Un film interrompu [LIBRE]

Finalement, Emi se laissa aller au plaisir. Plus de retenue. Je léchais sa fente avec gourmandise, suçais son clito, et commençais à la doigter, des deux côtés avec de plus en plus de hargne. Je sentis ses mains dans mes cheveux, dans mon cou… Elle me poussait à continuer. Et bonne nouvelle, je ne comptais pas m'arrêter en si bon chemin.

Emi finit par se tendre, trembler comme pas possible en gémissant… puis laissa un flot de mouille éclabousser mon visage. J'adorais lécher les filles fontaine ! C'était toujours terriblement excitant de voir leur orgasme aussi intense.

Je reculai finalement et retirai mes doigts des orifices d'Emi pour m'apercevoir qu'un groupe de jeunes nous filmaient au téléphone portable.

_ Vous voulez du spectacle, les puceaux ? leur-dis.

Je me relevai, et pris entre mes doigts mon sexe redevenu très dur. Et après m'être relevé un peu, je plongeai directement dans la fente encore dégoulinante de mouille d'Emi.

Je me mis à pénétrer Emi sauvagement. Mes coups de reins étaient brutaux mais je savais qu'elle aimait ça. Je voyais les deux jeunes hommes pas trop loin qui continuaient de filmer, dont l'un n'avait apparemment pas apprécié la remarque que je lui avais lancée. Tandis que je pénètre Emi, il vint se placer derrière elle, et sans rien demander, commença à l'embrasser. Tant que ça s'arrêtait là, je ne voyais pas de mal à ça. Après tout, plus on est de fou, plus on rit ! Mais rapidement, cela dégénéra. Le gamin se mit à maltraiter Emi, à prendre ses seins en mains, à les malaxer violemment, comme s'il voulait les lui arracher. Emi n'avait pas l'air d'apprécier du tout, je me devais d'intervenir.

Le coup partit tout seul, et mon poing s'étala sur sa face. J'entendis le craquement des os de son nez, tandis qu'il s'écroulait par terre, le visage en sang. Je me retirai alors du sexe d'Emi pour aller trouver notre victime gisant à terre, pleurant qu'on lui avait pété le nez. Je l'attrapai alors par le bras et le tirai vers la sortie.

_ Emi, suis moi. Et toi, dis-je en direction de l'autre garçon, viens donc filmer ce que je réserve aux connards irrespectueux !

Je sortis alors de la salle et allai vers les toilettes.

On était tombés sur des durs. J'avais provoqué le deuxième et sa réponse ne se fit pas attendre, il nous fonça dessus, envoyant un sacré coup de poing dans le visage d'Emi. Oh l'enfoiré! Je tentai de le repousser le plus loin possible, mais tenant encore l'autre dans mes bras, j'eus du mal à faire grand chose. Emi s'en chargea, envoyant un coup de genoux dans ses valseuses, avant d'en faire de même dans sa gueule. Bien. On ressemblait à Bonnie and Clyde, et bizarrement, les gens qui étaient dans la salle n'osaient plus nous dire grand chose.

_ Je t'écoute Mark, me dit Emi.
_ Tu n'as rien, c'est bon ? Bon, amenons ces deux trous du cul dans les toilettes, il est temps de leur faire payer la note.

Je tirai les deux débiles par le bras, les trainant jusqu'aux toilettes, où je les jetai à terre. Le sol était crasseux, il puait la pisse, mais qu'importe, c'est tout ce que ces salopards méritaient. Avant qu'ils ne reprennent conscience, je les attachai ensemble au radiateur en me servant de ma paire de menottes.

J'attrapai alors Emi et la collai contre moi. Je l'embrassai alors langoureusement, tandis que les deux mecs se réveillaient doucement. Je les regardai, caressant tout le corps d'Emi comme pour leur dire "voilà ce que vous allez louper", et dit ensuite à Emi :

_ Alors ? Une idée perverse de comment corriger ces enfoirés ?

Je regardai Emi déballer tout son attirail de dominatrice sadique. Je ne la connaissais pas sous cet angle. Mais bordel qu'est-ce qu'elle voulait faire avec un briquet ?!

_ A toi de commencer, me dit-elle en souriant.

Je ne savais pas trop quoi faire. Jouer sexuellement avec ces connards ne me ferait pas bander pour un sou. Par contre, je ne me fis pas prier pour envoyer un gros coup de savate dans les côtes du mec qu'Emi venait de "libérer". Et un deuxième. Pour le plaisir. Je me dirigeai ensuite vers Emi, regardai ses "jouets", et lui dis :

_ Si tu veux te taper ces mecs et les humilier comme jamais, tu as carte blanche. Moi je préfère leur montrer ce qui aurait pu se passer s'ils avaient été sympas.

En disant cela, je glissai ma main sur ses fesses et les malaxai lentement.

Je continuai de pénétrer Emi, qui après avoir donné une leçon sur le massage de la poitrine à nos deux victimes, s'était remise à quatre pattes. Une main sur ses hanches et l'autre dans ses cheveux, j'allais vite en elle, la confrontation entre nos deux sexes produisaient des sons très excitants.

Je voyais d'ailleurs les deux mecs bander comme pas possible. Avec impossibilité de se toucher. Et non, nous n'allions leur faire aucun cadeau. Je plaçai ma main sur le ventre d'Emi, puis sur son clitoris. Tout en la pénétrant, je me mis à la titiller.

_ Vas-y Emi, montre leur comme t'es excitante quand tu jouis.

Ce que j'aimais chez Emi, c'était sa capacité à jouir vite et fort. Et plusieurs fois d'affilée. Encore une fois, il ne fallut pas beaucoup de temps avant qu'elle explose dans un cri et un flot de mouille ! Je ne pouvais m'empêcher de regarder nos victimes tout en besognant Emi. Ils avaient le regard vissé sur la jeune fille, impossible de s'en séparer !

Je me retirai un instant du sexe d'Emi, qui dégoulinait comme jamais, et la tirai vers la main pour qu'elle se mette au-dessus de la tête de l'un des gars. Ses jambes de part et d'autre. Aussitôt, je me replaçai derrière elle, et la pénétrai de nouveau.

En peu de temps, je me mis à jouir, éjaculant de longs jets de sperme au fond de son vagin. Je me retirai rapidement et dis :

_ Accroupis toi au-dessus de ce connard, il va s'occuper de te nettoyer.

Je regardai Emi s'accroupir et frotter sa fente contre le visage, la bouche, de notre otage. Je l'entendis même prendre un peu de plaisir. Le jeune homme devait avoir saisi l'occasion et léchait le sexe trempé d'Emi, malgré mon sperme qui devait également s'en écouler.

Puis j'entendis un cri, et Emi se releva soudainement pour venir se blottir contre moi. L'enfoiré avait dû user de ses dents ! Aussitôt, je me mis à genoux, et envoyai une droite bien placé dans sa machoire. Du sang coula de sa lèvre.

_ Enfoiré, on t'a jamais appris à ne pas mettre les dents ?

Je fouillai alors dans mon sac pour trouver ce à quoi nous n'avions pas pensé : du gros scotch. Je m'en servis pour entourer sa bouche. Ainsi il serait inoffensif. J'en profitai pour faire de même au deuxième, qui regardait la scène avec un air inquiet, et une trique pas possible.

_ Accroupis toi de nouveau sur ce connard. Je veux que tu laisses couler mon sperme sur sa gueule.

Adossé contre le mur des toilettes, je regardai la scène avec beaucoup d'excitation. Emi écartait ses cuisses en grand. Par conséquence, les lèvres de son sexe s'ouvraient également, et mon sperme en coula instantanément, sur le visage dégouté du jeune homme. Prise de hargne, elle força le deuxième à venir lécher. C'était délicieusement pervers. Ca m'excitait terriblement de la voir agir de la sorte, rebelle, sadique.

Je m'approchai d'Emi et la pris par la taille.

_ Ma chérie a ta perversité est sans limite. Je suis sûr que tu as d'autres idées malsaines en tête. Que dirais-tu de t'occuper de tes nouveaux jouets pendant que je joue avec ton derrière ?

Aussitôt, ma main glissa le long de son dos et un doigt glissa entre ses fesses pour chatouiller son petit trou et le bas de sa fente.

Emi ne se fit pas attendre, et avant que je puisse faire quoi que ce soit, elle se saisit d'un gode et d'une de ses victimes. Elle releva le type, et plaça de manière tout à fait précaire au-dessus du sextoy. La chute allait être fatale. Je l'entendis dire qu'elle avait hâte qu'il lâche, avec un certain sadisme dans la voix, en rigolant légèrement. Elle m'excitait. J'entendis un cri étouffé quand le jeune homme glissa et enfonça le bout du gode à l'entrée de son anus.

Il fallait que je passe à l'action. D'un geste, je basculai Emi vers l'avant, pointant son derrière en l'air. Me mettant à genoux, j'écartai ses fesses, et commençai à la lécher. J'allais de sa fente à son petit trou, et de son petit trou à sa fente. Quelques minutes de léchouilles me suffirent pour que je puisse entrer deux doigts dans son sexe et un troisième dans son anus.

_ Putain Mark ! T'as décidé de me faire jouir combien de fois ? grogna Emi.
_ Combien de fois est-ce que tu peux jouir ? C'est plutôt ça la question.

Cela m'encouragea à continuer. Léchant encore un peu plus ses deux orifices, je décidai de pénétrer un nouveau doigt dans son vagin, et la même chose dans son anus. Elle avait maintenant cinq doigts en elle. Je continuai encore un moment, me délectant de la mouille qui débordait de sa fente, puis me relevai.

Je regardai les deux hommes à demi-conscients, et leur fis mon plus beau sourire. L'air de dire "vous êtes jaloux, avouez-le". Je pris alors mon sexe dur dans ma main et le posai sur l'anus d'Emi. Je posai alors une main sur sa hanche, l'autre sur son clito, en passant sous elle. Et tout doucement, je la pénétrai de nouveau…

_ Je peux jouir jusqu'à ton épuisement, me dit-elle.

Parfait. J'étais du genre en forme. Je continuais à la doigter férocement, cinq doigts en tout la pénétraient, quand je sentis que, sur le point de jouir, elle pénétra elle aussi deux doigts en elle. Cette fille prenait tellement son pied que sept doigts rentraient aisément en elle. Dans ma tête, je pariai même qu'on pourrait faire mieux.

Je retirai alors mes doigts et lui dis :

_ Continue. Mets en plus !

Et alors qu'elle se doigtait, je posai mon sexe sur le sien, et poussai. Je voulais la prendre pendant qu'elle se pénétrait elle-même. Mes doigts ne restèrent cependant pas inactifs, et trois doigts allèrent se glisser dans son petit trou.