me fais pas chier, je te fais pas chier, et je veux même bien partager mon herbe avec toi. Mais sois respectueuse et tranquille, c'est tout ce que je te demande.

- Je te donnerais de l'argent s'il le faut, mais j'en ai besoin là avec la journée que je viens de passer donc bordel lâche moi!

Il me reprend le joint et tire une taffe délicatement en recrachant la fumée. Il me sourit en tirant encore une latte avant de me le repasser. Je reprends le joint et tire doucement dessus pour le fumer doucement, comme il le souhaite. Je le regarde, le premier qui veut pas me faire chier, ouah exploit. Je le regarde et lui dis:

-Je suis énervée parce que tout le monde me fait chier, sauf toi! Je sais que tu t'en fous, mais pas tout le monde! Alors je serais respectueuse avec toi, je te promets, mais en échange tu me fais pas chier!

Bon déjà elle a compris comment faut fumer ce truc, c'est déjà une bonne chose... L'herbe commence à faire effet, je me sens bien, vaporeux.

_ Je te ferai pas chier, sauf si tu le mérites. Mais honnêtement, j'ai pas que ça à foutre. Et puis tu veux une confidence ? J'en ai rien à foutre des gens! Je suis là parce que c'est la meilleure planque possible, et qu'il fallait pas que je me fasse trop remarquer chez moi. Et puis c'est payé. Je suis nourri, logé. Et y'a quelques jolies étudiantes à draguer... Mais sinon je m'en fous, de tout le monde, t'as pas idée...

Je lui reprends le joint, tire une latte. Wouah! Cette herbe m'éclate. Je me relève du lit, me mets face à elle, la dévisage.

_ Alors tu peux te détendre, ok ?

Je baisse mon regard...

_ Mais pas trop, on voit encore ton string, ma petite !

Il peut se sentir victorieux de tout cela, c'est vrai je l'écoute et fume doucement le joint, c'est rare que j'écoute une personne. Je souris en le regardant et lui dis alors:

- Au moins tu as la chance que tes parents ne t'envoit pas en pensionnat...enfin je te ferais pas chier de toute façon j'ai assez de distraction avec les surveillants et le directeur à faire chier pour que toi aussi je te fasse chier! Et pour les jolies étudiantes, j'avoue que tu as trouvé le meilleur pensionnat...parce que dans certains pensionnat c'est l'horreur!

Il me reprend le joint et tire une latte avant de se relever du lit et se met face à moi en me dévisageant. Je le regarde et lui dis alors:

- Oui je peux me détendre maintenant!

Il baisse son regard et me dit pas trop on voit encore mon string, je rigole et m'amuse à ouvrir et fermer mes jambes devant lui, c'est bien le joint ça me fait sentir bien.

Je suis resté debout, à regarder ses cuisses s'ouvrir et se fermer, dévoilant son string. Je suis comme hypnotisé. Mon regard ne décolle plus, c'est terminé. Je suis en transe totale ! Son string, c'est devenu mon nirvana.

Et puis je me ressaisis un peu. Je ne décolle pas mon regard pour autant, ce que je vois est tout à fait agréable. Mais je reviens un peu à la réalité. Je tire encore une latte sur le joint.

_ Tu sais, la famille, c'est la merde. Débrouille toi par toi-même et tu es le roi du monde. Je sais ce que c'est. On se comprend, tu vois ?...

Le joint est presque fini, il reste une ou deux lattes maximum. Je me penche vers elle pour le lui passer.

_ Tiens, finis le...

Mais c'est maintenant dans son décolleté que se trouve plongé mon regard.

Alors qu'il reste debout devant moi, je m'amuser à ouvrir et ferme les cuisses pour lui montrer mon string en souriant. Je le vois dans ses yeux à quel point, ce qu'il voit lui plait et pas qu'un peu. Il tire une latte à nouveau sur le joint alors que je le regarde et lui dis alors:

- La famille c'est bon qu'à nous enfoncer de toute façon! Oui on se comprend parce qu'on est pas aidé par la famille tous les deux, comme quoi on se ressemble peut être plus qu'on ne le croyait!

Il me passe le joint alors qu'il reste très peu de latte en se penchant vers moi et me dit de le finir. Je souris et tire les deux dernières lattes doucement et lance la fumée sur lui en souriant alors que je remonte un genoux pour venir toucher son entrejambe et rigole, je plane maintenant.

Je ne suis plus tout à fait maître de moi-même... L'ambiance dans la pièce est surréaliste. Il y a de la fumée de partout. Et voilà que maintenant, elle se frotte à mon entre-jambe. Et ca la fait marrer.

_ Tu essayes de me corrompre jeune fille ? lui demandai-je en rigolant. Pour que je dises à personne que je t'ai vue fumer de la drogue ?

J'explose de rire. Je suis fracassé. Son genoux sur mon entre-jambe me fait du bien. Alors je pose moi aussi ma main sur son genou, et la fait doucement remonter le long de sa cuisse.

Tout à changer du tout au tout, en même temps après un joint enfilé à deux, nos idées ne sont plus tout à fait clair, pas autant que tout à l'heure en tout cas. Je viens frotter mon genoux sur son entrejambe en rigolant, je trouve ça drôle. Je rigole en le regardant et lui dis alors:

- Non je sais que tu ne diras rien pour la drogue puisque tu l'as fais aussi, plutôt pour les strings en fait!

Je rigole et continue à passer mon genoux sur son entrejambes alors qu'il vient doucement remonter sa main le long de ma cuisse en le regardant. Je me relève doucement et vient mordre doucement ses lèvres, je ne suis pas sage ça c'est sur.

Elle me mord les lèvres, et je lui rends la pareille en léchant les siennes. La situation déborde complètement. Et ce n'est pas la première fois. C'est ce que j'aime, avec l'herbe que je fume. Lorsque la situation m'échappe totalement et finit comme elle est en train de finir.

Elle est collée à moi, ses mains sur mon torse, et son genou continue de se frotter à mon sexe. Moi, je passe ma main directement sous sa jupe. Puis attrape l'élastique de son string, et le fait claquer sur ses fesses...

_ Si tu es très gentil, on va pouvoir s'arranger, pour ce string !...

Alors que je mordille ses lèvres, il vient passe sa langue sur mes lèvres, c'est vrai que le joint que nous avons pris n'a pas vraiment aidée, bien au contraire. Nous sommes loin de cette vie de merde, mais à vrai dire je profite et j'ai pas envie d'autre chose pour l'instant.

Collée à lui, je passe mes mains sur son torse alors que mon genou continue à frotter son sexe. Il passe sa main sous ma jupe et attrape l'élastique de mon string et le fait claquer sur mes fesses. Je rigole légèrement et lui dis alors:

Et si je veux pas être gentille, tu vas me faire quoi?

Ma main est maintenant en train de caresser son cul, le prenant entièrement dans ma paume, le malaxant...

Je la regarde dans les yeux.

_ Et bien je pourrais... te punir. Ou t'attacher au lit, te forcer à être gentille. Mais je commence à comprendre comment tu fonctionnes, et je pense que t'en aurais rien à foutre de tout ça. Alors p'tet que je partirais, tout simplement, en te confisquant tous tes strings ca va de soi.

Je l'embrasse, c'est maintenant mon tour de mordiller ses lèvres. Ma main s'enfonce un peu plus entre ses cuisses. Puis je stoppe :

_ Ou alors non. Si tu refuses, je nous roule un deuxième joint, on se le fume, et après ma petite tu seras tellement déchirée que tu ne diras non à rien du tout !

Sa main est posé sur mes fesses et il prend un malin plaisir à me le caresser, c'est tellement bon que je n'oppose aucune résistance. Pourtant, je lui demande ce qu'il ferait si je ne veux pas être gentille, j'aime jouer c'est pas nouveau. Il me regarde dans les yeux et je rigole légèrement, non mais là par contre faut pas rêver:

- Me confisquer tous mes strings, tu as rêvés je crois...c'est impossible ça je te laisserais pas faire! Mais tu es le premier à comprendre comment je fonctionnes alors tu as le droit à mes félicitations!

Il m'embrasse avant de mordille à son tour mes lèvres, sa main s'enfonçant un peu plus entre mes cuisses et il se stoppe me laissant lâcher un râle, j'aime pas quand il s'arrêter. Je le regarde alors que je baisse son jean et lui dis alors:

- Pas besoin je ne dis pas non, à part à quelques trucs mais tu le découvriras!!

_ Ne t'inquiètes pas, je n'en ai pas besoin de tes strings, ils sont mieux sur toi. Bien qu'ils feraient peut-être une déco sympa pour ma piaule...

Je souris. Ma blague est pourrie. Mais je me sens bien défoncé. Alors c'est pas grave. Elle me sourit aussi. Et je sens qu'elle défait mon jean et le baisse. Pas de chance, je ne porte pas de caleçon. Elle vient de dévoiler mon sexe déjà très excité. Je souris de nouveau.

_ Ca tombe bien, j'aime bien découvrir les choses par moi-même. C'est ce qu'il y a de plus excitant, tu ne trouves pas ?

Et pour illustrer mes propos, je commence à déboutonner son chemisier...

_ Tu découvriras par contre toi aussi que je me débrouille toujours pour qu'on ne me dise jamais non.

- Je trouve aussi qu'ils sont mieux pour moi en effet! Euh non pas dans ta piaule je veux pas être remarquée moi !

Je rigole, nous sortons des trucs parfois assez incohérent mais avec le joint qu'on a prit tout à l'heure ça parait assez logique. Nous sourions tous les deux alors que je défais son jean avant de le baisser. Il ne porte pas de caleçon laissant son sexe déjà assez tendue face à l'excitation. Je souris en le regardant et lui dis alors:

- C'est parfait alors, oui je trouve aussi c'est mieux comme ça!

Il commence à déboutonner mon chemisier alors que je souris face à l'excitation qui commence à me gagner, je lui dis alors:

- J'ai hâte de voir ça alors!

Je finis de déboutonner sa chemise, libérant sa jolie poitrine. Pas de soutien-gorge? Humm... Je ne retire pas sa chemise, je la laisse comme ça, ouverte sur ses seins. Je trouve ça plus érotique. Je me dis même que ça ferait une jolie photo. Mais pas le temps. Je la rapproche de moi, l'embrasse encore. Ma main retourne sous sa jupe, mais côté pile cette fois-ci. Mon doigt est sur son string, à l'endroit où se trouve son sexe, et je sens comme une chaleur humide, là-dedans...

_ Excitée ? lui demandé-je avec un sourire.

Et je commence à tirer tout doucement sur le sous-vêtement pour le faire tomber.

Alors qu'il déboutonne ma chemise jusqu'en bas, il remarque que je n'ai pas mis de soutien gorge, et oui surprise. Pourquoi s'embêter à en mettre lorsqu'on peut s'en passer. Il ne me retire pas ma chemise et se rapproche de moi pour m'embrasser une nouvelle fois. Il remet sa main sous ma jupe et passe son doigt sur mon string, alors que c'est légèrement humide face à l'excitation qu'il me donne. Il me demande si je suis excitée, je souris en le regardant et lui dis alors:

Juste un peu...

Alors qu'il me retire mon string je me redresse pour venir prendre son sexe en bouche et commence à lécher du bout de ma langue son gland.

A peine son string est-il tombé sur ses chevilles que ça y est, elle attaque ! Elle se penche, attrape mon sexe entre ses lèvres, titille mon gland du bout de sa langue. Wouh! Sensible. Avec les effets du joint, je manque de tomber. Je caresse alors sa tête, puis son dos, je descends jusqu'à caresser ses fesses. Sa langue s'agite toujours sur le bout de mon sexe, et moi, comme guidé par l'excitation, j'ondule légèrement du bassin, pénétrant un peu plus dans sa bouche. Je pose maintenant ma main sur ma tête, ferme les yeux, savoure. Et puis je pense tout haut :

_ Aussi bonne qu'un bon joint...

Alors que mon string est tombé, je me penche et attrape son sexe entre mes lèvres. Je passe le bout de ma langue sur son gland en m'amusant à le titiller. Il caresse ma tête, puis mon dos et descend jusqu'à mes fesses. M'amusant à lécher son sexe, il ondule son bassin pour pénétrer son sexe un peu plus dans ma bouche. Il pose sa main sur ma tête et je souris en l'entendant parler tout haut. Alors que je donne des coups de langues rapide sur son sexe, je commence des vas et viens dans ma bouche pour pénétrer son sexe dans ma bouche alors que je passe mes mains sur ses bourses pleine.