Une baignade plus qu'agréable [LIBRE]

La chaleur avait envahi l'internat depuis deux semaines. Chacun tentait vainement de se rafraîchir. Quant à moi, j'étais affalée sur mon lit, à damner les personnes qui nous assommaient d'une telle chaleur.

_ Putain hurlais-je.

Je me releva puis me déshabilla totalement avant de choisir un petit bikini rouge. Je l'enfila puis noua une serviette autour de mon corps. Je pris mes lunettes de soleil et de la crème solaire puis sortis de ma chambre, le sourire aux lèvres. Je me dirigeas avec hâte vers la piscine. Une fois arrivée, je me retins de hurler de joie. Je posa serviette et mes affaires puis plongea sans prendre le temps de faire quoi que ce soit. Je fis quelques brasses avant de m'accouder au rebord en pierre de la piscine. Ah le bien que c'était. Je plongea sous l'eau, remonta. Je fis ça pendant plus de une heure. J'allais sortir quand je remarqua que mes affaires avaient disparu, je sortis de la piscine, les cherchant. J'allais crier au voleur de venir me voir, quand soudainement j'entendis le craquement d'une branche. Cela me fit sursauter et je me pris les pieds sur le rebord de piscine puis je chuta dans celle-ci, paniquée.

Quelle canicule, nom de Dieu ! Je déteste ce genre de chaleur moite qui vous fait transpirer. Je m'énerve toute seule dans ma chambre. Je n'arrive pas à rester calme. Une solution pour se rafraîchir : se rendre à la piscine. Je prends mes affaires, mon maillot, et je quitte le pensionnat en direction de la piscine municipale.
Dès mon arrivée, je commence à me sentir mieux. L'air est beaucoup plus respirable ici. Il faut dire que je sors tout juste d'un bus rempli de mecs en sueur, avec les auréoles sous les bras et tout. Charmant n'est-ce pas ? Bref, j'arrive au bord de la piscine ou une de mes camarades se trouve déjà. Ou bien est-ce une sirène ? Elle est vraiment superbe en tout cas.

Soudain, un homme débarque de nulle part et s'empare des affaires de la jeune fille avant de tenter de s'enfuir avec. Mon sang Italien ne fait qu'un tour : avant que la demoiselle n'ait pu crier, je me jette sur l'individu pour lui asséner un direct du droit, avant de lui broyer les couilles avec ma poigne de fer. Il hurle, puis file sans demander son reste, courant péniblement. Contente de moi, je m'approche de la jeune fille, ses affaires en main, faisant craquer une branche, et provoquant sa chute dans la piscine. Sans hésiter, je me jette dans l'eau pour lui porter secours....

La panique me prend de court et me pétrifie, sans pouvoir je coule. Mon coeur bat à vive allure, pensant que c'était fini, je ferma mes yeux puis attendis. Soudainement, je sentis l'eau remuer puis des mains se posent sur ma taille, me sortant de l'eau. Mes bras se noue sans force autour de sa nuque et je me laisse ferme. Nichant ma tête au creux de son épaule, dans une étreinte réconfortante. J'ouvre doucement les yeux et découvre une nouvelle camarade, Elena. Bon dieu qu'elle est belle pensais-je. C'est une magnifique jeune fille avec des cheveux châtains lui arrivant aux épaules. Des yeux brillants d'une lueur enfantine et malicieuse. Et un corps, un corps de déesse. Emi regarda la jeune femme avec un sourire, cependant elle ne bougea pas. Emi préférait rester coller à cette beauté et c'était justifié.

_ Uh, je suis Emi murmura la jeune femme. Enchantée de te connaître et bienvenue au pensionnat.

Je sors la malheureuse de l'eau avec aisance. Elle se laisse complètement faire, comme une enfant. Je luis souris et l'allonge sur sa serviette. Tout de suite, je ne peux faire autre chose que remarquer que ma camarade a été incroyablement gâtée par Mère Nature. Sa poitrine plus que généreuse ruisselle d'eau, tout comme son corps, l'ensemble donnant un effet sensuel auquel j'ai beaucoup de mal à rester insensible.

_Uh, je suis Emi. Enchantée de te connaître et bienvenue au pensionnat.

" Je te remercie Emi " répondis-je de ma voix rauque. " Tiens, j'ai récupéré tes affaires... "

Je n'arrive pas à détourner mes yeux de son corps sublime. Je recommence à avoir chaud, mais cette chaleur là est bien agréable. Son maillot de bain est tellement trempé qu'il semble flotter sur elle. Je commence à titiller son soutien gorge. Je meurs d'envie de le lui arracher, mais je me domine pour le moment....

Je laisse Elena me poser sur la serviette, cependant je ne peux m'empêcher de remarquer que son chemiser blanc d'uniforme est transparent. Je ferme les yeux, voulant me contrôler.

_ Tu uhm fin begayais-je... Ton chemisier..

Je voulu pour une fois prendre les devants. Je la regarda dans les yeux puis attrapa un des boutons, les défaisant un à un. Une fois le chemisier défait de toute attache, je le fis glisser de ses épaules. Laissant apparaître son maillot de bain jaune. Celui-ci mettait sa poitrine en valeur.

_ Tu es superbe dis-je.

Emi ne me facilite pas les choses. Ma chemise est trempée, et elle commence à la détacher lentement avant de me l'enlever. J'en profite pour ôter ma jupe noire, restant en maillot de bain, comme Emi.

_ Tu es superbe...

Je hausse les sourcils, incrédule mais tout de même flattée.

" Par rapport à toi je suis bien ordinaire... "

Cette fois je n'y tiens plus. J'écarte délicatement son slip avant de caresser son sexe avec douceur, le plus lentement possible pour bien chauffer ma compagne, puis de plus en plus vite. Haletante, suffocante de désir, je lui retire son bikini avant de faire de même avec le mien. Je me couche sur elle, me frottant contre son corps magnifique et l'embrassant à pleine bouche...

Un petit gémissement agrippe mes lèvres, mes mains se glissent entre les jambes d'Elena. Sans aucuns problemes je trouve sa fente mouillée. Je la caresse lentement puis pose mon doigt sur son clitoris, je fais quelque cercle pour l'exciter puis je rentre mes doigts en elle. Faisant de petits gestes de va et viens. Un éclaire passe dans mes yeux, je fais glisser Elena sur le côté puis lui lance un regard des plus pervers. Je fais descendre mes lèvres entre ses cuisse puis sans me ménager je fonce sur sa fente. Je continue mes gestes de va et viens puis ajoute ma langue. Elle titille le clitoris de la jeune femme puis descend jusqu'à son anus. Ma seconde main vint s'y placer puis je rentre doucement un doigt dedans.

Je suis surprise par la hardiesse dont fait preuve Emi. Elle joue avec mon clitoris quelques minutes, puis inverse nos positions, avant de venir avec sa langue. J'étouffe un gémissement de plaisir, le corps en feu. Tout en continuant à jouer avec mon bouton, elle introduit un doigt dans mon petit orifice anal. Mon coeur s'affole. Je me cambre légèrement, cherchant l'air désespérément. Mais c'est qu'elle va me faire jouir !

Je pousse alors un cri retentissant. Une rivière de cyprine s'écoule de ma fente, je le sens. J'ai un peu honte, j'espère que Emi apprécie d'avoir les mains pleines de mon liquide. Je reprend difficilement mon souffle. Un autre orgasme, plus modeste, me terrasse. Je me rejette en arrière, abasourdie. J'adresse un sourire à Emi. Cette partie de galipettes au bord de l'eau commençait sous les meilleurs auspices !

Je sens liquide couler sur mes mains, un sourire m'attache les lèvres. Je suce mes doigts un à un montrant ainsi à Elena que son liquide est délicieux. Peu après avoir fait ça, je m'arrache de ses cuisses puis grimpe sur elle. Ma tête arrive à sa poitrine, je prend un téton entre mes lèvres puis le mordille gentiment. Mes mains la caresse doucement tandis-que je titille sa pointe.

_ Tu aime ? Demandais-je.

Emi goûte ma cyprine. A mon grand soulagement, elle l'aspire avec gourmandise pour me faire comprendre que j'avais bon goût. Ensuite, elle remonte sur moi jusqu'à ma poitrine, titillant un de mes mamelons. L'effet est délicieux. Je ferme les yeux, me concentrant sur mon plaisir, quand Emi me demande :

_ Tu aime ?

" J'adore, Emi....continue je t'en prie, c'est trop bon... "

Avec joie, je sens Emi qui passe d'un sein à l'autre, mordillant, léchant, têtant...quel pied ! Je veux lui rendre la pareille, mais le plaisir me paralyse. Je ne peux que la laisser faire, jusqu'à ce que je puisse reprendre l'initiative.

Je continue à donner quelques petits coups de langue aux tétons d'Elena. Je me redressa lentement puis arriva devant Elena, je déposais un baiser sur ses lèvres puis posa mes mains sur son ventre. Mon corps était brûlant de plaisir. Je posa mes mains sur ses poignets pour la bloquer puis posa mes lèvres dans son coup, je mordillais sa peau, la baiser lentement, m'efforçant d'être génial. Doucement, je me laissa glisser sur le côté, entraînant Elena sur moi. Mes mains passèrent autour de sa nuque puis je posa mes lèvres sur les siennes, entamant un baiser fougueux. Nos langues commencèrent une danse endiablée, pleins de désir et de passion.

Je suis extatique. Après avoir joué avec ma poitrine, Emi m'embrasse sur la bouche, puis dans le cou. Le contact de ses lèvres sur ma peau provoque une sorte de décharge à chaque fois, m'entraînant dans des abysses de plaisir insoupçonnés. Tout à coup, elle se laisse glisser sur le côté et me permet de prendre le dessus. Les mains croisées sur ma nuque, elle me rapproche d'elle pour un nouveau et long baiser. Malgré l'orgasme que je viens d'avoir, je sens mes sens s'affoler encore une fois. Est-ce possible de ne pas désirer de façon permanente une partenaire comme Emi ?

Cela fait une éternité que je n'ai plus ressenti une telle excitation. Cela doit même remonter à mon enfance et à mes premiers jeux interdits avec mes copines de primaire, quand je dormais . Des jeux certes relativement innocents mais qui avaient le don de me mettre dans tous mes états à l'époque. Emi me permet de retrouver cette pure montée d'adrénaline délicieusement familière. Eperdue de désir je l'embrasse, me couche sur elle, frotte doucement ma fente contre la sienne avant de me remettre à jouer avec son clitoris, tout en faisant entrer mon pouce dans son anus et y imprimant un rythme de va-et-vient frénétique...