Nouvelle [ Mark ]

On était vendredi. Et le vendredi, c'était le jour de la présentation des nouveaux et nouvelles pensionnaires aux enseignants. Le directeur m'avait prévenu qu'une nouvelle était arrivée et qu'elle devrait passer à 16h pour se présenter à moi. A 16h, je l'attendais donc fermement.
J'aimais bien l'arrivée des nouvelles étudiantes. C'était pour moi comme l'ouverture de la chasse. Il fallait que j'apprenne à les connaître, que je les apprivoise, et qu'elles tombent dans mes filets. Un petit sourire m'éclaira le visage à cette idée. J'étais impatient de savoir à quoi elle ressemblait, quel type de fille c'était, etc.
Puis quelqu'un frappa à la porte.

_ Entrez ! ai-je crié.

J'ai regardé la fille, puis ma montre.

_ Il est 16h06, lui ai-je dis. Vous êtes en retard et j'ai horreur de ça. Asseyez vous sur la chaise face à moi. Mains sur les cuisses. Et tenez vous droite.

La première approche est plutôt convaincante : elle est obéissante. Une fois assise, elle me dit s'appeler Mana. Joli nom. J'installe alors un silence froid et pesant, prenant le temps de la détailler de haut en bas, me levant et tournant autour d'elle pour l'observer sous toutes les coutures. Puis je m'assois sur le bureau, face à elle. Je la regarde droit dans les yeux, lui lançant un de mes regards les plus noirs, et lui dit :

_ Voilà comment ça va se passer, Mana. Si tu es sage et obéissante, tout se passera bien. Au premier pas en dehors des clous, c'est la punition. Je ne suis pas chiant comme certains de mes confrères. Comportes toi bien avec moi, et je me comporterai bien avec toi. Donnant-donnant. C'est aussi simple que ça.

Je me lève ensuite et me mets derrière elle. Puis je pose mes mains sur ses épaules.

_ On ne t'en a peut-être pas parlé, c'est quelque chose d'assez officieux... Mais je vais te faire passer un test. J'ai besoin de savoir qui tu es. Alors lève toi, et les mains sur le bureau.

Mana a l'air un peu effrayée, elle doit se demander ce qui va lui arriver. Tant mieux. Je veux qu'elle sente ma domination. Je ne lui réponds rien, et tourne autour d'elle quelques minutes, comme pour entretenir le suspense. Puis je m'approche d'elle, de très près, sans la toucher. Elle ne doit sentir que mon souffle dans son cou. Je ne la touche pas, je l'effleure seulement. Puis je pose mes mains sur ses hanches. Les fais descendre sur sa jupe, ses jambes, jusqu'à ses chevilles. Malgré un peu de réticence, je lui fais écarter les jambes. Je me lève ensuite, et vais chercher dans mon placard une barre métallique, à laquelle sont rattachées deux menottes. Je peux ainsi attacher ses chevilles et lui faire garder la pose. Je lui dis alors :

_ Reste tranquille, Mana. Si tu es obéissante, tu n'auras aucun problème. Ceci n'est qu'un test. Alors détends toi, et surtout reste sage.

Une fois ses pieds attachés, je la pousse en avant, de sorte à ce qu'elle se retrouve penchée, face contre le bureau. Dans cette position, sa jupe courte d'écolière est assez relevée pour m'offrir une vue des plus agréables...

Mana se met à faire la capricieuse. Je n'aime pas ça. Alors le geste par tout seul, et je mets une fessée bien sèche sur son derrière, au-dessus de sa jupe.

_ Mana, lui dis-je, j'ai l'impression que tu n'as pas compris ce que je t'ai dis. Si tu es obéissante, tout se passera à merveille. Alors sois obéissante !

Je me relève alors, et me rapproche encore un peu d'elle. Passant mes mains sous sa jupe, j'attrape l'élastique de sa culotte, et la descends sur ses chevilles. Je ne regarde pas ce que se trouve sous sa jupe ; c'est un plaisir que je veux garder pour après. Je préfère pour l'instant regarder sa réaction, son air terrifié... c'est bien plus intéressant pour le moment.
Je me baisse alors et récupère la culotte à ses chevilles. Puis je reviens de l'autre côté du bureau, me mets face à elle. Et je lui enfonce la culotte dans la bouche.

_ Comme ça, tu arrêteras peut-être de te plaindre.

J'aime l'air apeuré sur le visage de Mana. Il provoque en moi un bonheur intense, et un sourire sadique s'affiche sur mon visage à moi. Une fois attachée et bâillonnée, je la laisse un instant et retourne vers mon armoire. Cette armoire est magique ! Remplie de gadgets plus pervers les uns que les autres. Et cette fois-ci, j'en ressors un œuf vibrant.
De retour vers la jeune fille, je lui claque d'abord les fesses, pour le plaisir, puis relève sa jupe sur ses hanches. J'ai le droit à une vue magnifique de ses fesses magnifiques. Deux jolis globes de chair que j'ai du mal à m'empêcher de caresser, malaxer, triturer... Dans la raie, légèrement écartée, de ces deux globes, j'aperçois d'abord son œillet brun, et plus bas, ce qui m'intéresse dans l'immédiat, son sexe fendu. Qui m'a d'ailleurs l'air déjà gonflé de plaisir. En y mettant le doigt, je constate effectivement un débordement de cyprine assez conséquent.

_ Vous mouillez, mademoiselle, lui dis-je. Aimeriez-vous le traitement?

Et sans attendre, je pose l'œuf sur sa fente, et l'introduit -facilement- en elle.

_ Je vais tester ta résistance, Mana. Prête ?

Alors j'actionne la télécommande qui fait vibrer l'œuf en elle...