Sieste au soleil (pv Leila Vans)

Fin d'après-midi. Le soleil est encore bien présent au-dessus du Pensionnat, et il fait encore très chaud. Je décide d'aller faire un tour, ayant eu une journée assez éprouvante, entre les cours à donner, les projets personnels à faire avancer, et la chaleur handicapante. Vêtu de mon jean et d'une chemise très légère, je décide donc d'aller voir ce qu'il se passe au Parc. Il n'y a pas grand monde, la plupart des étudiants sont je ne sais où, à faire leur devoir ou que sais-je. Je me balade, jusqu'à apercevoir quelqu'un au loin, allongé dans l'herbe. Ma curiosité me pousse à aller voir, et je découvre Leila, allongée, en train de dormir paisiblement. Pas bien dur à comprendre pourquoi. La veille, nous nous sommes envoyés en l'air jusqu'à 3h du matin, et elle n'a pas du beaucoup dormir.
Je me pose alors derrière elle, accroupi. D'ici, la vue sous sa jupe est magnifique, et ça me fait sourire. J'arrache une brindille d'herbe, que je balade sur sa jambe jusqu'à ce qu'elle se réveille en sursaut. Le sourire toujours aux lèvres, je lui dis :

« Des problèmes de sommeil, Leila ? »

_ On se demande pourquoi… me dit-elle en se frottant les yeux.

Je rigole, repensant à notre nuit. C'est vrai que je ne l'ai pas ménagée, la pauvre. Je n'ai pas vraiment de remords, ceci dit. J'ai passé une excellente soirée en sa compagnie, et de mémoire, c'était son cas également.
Je m'assieds à ses côtés, sur la pelouse, et mets mes lunettes de soleil sur mon nez. Je la regarde du coin de l'œil, se prélassant au soleil… Je suis d'humeur taquine, et continue de la chatouiller avec ma brindille d'herbe. Puis, pour l'embêter, j'attrape un pan de sa jupe et la soulève, dévoilant sa petite culotte. Lâchant aussitôt, je rigole et lui dis :

_ Tu as mis une culotte, aujourd'hui, tu t'améliores !

_ J'en mets tous les jours ! râle-t-elle. Juste parfois la nuit quand il fait trop chaud je n'en mets pas... Mais en même temps, personne n'est censé se trouver dans les chambres des filles en pleine nuit !

Je la regarde sans rien dire, en souriant seulement. Elle m'a l'air un brin énervée. Elle ne devrait pas, ça m'encourage à la taquiner encore un peu plus. Elle croise les bras, définitivement boudeuse. Mais manque de pot, ça ne fait que rehausser un peu plus sa poitrine. Elle tourne la tête, ce qui me laisse le champ libre pour admirer son décolleté. Je finis quand même par lui répondre :

_ Peut-être que tu avais fais exprès de laisser ta porte ouverte… Peut-être que tu avais envie que je vienne te trouver !

Là je crois que je l'ai vraiment vexée. Elle ne me dit plus rien, et se retourne sur le ventre pour faire ses devoirs. Je me dis que peut-être, j'ai pas été très sympa avec elle. Mais j'oublie vite cette idée en regardant les courbes de son corps. Sa jupette sur son derrière rebondi, le creux de ses reins, ses belles épaules sous ses beaux cheveux…

Je la laisse dans son coin cinq minutes, sans rien dire, puis d'un coup, lui monte dessus, m'accroupissant au-dessus de son dos. J'attrape ses épaules et commence à faire un semblant de massage.

_ Je t'ai énervée, je crois…

Je malaxe son cou, ses épaules… Mes doigts compressent sa peau et glissent dessus. Ils glissent jusqu'à ses clavicules, et glissent encore, centimètre par centimètre, dans son décolleté.

_ Laisse moi me faire pardonner…

Contrairement à ce que je pensais, Leila ne me rejette pas en me foutant la claque de ma vie, en me traitant de pervers, d'obsédé, ou que sais-je. Pour l'instant, elle se laisse faire. Alors je me fais doux, caresse sa peau doucement, me penche sur sa nuque pour l'embrasser tendrement. Je remonte à son oreille, suce son lobe. Mes mains descendent, glissent sur ses bras, remontent… Je ne sais pas trop quoi faire. Mais dans ma vie, je me suis toujours dis que quand on ne sait pas quoi faire, le mieux est de se jeter à l'eau. Alors j'ai fait glisser ma main dans son décolleté, et j'ai commencé à caresser l'un de ses seins à travers son soutien-gorge. A l'oreille, que je continue d'embrasser, je lui dis :

_ Tu n'as pas aimé hier ? J'ai été trop dur avec toi ?

_ C'est pas ça, c'est juste que c'est la première fois que ça se passe comme ça... me dit-elle. Et qu'il va me falloir un peu de temps pour m'en remettre !
_ Une première fois ? Pourtant tu as été parfaite ! Et j'ai eu l'impression que tu as aimé aussi, lui dis-je en infiltrant un doigt dans son soutien-gorge.

Apparemment, j'ai été trop brusque hier. Mine de rien, ça m'embête. Je suis un dominateur, c'est clair et net. J'aime qu'on m'obéisse. A côté de ça, je reste gentleman, et je n'aime pas faire de mal aux demoiselles. Je m'attèle donc à me faire pardonner autant que je peux. Mes lèvres glissent de son oreille à son cou, de son cou à sa joue. Je l'embrasse, la couvre de baiser, et remonte à son oreille.
Ma main, elle, empaume maintenant son sein entier. Je le caresse tout aussi tendrement, faisant rouler son téton entre deux doigts, le sentant durcir progressivement. Tout en la caressant, je lui dis :

_ J'aimerais te montrer que je peux être doux, aussi…

Leila continue de se laisser faire, me laissant le champ entièrement libre, apparemment. Alors toujours en l'embrassant un peu de partout, je sors ma main de son soutien-gorge et défait un à un les boutons de son chemisier.

_ Je sais que tu peux être doux, tu l'as été pour ma première fois, me murmure-t-elle.
_ Laisse moi l'être une deuxième fois.

A ce moment-là, je décide de m'allonger sur elle, sur son dos. Je me plaque contre ses fesses, ma bouche toujours dans son cou à la dévorer, et ma main qui retourne empoigner son sein. Avec ma bouche, je descends sur son épaule, l'embrasse, retire légèrement son chemisier. Mon autre main, elle, tente de se glisser sous son ventre.

Je mordille maintenant son épaule, sans que cela dérange Leila. Je crois même déceler un soupir, ou peut-être un gémissement, je ne sais pas. Quoi que ce soit, ça m'encourage à continuer. Alors ma main sur son sein continue de le malaxer, jusqu'à le sortir du soutien-gorge. Quant à mon autre main, je l'ai glissé sous son ventre, et je suis passé sous son chemisier. Ma bouche se fait de plus en plus gourmande, je dévore entièrement mon élève.
J'ai du mal à me contrôler, je deviens de plus en plus excité, et si ça continue, Leila finira par le sentir contre son derrière ! Mais je n'y peux rien, c'est plus fort que moi. Ma main glisse de son ventre, vers le sud. J'arrive à la ceinture de sa jupe, et y passe un doigt, puis deux.
Ma bouche, elle, trouve sa joue, et tente désespérément d'atteindre sa bouche.

_ J'ai envie de toi Leila, et ce depuis le premier jour où tu es arrivée dans cette école.

Leila se met à répondre à mes baisers, et tourne la tête vers moi. Ma bouche peut rencontrer la sienne. Directement, j'embrasse ses lèvres, les suce, puis enfonce ma langue dans sa bouche. Peut-être qu'encore une fois, je mets la charrue avant les bœufs. Mais cette fille me donne tellement envie !
Avec sa tête, Leila a également tourné son buste, ce qui me permets de la caresser plus facilement. Son sein est maintenant sorti entièrement. Il serait à la vue des gens s'il y avait des gens, mais cet apres-midi, le parc est désert ! De nouveau, je fais rouler ses tétons entre mes doigts, déjà excité à l'idée de les sentir durcir.
Par contre, ma main sur son ventre a du mal à aller plus loin. Leila fait barrage, gardant son bassin bien plaqué contre le sol. Impossible d'aller plus bas. Seulement, le problème, c'est que je n'aime pas m'avouer vaincu. Alors, tout en l'embrassant langoureusement, je retire ma main de son ventre, et la pose sur sa cuisse. Et de sa cuisse, je remonte, et remonte encore. Jusqu'à ce qu'elle se retrouve sur sa culotte. Relevant mon bassin, je remonte sa jupe d'une geste rapide avant de me coller de nouveau à ses fesses…

Une fois la jupe de Leila relevée, j'ai l'impression que les choses s'accélèrent. Mon sexe commence à durcir dans mon jean, et est actuellement collé sur ses fesses, à travers sa petite culotte. Sans faire vraiment attention, je me mets d'ailleurs à onduler du bassin, me frottant ainsi contre elle.
Puis, Leila, d'elle-même, retire son chemisier. Je prends ma chance au vol, et de ma main libre, dégrafe son soutien-gorge, qui tombe par terre. J'ai maintenant toute la place que je veux pour attraper ses seins, et les caresser à ma guise.

_ Mon Dieu ce que tu peux me faire de l'effet, lui dis-je entre deux baisers.

Et doucement, à l'aide de mon genou, j'écarte progressivement ses cuisses.

A l'aide de mon genou, j'écarte doucement ses cuisses, et le fais remonter jusqu'à son entrejambes. Mais alors que j'approche du but, Leila me pousse en arrière, et se retourne sur le dos. Je ne me laisse pas faire cependant, et à peine est-elle sur le dos que je lui saute de nouveau dessus. Sa jupe toujours relevé et mon genou toujours bien calé entre ses cuisses.

Je reste un instant sans rien faire, la fixant seulement du regard. Je dois bien avouer que la position est excitante, et la savoir à moitié nue sur la pelouse du parc rend la situation très pimentée. Et après avoir louché sur sa poitrine, je fonce sur sa bouche et l'embrasse fougueusement. Nos langues dansent ensemble, mes doigts jouent avec ses tétons…

Au bout d'un court instant, je lâche sa bouche, et porte deux de mes doigts à ma bouche. Je les lèche devant elle, en la regardant avec un air des plus érotiques. Puis, le plus doucement possible, je descends ces deux doigts jusque entre ses cuisses. Où je les pose délicatement sur sa petite culotte, avant de les faire aller et venir lentement sur sa fente à travers le tissu.

Au contact de mes doigts entre ses cuisses, je vois Leila se tendre, arquer son dos, fermer les yeux… Je la sens sensible. Bien sûr, je ne m'arrête pas en si bon chemin, et commence à faire aller mes doigts de haut en bas sur sa fente, appuyant un peu plus progressivement. Tout en la caressant, je plonge de nouveau ma bouche dans son cou. Je lèche sa peau, et descends progressivement sur ses seins. Là, je me mets à sucer ses tétons avec avidité, je les mordille gentiment. J'aime ses seins, je pourrais passer mon temps à les câliner.
Cependant, je ne m'arrête pas et continue de descendre, recouvrant son ventre de petits baisers. J'arrive à son nombril, puis à sa jupe retroussée, par dessus laquelle je passe. Enfin, je l'embrasse tendrement par dessus sa culotte. De petits baisers un peu partout, sur le haut de ses cuisses, sur ses hanches… Mes doigts s'activent toujours, et je sens l'humidité envahir le tissu.

_ J'aime, me dit-elle.

Je ne dis rien, me contente de sourire, et continue ce que j'ai commencé. Je sens sa main dans mes cheveux, ses jambes se resserrer contre moi, et sa culotte s'humidifier. Ma bouche s'est recentrée sur cet endroit très humide de son sous-vêtement. Un endroit où je sors ma langue et que je commence à lécher doucement. Mes doigts ne s'arrêtent pas pour autant, je la caresse de haut en bas, pousse légèrement jusqu'à faire rentrer le tissu entre ses lèvres. Ma deuxième main, elle, est remontée s'occuper du haut de son corps. Son ventre, ses seins… Je vais jusqu'à caresser sa bouche entrouverte.
Après quelques minutes à la titiller comme ça, j'écarte délicatement sa culotte. Je me retrouve face à son sexe, que j'ai déjà vu, mais qui me donne envie comme si c'était la première ! Ses lèvres sont gonflées de plaisir, luisantes d'humidité. Sans attendre plus longtemps, je pose délicatement ma langue sur sa fente, d'où coule un délicieux nectar que je m'empresse d'avaler.