Sieste au soleil (pv Leila Vans)

_ Encore… Encore… souffle-t-elle.

Trop occupé, je ne réponds toujours pas. Elle se tord dans tous les sens, mais je suis bien installé entre ses cuisses et la lèche sans répit. Ma bouche trouve son petit clito, et je me mets à le sucer et à lui donner des coups de langue. Dans le même temps, deux de mes doigts trouvent une ouverture facile dans sa fente, tant celle-ci déborde de mouille. Sans attendre plus longtemps, je fais aller et venir mes doigts en elle. Les bruits de succion entre mes doigts et son sexe sont significatifs : Leila est trempée.
Plus je m'occupe de son entre-cuisse, et plus Leila se trémousse dans tous les sens, tortille ses jambes, ondule du bassin. Alors, avec ma main libre, j'écarte l'une de ses cuisses et la plaque au sol, comme pour dire : « Tiens toi tranquille, je te lècherai jusqu'à ce que tu aies joui. »

Quand je vois que Leila calme sa cuisse, je retire ma main. Et suis même agréablement surpris de voir que, d'elle-même, elle écarte son autre cuisse, m'offrant un accès royal à son sexe. Ma main qui était sur sa cuisse vient maintenant se poser sur sa fente, que je continue de lécher, et avec deux doigts, je l'ouvre en grand. En harmonie, mes deux autres doigts la pénètrent de plus en plus vite et fort. Quant à ma bouche sur son clito, elle ne s'arrête pas un instant non plus. Un coup d'œil, de temps en temps, vers le haut, pour me rendre compte que Leila savoure le moment, les yeux fermés, la bouche entrouverte, et le corps cambré… Bien sûr, ça ne me suffit pas. Je veux la voir exploser dans un orgasme foudroyant. Alors sans m'arrêter de m'acharner sur son clito, je commence à insérer un troisième doigt en elle…

Il est de plus en plus difficile pour moi de m'occuper du sexe de Leila, tant celle-ci bouge dans tous les sens. Je reste pourtant bien accroché, et mes trois doigts s'enfoncent en elle avec toujours autant de vitesse. Leila se met à gémir, puis à crier. Je sens son corps qui tremble de plus en plus. Sa fin est proche, je le sens. Surtout, ne pas m'arrêter maintenant ! Pas si prêt du but ! Mes lèvres forment une ventouse sur son clitoris, mes doigts s'enfoncent en elle tel un marteau piqueur. Ça y est, je sens les muscles de son vagin se contracter rapidement sur mes doigts, un flot de mouille se déverse sur mon visage. Leila pousse un râle violent et terriblement excitant et part dans son orgasme…
Lorsque la vague a fini de la submerger, je retire mes doigts de son sexe inondé, puis me relève. A genoux entre ses cuisses, je l'admire en train de reprendre son souffle…

Leila finit par se relever, et vient se coller à moi. Je sens sa peau en sueur, encore tremblante. Mes mains se baladent sur son corps tandis que les siennes sont posées sur mon torse, et je sens son cœur qui bat encore très fort. Ses cheveux en pagaille la rendent irrésistible, et avec toujours mon goût de mouille sur les lèvres, je me penche sur elle pour l'embrasser.

_ Tu es magnifique quand tu jouis, tu le sais ?

Puis mes mains reprennent leur balade sur son corps. De son dos encore recouvert de petites brindilles d'herbes, j'arrive à ses fesses. Où je glisse un doigt, jusqu'à titiller son sexe encore très sensible. Leila se met à frémir, et je rigole en titillant ses lèvres encore trempée. Puis j'attrape ses mains.

_ Et regarde l'état dans lequel tu me mets…

Et lentement, je prends sa main, la fait descendre sur mon torse, puis sous mon nombril. Et je la glisse dans mon pantalon, là où mon sexe se dresse fièrement d'excitation.

Je sens la main de Leila empoigner mon sexe dur ! Rien que ça, ça me fait frémir. Je sens comme une décharge parcourir ma colonne vertébrale au moment-même où elle pose ses doigts sur moi.

_ Pourtant je ne fais rien de particulier, me dit-elle de son air le plus innocent possible.

Je souris, prêt à lui dire qu'elle m'excite et que c'est déjà pas mal, mais je n'ai pas le temps, elle vient coller ses lèvres aux miennes, et m'embrasse fougueusement en se collant à moi. Je sens mon corps contre son corps nu, mon sexe dur titille son entrejambe sûrement encore sensible. Je suis sur le point d'exploser mon caleçon !
Je réponds à son baiser avec la plus grande tendresse possible. Je veux lui montrer que je ne suis pas qu'un dominateur sans pitié, avide de jeunes élèves soumises, et que je peux me montrer très gentleman parfois. Alors je l'embrasse, caresse tout son corps… Mais au bout de quelques minutes, durant lesquelles elle ne lache pas mon sexe, sans pour autant le libérer, je la repousse de quelques centimètres et lui demande :

_ Je t'en supplie, Leila, tu vas me tuer ! Tu… pourrais me déshabiller ?

La libération, quand enfin Leila attrape ma chemise et commence à l'enlever ! Je la regarde faire, doucement, de ses mains délicates. Une fois ma chemise tombée, elle s'attaque à mon pantalon, défait la ceinture… nouvelle libération ! Mon sexe sursaute dans mon caleçon quand mon jean est à mes pieds. Et enfin ! Mon caleçon tombe aussi. Mon sexe bondit d'un coup, claquant presque sur mon ventre. J'ai un petit sourire, moitié amusé, moitié gêné…

J'attrape alors Leila, aussi nue que moi, et la rapproche de moi, la colle à moi. Ses seins sont écrasés contre ma poitrine, et mon sexe dur est plaqué contre son bas-ventre. Me penchant sur elle, je (re)commence par l'embrasser, passer mes mains un peu partout sur elle. Son dos, ses fesses… entre ses fesses, sa fente. Je la titille un instant, assez pour savoir que son sexe est encore humide.

Puis je retire mes doigts, et me reculant de quelques centimètres, les porte à sa bouche. Sans rien dire de plus, j'enfonce doucement mes doigts dans sa bouche. Je veux qu'elle les lèche, qu'elle les suce. Sans jamais la quitter des yeux, je retire ensuite mes doigts désormais très humides de sa bouche et les pose sur mon sexe. Lubrifiant mon gland un instant, je me recolle à elle, et pose mon sexe à l'entrée du sien…

Le contact entre mon sexe et le sien est électrique. Leila s'accroche à moi et ondule légèrement, lentement sur mon membre. En poussant doucement de mon côté, je finis par la pénétrer. Centimètre après centimètre, je la remplis. Jusqu'au fond. Et puis je reste un moment comme ça, sans bouger. Je lui caresse le dos, je la regarde dans les yeux. Je regarde autour de nous, aussi.
C'est ainsi que je me rends compte, ou plutôt que je me souviens où nous sommes. C'est à dire, entièrement nus, emboités debout l'un dans l'autre, dans le parc de l'école. Au loin, il me semble que j'aperçois un groupe d'élèves, d'ailleurs… Malgré mon côté libéré, voire exhibitionniste, j'espère tout de même qu'ils resteront à distance.
Je regarde de nouveau Leila, qui ondule toujours doucement sur mon sexe. La position n'est pas très confortable. Debout, sans appui, j'ai du mal à bouger. Alors je me retire, sûrement au plus gros regret de Leila, et invite celle-ci à se coucher sur le dos, comme elle l'était quand je suis venu la déranger dans sa sieste. Puis je me mets à son niveau, écarte ses cuisses en grand, et la pénètre de nouveau…

Avec douceur, il fait entrer son sexe en moi et s'enfonce jusqu'à la garde avec une grande lenteur. Je frissonne, l'effet est aussi intense que s'il était entré d'un seul coup. Mais je pense que la douceur y est aussi pour quelque chose... C'est extrêmement agréable ! Je n'arrete pas pour autant de bouger mon bassin sur son membre dur, meme si difficile dans cette position... D'ailleurs, je pense comme moi car il se retire d'entre mes cuisses et me pousse pour faire en sorte que je m'allonge. J'obéis à cet ordre silencieux. Il s'allonge près de moi et glisse ses mains à l'intérieur de chacune de mes cuisses. Ses mains chaudes écartent mes cuisses à leur maximum et s'installent entre elles. Une nouvelle fois, il me pénètre doucement. Un petit gémissement m'échappe. Je n'aurais jamais deviner que la tendresse aurait pu me faire gémir dès que le sexe de mon partenaire soit rentré en moi... C'est si... agréable... Mes pensées commencent à s'embrouiller, mes yeux se ferment.

Mon sexe va et vient doucement dans celui de Leila. Je veux être doux. Pour commencer. Je veux y aller tranquillement. Sans geste brusque. Alors, les deux mains posées à plat, de part et d'autre du corps de Leila, j'ondule légèrement du bassin pour me faire aller et venir en elle. Mon sexe la pénètre lentement, mais complètement. Je vois les yeux de ma partenaire se fermer, sa bouche s'entre-ouvrir, sa respiration accélérer. Cela m'excite énormément, de la voir se perdre dans le plaisir. De ne plus se contrôler, de n'être que désir. Sans la lâcher des yeux, j'accélère un peu le rythme. Juste un peu. D'une main, je relève l'une de ses jambes. Pour que la pénétration soit plus profonde. Je fais pareil avec la deuxième. Sa fente est invitante, j'y entre entièrement, et j'ai l'impression, dans cette position, qu'elle m'en demande encore. Alors les deux mains retenant ses jambes en l'air, et sans jamais m'arrêter de la regarder, j'accélère encore le rythme…

Ses mains ne me touchent pas, il se contente de m'envahir de l'intérieur avec une grande douceur. Puis, je sens que quelque chose a changé. Le rythme. Il a accéléré le mouvement, mais pas de beaucoup. Je me mords fortement la lèvre tellement que le plaisir est intense. Ses mains quittent l'une après l'autre leur appui dans l'herbe afin de relever mes cuisses, exposant alors un peu plus mon sexe trempé à ses coups de reins et aux sensations qu'il me procure. Je sens son regard sur mon corps. Il m'observe, probablement satisfait par le pouvoir qu'il a sur moi. Mais c'est si bon... agréable... excitant à souhait ! Il accélère encore un peu, mes gémissements réapparaissent. Mes mains caressent son large dos et descendent... peu à peu. Je finis par atteindre ses fesses que je caresse également. Mais je ne m'arrête pas là et descend encore une seule de mes mains. Du bout de mes doigts, je viens froler ses testicules qui bougent en rythme avec ses coups de butoir.

Mes mains sont agrippées à ses cuisses, je ne les lâche plus, et continue de la pénétrer comme il se doit. Leila se mord la lèvre, peut-être ne s'en rend-elle pas compte mais c'est terriblement sexy, comme geste. Ça m'encourage à y aller plus fort, à vrai dire.

Je transpire, j'ai chaud. L'herbe colle à mes genoux. Mais pour rien au monde je ne m'arrêterais. Surtout que maintenant, je sens les mains de Leila dans mon dos, puis dans le bas de mon dos, puis sur mes fesses. Le contact de ses doigts à cet endroit me donne des frissons. L'une de ses mains descend encore un peu, passe entre mes cuisses, et je sens soudain ses doigts sur mes testicules. Je frémis, me crispe, pousse un léger grognement. Je reste quelques instants immobile dans son vagin. La caresse m'a électrisé. Puis je reprends mes coups de reins. D'abord doucement, puis je reprends une cadence plus rapide.

Tout en la regardant dans les yeux, je lui dis :

_ J'aime bien tes caresses, surtout ne t'arrêtes pas. Et j'aime bien te regarder. J'ai envie de te voir jouir.

Son corps tremble sous mes caresses, l'obligeant à s'arreter. Mais très vite, la douce torture recommence. Doucement puis rapidement. Je continue à sa demande. Son corps est brûlant. J'alterne entre halètements et gémissements.

-Hmmm... mark...

Ce n'est guère plus fort qu'un chuchottement. Progressivement, mes gémissements se transforment en petits cris. Pour éviter un attroupement d'élèves autour de nous, je lâche ses fesses pour plaquer ma main sur ma bouche et étouffer mes bruits.

Mes coups de reins se font plus intensifs, les caresses de Leila m'emportent vers plus de désir. Je ne la quitte pas des yeux, elle a les yeux fermés, halète, gémit, pousse de petits cris. Ca m'excite terriblement, alors je redouble d'intensité. J'attrape ses cuisses, les remonte plus haut encore pour m'enfoncer plus profond encore.

Pour éviter de crier, Leila lache mes fesses et met ses mains sur sa bouche pour éviter de faire du bruit. Mais moi, ça m'excite, de l'entendre prendre son pied. Tant pis pour les autres. Alors je me penche sur elle, et bloque ses mains de part et d'autre de sa tête. La regardant droit dans les yeux et m'enfonçant violemment en elle, je lui dis :

_ Ça m'excite de t'entendre. Vas-y, crie !

Une fois sous ma domination totale, Leila n'a d'autre choix que de se laisser aller. Elle se met à crier, des cris de plaisir qui résonnent à mes oreilles comme une vraie mélodie. Sans m'arrêter, je la besogne, allant et venant dans son sexe dégoulinant.

Je sens son corps se crisper, l'orgasme doit être très proche. Ce n'est surtout pas le moment de m'arrêter. Je lâche ses mains et attrape ses fesses pour relever son bassin. Dans cette position, la défonce est totale. Bien agrippé à ses fesses, j'en profite même pour glisser un doigt curieux sur son petit trou. Mon visage s'enfouit dans son cou, puis près de son oreille, où je lui dis tout doucement :

_ Jouis maintenant …

Leila se cambre et hurle de plaisir à cause de l'orgasme qui la ravage. Ses mains retournent saisir mes fesses, ce qui m'incite à continuer plus fort encore. Je ne suis pas encore sur le point de jouir, alors je continue. Toujours avec la même vigueur.

Cependant, il me suffit de quelques minutes pour sentir la jouissance monter à mon tour. Leila, face à moi, me tient toujours par les fesses et gémit encore et toujours, bouche grande ouverte. Bouche grande ouverte. J'ai envie de sa bouche. Je veux jouir dans sa bouche, la voir se délecter de ma jouissance.

Alors d'un seul coup, je me retire du sexe trempé de Leila, et m'avance de son visage, en la chevauchant. Ma main sur mon sexe, je la regarde en tremblant :

_ Ouvre la bouche Leila… lui dis-je avant que les premiers jets viennent l'éclabousser.