Endormie après une baignade coquine

L'eau... image de fantasme depuis bien longtemps. Anh avait eu bien envie de faire un tour à la piscine, mais y aller en plein jour, quand il y a plein de gens et surtout... avec un maillot n'avait rien d'intéressant ou d'excitant. C,est bien pour cela qu'elle s'y était rendue en pleine nuit.

Elle avait traversé la place avec son peignoir style kimono... seulement. Ses cheveux étaient comme d'habitude attaché hauts sur sa tête. Une fois devant l'eau, le peignoir n'avait pas fait long feu. Complètement nue, elle s'était jetée à l,eau et avait fait quelque longueur sentant avec plaisir l'eau glisser contre sa peau.

Après un moment, Anh était sortie de la piscine et ,au malheur des possible voyeur, avait remis son peignoir. Elle s'était étendue sur une chaise longue et avait tout simplement respiré en profitant du silence de la nuit. Ce qui n'était pas prévu, c'était qu'elle s'endorme. Sa peau était encore humide, le peignoir c'était déplacé menaçant d'exposé sa poitrine proéminente et sa jambe avait glissé offrant a un observateur de petit taille (ou accroupi) une vue coquine incomparable...

Maitre L faisait sa ronde habituelle à 2h du matin afin de s'assurer que tout était calme dans le pensionnat et aux abords immédiats.

Il adorait se promener seul la nuit, loin du tumulte des élèves. C'était sa récompense. La nature, les bruits de la nuit, le calme, les lumières incomparables

en passant près du bassin de la piscine il crus entendre des clapotis dans l'eau... Aucun élève n'ayant l'autorisation de s'y rendre seul sans autorisation il pensa d'abord à un animal tombé dans l'eau

Mais la piscine était protégée par une clôture.

Il s’approchât à pas de loup et découvrit une ou un nageur. Dans l'eau et avec la seule lumière de la nuit il ne pu le dire tout de suite?

Il observa assis dans les buissons cette personne qui nageais... un enseignant... pas de soucis.. un élève... il n'avait pas donné d'autorisation

Lorsqu'elle sorti de l'eau il compris qu'il avait affaire à Ahn, la jeune anglaise... elle ne s'était pas présentée a son bureau d'ailleurs... il feraient connaissance une autre fois... ce soir...

il ne bougeât pas préférant se délecter du spectacle de cette beauté nue qui sortais de l'eau et s'enroulais dans son peignoir.
Il s'attendait à ce qu'elle retourne dans sa chambre et il était placé sur son chemin. mais elle préféra s'allonger sur les transat

elle resta sans bouger de longues minutes... elle s'était endormie

il se leva et sorti de sa cachette pour se diriger vers elle...

arrivé a sa hauteur il resta un moment debout a l'observer. Son peignoir s'était entrouvert et laissait voir sa superbe poitrine...

il y posa une main douce

Le sommeil vous offre un millier d'images plus que plaisante pour votre imaginaire: les rêves. Il y a toute type de rêves qui, Anh le croyait. se reliait souvent a votre tempérament et surtout cotre humeur du jour. Or aujourd'hui, face à ce qu'elle venait de faire, Anh se sentait bien coquine et les images n'avaient pas tardé.

C,est drôle pourtant comme les rêves et la réalité se relie... Ainsi Anh avait-elle rêvé d'un voyeur qui, quelle coïncidence, sans qu'elle ne le sache, existait vraiment et l'avait observé depuis un moment. Mais ça, Anh ne pouvait en être au courant, puisqu'elle dormait.

Malgré tout tenons nous au courant des faits. Cet homme, un surveillant de l'école. Anh ne le connaissait pas. En effet, elle n'avait pas considéré comme important de se rendre au bureaux du personnels pour y rencontrer les différents employé de l'école. Ainsi, les habitants du pensionnat lui était toujours inconnu. Pourtant, il ne semblait pas se faire de souci a l'idée qu'il soit en train d'observer la nudité d'une élève. Il osa même poser sa main sur sa poitrine nue.

La caresse était douce, trop douce pour réveillée la jeun Anh qui dormait toujours paisiblement. Malgré tout, elle frémit sous le contact d'une peau chaude contre la sienne. De quoi alimenter encore un peu ses rêves. Le petit frisson qui l'avait parcouru, l'avait fait bouger, en fait se tourner un peu et, malgré elle, son peignoir ne faisait que remonter et découvrit lentement le bas de son corps.

la main du surveillant caressa doucement le galbe parfait du sein de la jeune Anh. Il oublia vite qu'elle n'était pas venue se présenter par correction à son bureau.
Il allait faire connaissance maintenant

il senti sa peau frémir sous sa caresse, et approcha le bout de ses doigts de son teton, mais sans le toucher

puis descendit sa main sur son ventre plat et vers son pubis, écartant ainsi les pans de son peignoir qui tombait tout seul.

le corps de la jeune fille lui apparu éclairé par la lune. Les reflets blancs accentés par les ombres dessinaient les collines de ses seins si parfait. Le surveillant se demanda qu'elle était sa taille de poitrine..

il descendit sa main sur sa cuisse droite, allant doucement pour savourer ce moment

La caresse était douce et lente sur son corps lourd de sommeil. Elle frémit lorsque le peignoir glissa et que le doux vent caressa son corps encore humide de l'eau de la piscine. Bien entendu, depuis qu'elle était sortie de la piscine, la majorité de l'eau avait coulée en travers les lattes de sa chaises longue, mais quelques gouttelettes s'était éternisée sur sa peau douce et avait été rafraîchie par la température de la nuit.

Encore une fois, ses rêves se joignirent à la réalité s'imaginant quelques caresses préliminaires d'un homme inconnu. Elle était loin de s'imaginer que c'était la réalité et si elle l'avait su s'aurait été encore plus excitant. Son corps frissonnait déjà de désir alors qu'elle n'était même pas consciente. Son corps qui était si accessible, quiconque aurait pu en faire ce qu'il voulait. C'était une soumission complète, bien qu'une manœuvre un peu trop brutale l'aurait probablement éveillée...


(Je suis désolée, j'ai pris du temps à répondre et je manque un peu d'inspiration...)

(désolé moi aussi, j'étais en déplacement professionnel)

le surveillant glissa sa main du pubis de la jeune fille vers sa fente lisse.
Elle parut écarter les cuisses, a moins que le peignoir glissant ne lui donna cette impression.
Il glissa son majeur le long de sa fente tout doucement. Elle était humide de l'eau de la piscine... mais le surveillant ne savait pas si cette humidité n'était liée qu'à cet élément