Jalousie [pv mark]

D'habitude très sage en cours, j'étais aujourd'hui d'humeur exécrable, j'avais appris que je n'était pas la seule à me faire sauter par mon professeur d'art plastique, Mark. Bien que je sois une soumise accomplie, je ne pouvais refouler un sentiment tel que la jalousie, j'aimais être indispensable à mes nombreux maître et je remarquais souvent que ce n'était pas le cas. C'était frustrant, blessant, insultant pour une chienne soumise telle que moi. Je m'acaharnait à satisfaire mes maîtres et eux ne trouvait pas mieux que de se taper des salopes à tout va. Je bouillait tant de rage que je ne tarda pas à me faire expulser du cours. Je sorti alors dans le jardin pour m'aérer la tête. Le froid mordant me surpris, j'avais presque oublié qu'on était en hiver et avait oublié mon manteau dans ma précipitation de quitter le cours. Je donnais un coup de pied dans une motte de neige, il avait gelé cette nuit et je me fis mal Je pestait haut et fort quand j'entendis des pas dans la neige.

J'avais vu Myrioko sortir du pensionnat, au loin. Elle avait l'air agitée. Voire même énervée. J'ai décidé de la suivre. J'avais du temps de libre. Je l'ai suivie jusqu'au jardin, où elle se mit à taper dans tout ce qui bouge. Y compris une grosse plaque de glace recouverte de neige. Hurlant de douleur, elle s'est mise à insulter chaque chose vivante au monde.
Je suis arrivé derrière elle, essayant de faire le moins de bruit possible. Mais la neige ne m'aidait pas. J'ai alors simplement posé ma main sur sa hanche, la caressant un peu, et je lui ai dis :

_ Toi, je sens qu'il y a quelque chose qui t'énerve, aujourd'hui.

Au contact d'une main sur ma hanche, je me retourna vivement, la repoussant violemment. Quand je m’aperçus qu'il s'agissait de Mark je fronça les sourcils, la mine renfrognée.

-Qu'est-ce que tu me veux toi ? Tu n'es pas avec une de tes salopes ?

Il était la dernière personne que j'avais besoin de voir et sa présence ne faisait qu'accentuer ma mauvaise humeur. Je me rendit compte qu'il n'apprécierait pas le ton que j'employais et décidais que c'était tant pis pour lui. Je me retournais déjà pour m'en aller, ne lui prêtant plus aucune attention.

Oula, j'avais apparemment à faire à une belle crise de jalousie. Tout homme doit y faire face à un moment ou à un autre, mais je décidai de le prendre à la rigolade.

_ Enfin, tu sais bien que parmi toutes les salopes, tu es la plus salope de toute !

Mais l'humour n'avait apparemment aucun effet sur elle. Alors qu'elle s'en allait déjà, je décidai de la rattraper.

_ Reviens là, sale chienne!

J'agrippai fermement sa hanche, de nouveau, mais cette fois-ci, ce n'est que sa chemise que j'eus entre les doigts, et celle-ci se déboutonna entièrement sous le choc.

Je n'avais pas entendu ce qu'il m'avait dit, ou plutôt, je n'avais pas voulu l'entendre, je me fichais bien de ce qu'il pouvait me dire, pour le moment, je bouillais et toute la neige du monde ne pouvait me refroidir. Alors que je m'éloignais péniblement je sentis de nouveau sa main se poser sur ma hanche, malheureusement pour lui je m'éloigna le plus vite que je pus mais mon chemisier lui resta dans les doigts. Je me retrouva alors poitrine à l'air, le froid ambiant faisant durcir mes tétons. Je me retourna vivement et tendis la main vers lui attendant qu'il me rende mon chemisier.

-Rend le moi...

La situation devenait maintenant amusante. Pour moi, du moins… Le chemisier de Myrioko en main, je me suis amusé à le lui tendre avant de le reprendre rapidement, ne manquant pas de lui faire des allusions sur ses tétons érigés, ou sur le fait qu'elle ne portait toujours pas de sous-vêtements. Je m'amusais également à regarder ses seins se balancer lourdement dans tous les sens tandis qu'elle essayait de récupérer le vêtement.
Puis, après quelques minutes, je pris un ton plus grave.

_ Tu veux récupérer ton chemisier? Mets toi à genoux, et implore mon pardon. Demandes pardon à ton Maître pour avoir été une chienne capricieuse ! Tu fais une crise de jalousie, mais tu n'en es pas moins soumise à ton Maître.

Alors que j'espérais désespérément de récupérer mon bien, Mark s'amusait à me le tendre avant de le retirer vivement et ce plusieurs fois de suite. Mes seins se balançaient dans tout les sens ce qui n'était pas très agréable. En essayant d’attraper le chemisier je m'étais rapprochée de lui allant jusqu'à frôler son ventre de ma poitrine, cela dut à ma petite taille. Il finit par faire entendre que je récupèrerais mon chemisier quand je me serais excusée à genoux. Je replia mon bras contre moi.

-Je ne m'excuserais pas tant que je ne serais pas ta seule et unique chienne, je pensais te satisfaire mais finalement il t'en faut toujours plus...

J'attendais je ne sais quoi, la mine boudeuse, plantée devant lui.

Devant la désobéissance de Myrioko, je commençai par jeter son chemisier par terre, dans la neige. Avant de m'avancer et marcher dessus. Je m'avançai jusqu'à me retrouver devant elle. Elle ne bougeait pas. Une fois à quelques centimètres d'elle, j'ai attrapé son téton, très rapidement, entre deux doigts, et j'ai commencé à le pincer, à le tourner dans tous les sens, à le torturer. Puis je l'ai regardée dans les yeux et lui ai dis :

_ Je suis professeur. J'ai plusieurs élèves à charge. Mon travail demande à ce que je m'occupe de chiennes dans ton genre. Et je te rappelle que tu te fais baiser par bien d'autres personnes, parfois même sans mon accord. Alors fais moi encore une crise, et tu n'entendras plus jamais parler de moi. Or je sais à quel point ça te fait mouiller quand je te maltraite. Alors maintenant, à genoux, et excuse toi.

La jeune soumise le regarda faire sans broncher, certes, la douleur était là, mais elle était soutenable. Ce ne fut pas la torture de son téton qui la fit s'agenouiller mais la menace que son maître proféra. Elle s'agenouilla donc devant l'homme qui lui faisait face et dit, la tête baissée :

-Je vous demande de pardonner mon comportement maître, je vous jure de ne jamais recommencer...je ne mérite pas autre chose qu'une punition, je ne me défilerais pas, punissez-moi maître, je vous en supplie.