Délit de corruption [La Rebelle]

J'ai eu une sale journée. Je suis passablement énervé. Une migraine m'empoisonne la vie depuis ce matin. Mes collègues sont des abrutis finis. C'est la dernière heure de la journée, et j'ai envie d'en finir, d'aller au pub, et de me boire des pintes. Mais avant, je dois repasser dans ma salle de classe, récupérer quelques affaires.

Arrivé devant la porte, je vois que celle-ci est entrouverte et j'entends des voix qui en proviennent. Je jette un coup d'oeil. Surprise. Je vois mon amie la petite rebelle faire du gringue à un autre professeur. Elle est en train de lui caresser le torse, de jouer avec sa cravate. Et cette tête de noeud de collègue n'a pas l'air de savoir où se mettre, il marche carrément dans son jeu. Quel abruti. La voilà qui défait les boutons de son chemisier, maintenant.

C'en est trop, je n'aime pas son petit jeu d'insolente, je rentre dans ma salle et hurle :

_ Bordel mais qu'est-ce qui se passe ici ?!

Les journées se passent à coup sur très mal, comme d'habitude en même temps mais le seul cours où j'ai pas étais viré c'est en maths, le seul prof qui ne me déteste pas et donc il ne veut pas forcément me viré. Enfin ça lui arrive je vous assure, quand je lui prend trop la tête et qu'il est légèrement énervé il ne cherche pas midi à quatorze heures pour me virer et je me retrouve une nouvelle fois dans ce bureau des surveillants, j'aime mes journées je vous assure c'est palpitant.

A la fin de la journée, je vais voir mon prof de maths, j'aimerais qu'il me mette des bonnes notes et pour ça y a pas trente milles solutions j'ai envie de dire. Je lui fais du charme dans la salle, caressant son torse et jouant avec sa cravatte et je commence à déboutonner mon chemiser quand Mark rentre dans la salle. Roo, il fait chier lui il a cassé mon truc. Le prof quitte rapidement la salle tête baissé et moi je rattache mon chemisier. Je lui dis alors:

Ta tout cassé là, tu fais chier!

Comment est-ce qu'elle ose me parler ?! Elle est chez moi, elle est dans mon antre ! C'est mon repère, ici ! Je lui souris. Un sourire froid, bien sûr... Elle aussi me sourit, me nargue. Tu parles... Mon attitude change soudain. Je l'attrape par les cheveux, la tire jusqu'à ce qu'elle soit à genoux. Elle m'insulte encore ? Tant pis. Je la traîne jusqu'à mon armoire, par les cheveux. Elle crie, me tient le bras... Tant pis. J'ouvre mon armoire, la tenant fermement par l'autre main. J'attrape une paire de menottes.

_ Tu sais quoi ma petite ? T'as choisi le mauvais jour pour me casser les couilles. Tu veux être insolente ? Je vais te montrer comment je règle ça, moi ...

Il me sourit mais ce n'est pas un sourire guise de sympathie, bien au contraire alors je lui lance le même sourire pour le nargue. Il m'attrape par les cheveux me tire jusqu'à ce que je sois à genoux. Il me traine jusqu'à l'armoire par les cheveux. Il est malade ou quoi? Ca fait mal, je crie et lui tient le bras. Il ouvre l'armoire me tenant fermement et attrape une paire de menottes. D'un coup, je le sens pas si bien que ça ce plan. Je le regarde et lui dis alors en rigolant:

C'est toi qui m'a cassé les couilles là même si j'en ai pas...j'étais à deux doigts de récolter des bonnes notes...j'y peux rien si ton collègue n'a pas résister à mon charme soit pas jaloux y en aura pour tout le monde!

Elle me sourit encore. Elle m'énerve. Je la tire de nouveau par les cheveux, jusqu'à mon bureau.

_ Ne t'inquiètes pas, lui dis-je. Pour ça, je vais me servir tout seul.

Une fois au bureau, je lui tire le bras pour la remettre debout, et la plaque face contre le meuble. Avec les menottes, j'attache ses mains à une barre de fer que j'ai faite installer exprès pour ce type d'occasion. Je savais que j'en aurais besoin un jour ou l'autre. Voilà, dans cette position, elle devrait ne pas trop bouger. Sans rien dire de plus, je lui soulève sa jupe. Toujours ces habituels (et tout à fait sexy) strings ! Je pose ma main sur ses fesses et lui dit :

_ Alors ? Toujours aussi insolente ?

Je continue à lui sourire rien que pour l'énerve, il me tire de nouveau par les cheveux jusqu'à son bureau. Je le regarde et lui dis alors:

- Tu peux toujours courir, je te donnerais rien après avoir cassé mon coups!!!

Une fois devant le bureau, il me remet debout et me plaque face contre le bureau et m'attache les mains à une barre de fer. Je ne peux plus bouger, à part mes jambes mais je vais pas aller bien loin comme ça.. Il soulève ma jupe en voyant mes strings toujours présent et pose sa main sur mes fesses et me demande si je suis toujours insolente. S'il croit gagné avec moi, il a perdu d'avance je lui dis alors:

- Tu sais quoi Mark? Va te faire foutre et bien profond en plus de cela!!

Je reste calme. C'est déconcertant, quand on reste calme. Alors je ne m'énerve pas, je fais comme si de rien n'était. Je commence ensuite par tirer sur le string de la jeune insolente. Pas vers le bas, comme pour l'enlever. Non, je le tire dans tous les sens, comme pour l'arracher, et tant pis si ça lui cisaille la peau, la fente et le cul. Je tire dessus. Mais ces trucs sont solides, et voyant que je mettrais des heures à l'arracher, je prends tout simplement une paire de ciseaux et la fais passer sur l'entrecuisse. Je fais passer la lame froide sur ses lèvres... Puis COUIC. Le string part dans ma main. Je fais ensuite le tour du bureau, me mets face à elle. D'abord, je respire l'odeur du tissu. Odeurs intimes.

_ Et alors ma petite, on a mouillé sa culotte, aujourd'hui ?

Et sans ajouter quoi que ce soit de plus, j'enfonce le tissu dans sa bouche. Certes ça ne tient pas beaucoup de place, mais en mettant de l'adhésif par-dessus, peut-être que ça la fera taire un peu. Nous voilà un peu plus au calme. J'ouvre alors mon tiroir, et en sors une raquette de ping-pong. Oui ça peut paraître ridicule, mais ça peut aussi s'avérer très utile. Je me reposte devant cette petite insolente et lui dit, en la regardant droit dans les yeux :

_ Ma petite, d'abord je vais te corriger bien comme il faut. Et ensuite c'est moi qui vais te la mettre profonde ! Pigé ?

Et je retourne me poster derrière elle, où son cul m'est offert...

Il vient tirer sur mon string mais pas pour l'enlever mais le tirer dans tous les sens, ce n'est pas une sensation très agréable je vous assure. Mais pourtant, il continue à le faire et je sens un truc froid sur mes lèvres et je me demande bien ce que c'est. Je mord ma lèvre lorsque je ne sens plus mon string, la ficelle rien. Il vient faire le tour du bureau, je me rends compte qu'il a coupé mon string, ah l'idiot! Il respire l'odeur du tissu et se rend compte que j'ai mouillée. Je lui dis alors:

- Oui j'ai mouillée pour ton collègue, beau brun aux yeux marrons...c'est vraiment un beau goss ce mec je l'aurais un jour...rêve pas c'était pour toi!

Il enfonce le tissu dans ma bouche pour me faire taire en mettant de l'adhésif dessus, je vais le tuer. Il ouvre son tiroir et sort une raquette de ping pong, qu'est-ce qu'il va faire avec ça? Il me regarde avec sa raquette et je le regarde en bougeant ma tête mais je ne peux rien répondre en plus. Il vient se poser derrière moi et je bouge mes jambes, je ne suis pas du genre à être corrigée moi!

Elle trémousse du cul. Rien ne pourrait plus m'exciter. Je lui mets une claque sur les fesses pour la stopper, ce qui marche un moment très court.

_ Tu te fatigues pour rien, de toutes façons tu vas la recevoir, ta correction. Ici c'est moi qui décide...

Alors, tenant ses fesses d'une main pour qu'elle bouge le moins possible, je commence à la frapper avec la raquette. Un coup. Puis deux. Puis trois. Puis dix. Toujours aussi forts, et aussi réguliers. Je répartis les coups un peu de partout, si bien que rapidement, au bout d'une trentaine de coups, sa peau devient très rouge... Etant donné que c'est la première correction que je lui inflige, à celle-là, je m'arrête à cinquante coups de raquette. Ce qui est largement assez pour chauffer bien comme il faut son petit cul. Mais la punition n'est pas finie pour autant...

J'essaye de bouger pour qu'il arrête mais c'est peine perdu, avec mon string dans la bouche je ne peux même pas lui répondre. Je souris légèrement en l'entendant me dire que je vais la recevoir ma correction alors qu'il me mets une claque sur les fesses. Il tient mes fesses, et commence avec l'autre main à me frapper avec la raquette. Il ne s'arrête pas avant cinquante, si bien que la douleur est désagréable je vous assure, et il m'a donné des coups partout. Pourtant, cela m'excite plus qu'on ne pourrais penser. Alors qu'il arrêter je lève tellement mon pied pour le pousser que j'y donne sans faire exprès un coup dans son sexe, ce qui le fait repousser de quelques centimètres mais le coup a du lui faire mal. Oups, je crois que là il va me punir bien comme il faut, et pendant de longues heures en plus. Pourquoi j'ai fais ça? J'en ris légèrement si bien qu'il l'entend, je pose ma tête sur mes bras en rigolant.

Je n'en reviens pas. Je donne 50 coups de raquette à cette petite insolente, si bien que son cul est rouge, et elle fait encore sa rebelle. Son coup de pied me part directement dans les couilles. Je me retiens de pousser un grognement, mais cette traînée m'a fait mal !! Elle va la sentir passer, sa douleur !

J'attrape déjà deux cordes, et les utilise pour attacher ses pieds aux pieds de la table. Comme ça, elle ne pourra plus se rebeller. Puis je retourne chercher quelques instruments dans mon armoire. A commencer par deux pinces, que j'attache à chacun de ses tétons. Sa poitrine étant compressée contre le bureau, j'imagine que les morceaux de métal s'enfoncent bien dans sa chair. Puis j'attrape deux autres ustenciles.
Le premier est un sextoy. Assez fin mais très grand. J'écarte les fesses de cette réticente, et trouve l'entrée de son sexe. Je fais pénétrer le sextoy en elle, sur une bonne longueur. Mais il en reste encore beaucoup dehors. Alors je le tords, et pose la deuxième extrémité sur son anus. Et je pousse. Je rencontre une résistance, mais pousse encore. Avec difficulté, j'arrive à faire rentrer le sextoy à l'intérieur. Et la voilà avec un gode qui la pénètre par les deux côtés...
Mon deuxième instrument est un fouet. Un bon manche en caoutchouc, coiffé de dizaines de lanières en cuir. Je lève alors ma main, et commence à l'abattre un peu de partout, sur son cul, son dos, ses cuisses...

Il me donne cinquante coup de raquette, la douleur est là mais cela m'a tellement excitée que je m'en fiches. Mon coup de pied par sur son membre, je rigole légèrement en sentant son membre sous mon pied. Il attrape deux cordes et m'attaches les pieds à la table. Il retourne dans son armoire et attache deux pinces sur mes tétons. Je lâche un râle même s'il ne l'entend pas avec mon string dans ma bouche. Il attrape ensuite un sextoy, en écartant mes fesses et le fait pénétrer en moi assez profondément ce qui me fait gémir de plaisir. Il fait rentrer l'autre extrémité dans mon anus alors que rien n'était rentré encore ce qui me fait bouger la tête en gémissant même s'il n'entend que très peu. Il commence à me frapper avec un fouet sur le dos, le cul et les cuisses et je sens de la mouille coulée sur mes cuisses, je suis pas loin de jouir tellement l'excitation est présente. Avec ce sextoy dans mon anus et mon intimité je bouge légèrement pour me faire à moi seule du bien et je crie de plaisir en sentant mon corps tremblé de plaisir.

La vue est assez plaisante. Ses fesses ouvertes. Le sextoy qui rejoint son anus à son sexe. Les marques du fouet sur sa peau... Au bout de quelques coups, je m'arrête un instant, prenant une pause pour mieux recommencer après. Mais là, je me rends compte que son bassin bouge tout seul, même sans les coups. Je m'approche d'elle, pose deux doigts à l'entrée de son sexe. La petite garce est trempée ! La correction l'excite, on dirait ! Hors de question qu'elle jouisse comme ça.
Je retire immédiatement le gode, d'un seul coup, laissant ses deux orifices ouverts pendant un instant. Une bien belle image, ça aussi. Son sexe est ruisselant. Ca m'énerve. Même attachée, elle continue à être insolente malgré elle. Je lâche le fouet, et me sers alors du gode pour la frapper. Pareil, sur le cul, les cuisses... Le gode est plus lourd, et laisse des traces assez grosses sur sa peau. Mais la frapper m'emmerde royalement. Et surtout la scène commence à m'exciter.
Je retourne alors vers elle et défait son bâillon. Mais elle à peine le temps de respirer, ou de me sortir un sourire, que j'enfonce déjà mon sexe au plus profond de sa gorge. Et commence à lui baiser la bouche...

Alors qu'il continue à me frapper avec le fouet, je bouge doucement mon bassin, je vais pas tarder à jouir mais je veux pas qu'il le voit. Pourtant, lorsque je sens deux doigts se poser à l'entrée de mon sexe, il va sentir que je suis mouillée et pas qu'un peu. Il retire immédiatement le gode, me laissant un goût de frustration alors que mes deux orifices doivent être bien ouvert avec le gode que j'avais. Il me frappe alors avec le gode pour me frappe mais vu que c'est plus lourd ça marque plus rapidement. Il retourne vers moi et m'enlève le string de ma bouche mais me laisse rien dire qu'il enfonce son sexe dans ma bouche, il serait excité lui aussi. Je souris légèrement et alors qu'il fait des vas et viens dans ma bouche, je titille de ma langue son sexe et m'attarde sur son gland alors que je sens que cette fellation lui plait. Je continue ses vas et viens avec ma bouche pour enfoncer son membre profondément et lui faire une gorge profonde.

Je rentre mon sexe au fond de sa gorge, et déjà je sens sa langue qui me titiller. Si elle aime tant ca, sucer, elle va etre servie. Je commence à aller et venir, le plus profondément possible. Je touche le fond de sa gorge à chaque fois. Elle a mes couilles sur son menton, et son nez enfoui dans mon pubis. Quand je ressors mon sexe, des filets de bave épais relient mon membre à ses lèvres. Ca m'excite, c'est un beau spectacle. Alors je continue, en l'attrapant par les cheveux pour qu'elle ne puisse plus bouger la tête. Sa bouche est un orifice comme un autre, que je baise violemment. Je crache sur son visage, pour la salir, l'humilier. Et je rentre de nouveau au fond de sa gorge, et me maintiens à l'intérieur un instant, l'empêchant de respirer...

Il enfonce son sexe profondément jusqu'au fond de ma gorge et je titille son sexe rapidement avec ma bouche. Il commence à faire des vas et viens dans ma bouche et le fait rapidement. Il touche le fond de ma gorge et à chaque sortis de son sexe, des filets de baves s'en suivait. Il attrape mes cheveux pour que je ne bouge pas la tête et il me crache sur le visage pour me salir et m'humilier. Il rentre de nouveau au fond de ma gorge et se maintient à l'intérieur, m'empêchant de respirer. Il y reste de longues secondes avant d'en ressortir et je tousse, il est fou ou quoi j'arrivais plus à respire. Il recommences des va et vient alors que je lêche son gland avec envie en sentant qu'il est pas loin de jouir. Je souris et lui dis:

Allez jouis...

Elle profite que je retire mon membre de sa bouche pour parler, l'insolente. Et pour m'ordonner de jouir ! Quel culot ! Je la regarde avec un sourire, et l'attrape fermement par les cheveux.

_ Tu te prends pour qui, dis ? A me donner des ordres ? Ici c'est moi qui commande, tu te souviens ? Et je jouirai où je veux, quand je veux, et autant de fois que je veux.

Et aussitôt dit, j'enfonce de nouveau mon sexe au fond de sa gorge. J'y reste coincé jusqu'à ce que je l'entende tousser, pour lui laisser un peu d'air. Et je me remets à la baiser par la bouche. A côté de ça, j'attrape le fouet, que j'avais laissé traîner à côté. La position est parfaite, je vois son cul en face de moi, et ses cuisses sont écartées... Je lève le fouet et tout en allant et venant dans sa bouche, je me mets à la fouetter. Les lanières se faufilent de partout. Ses fesses, ses cuisses. Je ne le vois pas, mais je n'ai aucun doute sur le fait que le cuir doit frapper les lèvres de son sexe également.
Je la fouette ainsi pendant de longue minute, mais cependant, elle n'avait pas tout à fait tort, et l'envie de jouir commence à être très présente. Je continue alors jusqu'à sentir la sève monter. A ce moment-là, je l'attrape de nouveau par les cheveux, et m'enfonce le plus possible en elle. De nouveau elle se retrouve avec le nez écrasé dans mon pubis. Et je lâche mon sperme, directement au fond de sa gorge. Je la maintiens ainsi tout le long de mon éjaculation.
En ressortant, j'essuie mon sexe, recouvert d'un mélange épais de salive et de sperme, sur son visage... Je la regarde.

_ Ne crois pas que ca veut dire que j'en ai fini avec toi.

Je ne pouvais plus parler depuis un moment alors il faut bien que j'en profite, non? et je lui dis de jouir, ce qui me fait légèrement sourire et lui aussi d'ailleurs. Il m'attrape par les cheveux et me tient fermement, je lui dis alors:

Je te donne des ordres si l'envie de t'en donner est là, c'est tout! Je sais que c'est toi qui commande, je ne doute pas sur ta capacité de dominer, bien au contraire!

Il enfonce de nouveau son sexe au fond de ma gorge et y reste de longues secondes jusqu'à ce que je tousse et qu'il se retire. Il reprend ses vas et viens dans ma bouche et viens attraper le fouet. En continuant ses vas et vient, il me fouette et il arrive même à toucher les lèvres de mon intimité, c'est pas du juste ça. Il me fouette durant des minutes interminable, j'aime pas le fouet! Il m'attrape par les cheveux et enfonce son sexe le plus possible en moi. Il lâche son sperme au fond de ma gorge et reste ainsi jusqu'à ce qu'il éjacule tout. Il ressort et s'essuie sur mon visage. Je souris en le regardant et lui dis alors:

Et si moi je veux que ce soit finit!

J'essaye de me débattre en bougeant et rigole en le regardant dans les yeux.

Je me baisse à sa hauteur, lui prends le menton entre les doigts, et lui dis avec un sourire :

_ Mais regarde-toi bon sang. Tu es attachée, tu as les cuisses écartées, tu m'es complètement offerte. Tu crois que je vais m'arrêter juste parce que tu en as envie ?

Je retrouve le bout de string qui traîne par là, et lui enfonce de nouveau dans la bouche, suivi de scotch. Je vais ensuite me mettre derrière elle, et commence à la caresser, gentiment. De partout. Du plat de ses pieds jusqu'à ses cuisses, ses fesses et son dos. Je redescends vers son entrejambe. Je titille sa fente. La garce mouille encore terriblement. Je la titille un peu, trouve son clitoris. Je l'excite juste un peu plus... avant de la lâcher. Je trouve alors une capote dans un de mes tiroirs, et l'enfile. Puis je grimpe sur le bureau, à genoux, de part et d'autre de son corps.

_ Et puis tu vois, lui dis-je en massant mon sexe pour retrouver une bonne forme, il y a encore un des trous que je n'ai pas encore visité par moi-même.

Et aussitôt dit, je pose mon gland sur son anus, et d'un coup sec, m'enfonce entièrement en elle, sans me préoccuper de la douleur que cela pourrait lui procurer.

Il se baisse à ma hauteur me prennant le menton entre ses doigts et le regarde en mordant légèrement ma lèvre:

- Je sais que ça ne t'arrêtera pas, mais je pouvais toujours essayer non?

Il reprend le string et l'enfonce de nouveau dans ma bouche avec le scotch avant de repartir derrière moi. Il commence à me caresse doucement en passant des pieds et remonte à mes cuisses mes fesses et mon dos. Il revient finalement à mon entrejambe et titille ma fente, je mouille comme je n'ai jamais mouillée je crois. Il vient titille mon clitoris et se recule me demandant ce qu'il fait. Il me parle d'un trou qu'il n'a pas visité par lui même, et alors que je ne peux rien répondre il pose son gland sur mon anus et s'enfonce dedans d'un coup. Je crie de douleur au départ, ça ne m'est jamais arrivée mais rapidement le plaisir prend le dessus et je gémis de plaisir tellement c'est bon. Il tient mes hanches et fait des vas et viens rapide dans mon anus alors qu'il est serré.

Je l'entends qui pousse un cri de douleur quand je lui pénètre l'anus. Un cri étouffé par le bâillon. Apparemment, c'est la première fois qu'on la sodomise, et ça m'excite, ça me rend encore plus dur entre ses fesses. Alors j'attrape ses hanches et commence à aller et venir de plus en plus vite. Mais au fur et à mesure que je la pénètre, ses râles ne sont plus des cris de douleurs, mais de plaisir ! Cette fille est complètement folle ! Je pourrais la faire jouir en lui enfonçant un oursin dans le vagin ! Mais tant pis, je vais continuer de la défoncer quand même. Je donne de grand coups entre ses fesses, j'en profite pour lui mettre des fessées en même temps...
Et puis finalement je m'arrête. Je ne vais quand même pas la laisser jouir alors que je lui dépucèle le cul brutalement ! Je me retire donc, et change d'orifice. Son vagin n'est pas aussi étroit, et vu comme elle mouille je n'ai aucun mal à rentrer. Mais en plus de la pénétration infernale que je vais lui infliger, j'entre trois doigts dans son anus encore un peu ouvert. Et je commence à bouger rapidement à l'intérieur. Je veux lui déchirer le petit trou, et je vais y arriver...

Je pousse un cri de douleur lorsqu'il me pénètre l'anus, c'est la première fois et ça fait toujours mal au début. Il attrape mes hanches et commence des vas et viens de plus en plus rapide. Mes râles deviennent finalement des cris de plaisir parce que la douleur est partit. Il donne des coups de butoirs entre mes fesses en me donnant des fessées avant de tout arrêter d'un coup. Il se retire et vient pénétrer mon vagin tout mouillé sans aucun mal du coup. Il entre trois doigts dans mon anus peu ouvert et les bouge rapidement, la douleur revient plus vite que prévu alors que je bouge ma tête, ma punition est dure!! J'essaye de bouger sans succès et me résigne à devoir subir cette punition, alors que ses doigts commence doucement à me déchirer l'anus, m'arrachant des cris de douleur et des grimaces.

Ca y est, la voilà qui se remet à grogner de douleur. C'est vrai que je n'y vais pas de main morte, mes trois doigts la défoncent, et mon sexe est toujours très actif en elle, également...

_ Aaaah c'est pas une simple petite sodomie, là, hein ?!

Et je me mets à rigoler. Et la défonce encore plus. Avec ma main de libre, je continue à lui mettre des claques sur les fesses et les cuisses. La punition doit être totale ! Mais j'ai envie de plus. Cette petite effrontée une punition à sa hauteur, et je veux lui en faire voir de toutes les couleurs. Je veux la martyriser. Alors je crache sur son anus. Un gros paquet de salive. Et délicatement, j'enfonce un quatrième doigt. Elle qui était vierge de ce côté-là y'a moins d'une heure, la voilà avec un orifice bien élargi. Ma main s'active entre ses fesses, mon sexe lui n'a pas perdu en cadence. Entre deux fessées, j'attrape ses cheveux et les tire en arrière pour qu'elle se cambre.

_ Et maintenant ? On fait toujours la maligne ?

Je crie à nouveau de douleur, ses trois doigts s'enfoncent profondément dans mon anus et ça fait pas que du bien. Alors qu'il continue à enfoncer son sexe dans mon vagin profondément il dit en rigolant que ce n'est pas une simple petite sodomie. Avec son autre il me mets des claques alors qu'il me crache sur mon anus et enfonce un quatrième doigt. Il enfonce ses doigts tellement profondément que mon anus est déchiré cette fois c'est sur, il attrape mes cheveux et me fait me cambre en me demandant si je fais toujours la maligne. J'hoche négativement la tête, je ferais tout ce qu'il me dit mais je veux plus être punie, c'est finit! Le truc c'est qu'il va pouvoir obtenir tout ce qu'il veut de moi, et ça c'est pas bien. La douleur est intense à cet instant précis, ça y est je suis punie et comme il le faut là!!

Elle ne rigole plus, là ! Tant mieux... Ca lui apprendra peut-être. Je crache encore sur son anus. Je rentrerais bien mon cinquième doigt... Et puis je me ravise. Tenter le fist-fucking anal pour une première sodo, c'est peut-être un peu hard, et je risque de vraiment la déchirer. Je me vois mal l'emmener à l'hosto, avec encore son bâillon dans la bouche. Alors je retire ma main de son cul. Celui-ci reste ouvert un moment, et de manière impressionnante. J'ai peur qu'elle ait du mal à s'assoir pendant quelques temps. Je me retire également de son vagin pour aller chercher deux ou trois petites choses dans mon armoire. J'en reviens avec un plug anal, que je lui mets dans le petit trou. Il est bien plus petit que mes doigts, et n'a aucun mal à rentrer. Mais il restera bien en place. Et puis j'ai ramené un vibromasseur, que je place juste sous son ventre. Sur son clitoris, en vérité. Je l'actionne au niveau le plus élevé. Puis je retourne devant elle, et lui défait une nouvelle fois le bâillon. Je lui présente mon sexe et lui dit :

_ Tu vas me sucer encore un peu. J'aime bien, quand tu me suces. Et tu n'as pas intérêt à jouir avant de m'avoir fait jouir moi. Sinon je t'enfonce mon poing dans le cul, tu as compris ?