La dernière aux douches (pv Estelle)

19h. Je fais mon inspection générale des dortoirs, comme tous les jours. Non pas que ce soit mon boulot, mais ça m'éclate. A l’approche des douches du dortoir des filles -mes préférées!- je vois tout un groupe d'étudiantes sortir en serviettes de bain. Ce doit être les dernières à prendre leur douche, le repas étant dans 15 minutes. Pourtant, j'entends l'eau couler dans l'une des cabines. Je m'approche, mes chaussures claquent contre le carrelage. Arrivé face à la porte, je frappe fort.

_ Jeune fille, il est interdit de s'éterniser dans la douche!

La voix m'était inconnue. En général je me souvenais de quasiment tous les étudiants... ok, surtout les étudiantes. Mais celle-ci ne me disait rien. Curieux, j'ai préféré attendre qu'elle ouvre la porte. Assis sur la lavabo, face à la porte, j'attendais. Tapant du pied par terre pour qu'elle sache qu'elle était attendue. Et cinq minutes plus tard, la porte s'est enfin ouverte. J'étais prêt à lui faire la morale...

Je découvris une belle jeune fille à la sortie de la douche. Si ça n'avait pas été le cas, je pense que je lui aurais seulement jeté un regard méprisant. Mais j'avais envie de découvrir cette nouvelle pensionnaire. Aussi je décidai de jouer le jeu et de faire le prof sévère.
Je m'approchai d'elle, et à quelques centimètres de son visage, lui dit :

_ Qu'est-ce que tu foutais dans cette douche pour que ça prenne autant de temps ?!

Puis je me reculai, et la regardai de haut en bas. Elle était jolie. Je lui lançai alors, pour la provoquer :

_ Des trucs cochons ?

J'étais un peu déçu par sa réponse. La voir se changer ici dans mon bureau ne m'aurait pas dérangé. Cependant, je savais que je trouverais la bonne occasion pour faire tomber sa serviette.
J'ai tourné autour d'elle pendant un petit moment, sans rien lui dire. Puis j'ai posé mon appareil photo ; j'avais pris assez de photos d'elle. Je me suis alors mis derrière elle et j'ai posé mes mains sur ses épaules. Les caressant un peu, je lui ai dis :

_ Bien, puisque tu ne veux pas me dire ce que tu fais ici, je vais te dire qui je suis moi ! Je suis ton nouveau prof d'arts plastiques. Mais tu verras que je ferai partie de ton quotidien même en dehors des cours. Et j'aime me faire respecter. Alors j'espère que tu es une fille obéissante.

Je continuais de la caresser...

_ Tu es obéissante?

_ Tu penses ? lui ai-je demandé. Penser, ça ne me suffit pas. Je veux que tu en sois sûre.

J'ai gardé mes mains sur ses épaules un moment, caressant sa peau, les faisant même glisser légèrement sur son torse. Sans aller trop loin cependant. Puis je me suis arrêté, et je suis retourné à mon bureau. Je l'ai regardée avec mon regard le plus froid, le plus noir, et je lui ai dis :

_ J'aimerais te croire, Estelle. Mais je ne sais pas... Il faudrait que tu me prouves ton obéissance.

Je l'ai regardée un moment sans rien dire. Et elle ne disait rien non plus. Alors j'ai fini par dire :

_ Une petite idée ?

Bon. Ce n'était pas gagné. Loin de là. Pourtant, mon idée était bien simple : je voulais me mettre cette fille dans la poche. Je sentais en elle quelque chose d'attirant, quelque chose qui transpirait le désir et la pulsion sexuelle. Et lorsqu'il m'arrivait de sentir ce genre de choses, je devenais comme une bête sauvage ayant trouvé sa proie. Il me la fallait à tout prix.
Mais avec Estelle, ça semblait compliqué. Alors j'ai décidé de passer à la manière forte. J'ai ouvert mon tiroir, où se trouvaient divers objets. Puis, soudainement, j'ai presque sauté sur le bureau pour attraper les mains de la jeune fille, et les ai attirées vers moi. Rapidement, j'ai attrapé une paire de menottes dans le tiroir, et j'ai attaché Estelle à une barre métallique qui se trouvait sur le bureau. Elle était désormais immobilisée, à plat ventre.
Je me suis levé et me suis approché d'elle en disant :

_ Alors ? Vas-tu être obéissante ?

_ Bien, lui ai-je dis. Je préfère ça.

Une fois à côté d'elle, je me suis accroupi pour être à sa hauteur. J'ai commencé par lui caresser les cheveux. Je la regardais en insistant et en souriant. Je devais avoir l'air d'un fou, d'un pervers. Et peut-être bien que c'était ce que je suis. Après m'être attardé sur ses cheveux et son visage, je suis redescendu un peu. Son cou, ses épaules. J'ai continué à descendre mon doigt sur sa peau, le long de son dos. En attrapant et défaisant sa serviette en même temps...

Je continuais lentement à dévoiler son corps quand elle a commencé à se plaindre. Cela m'a mis hors de moi, et tirant d'un coup sur la serviette, je l'ai mise entièrement nue, et je n'ai pas attendu : ma main est partie toute seule, lui infligeant une violente fessée.

_ Tu ne vas pas te mettre à te plaindre toutes les deux minutes, hein ! Je croyais que tu serais obéissante. Alors maintenant tu te calmes, ou je ferai en sorte que je ne t'entende plus !

Je n'ai pas répondu à son "excusez-moi". Maintenant que ma main était sur ses fesses, j'ai continué à la caresser ici. En fait, j'alternais entre caresses, fessées, et malaxation. Ses fesses étaient un véritable plaisir sous les doigts....

_ Je ne sais pas pourquoi je ne suis pas passé à la manière forte plus tôt. Tu as un corps de rêve...

J'ai continué mes caresses, et celles-ci étaient de plus en plus intrusives... De plus en plus je me glissais entre ses cuisses.

_ Non, lui ai-je dis. C'est moi qui te remercie. Ou plutôt qui vais te remercier.

Et aussitôt j'ai glissé ma main entre ses cuisses. Ca y est. J'atteignais enfin son entre-cuisse que je convoitais depuis déjà une heure. Je n'ai pas attendu vingt ans avant de commencer à tripoter sa fente, allant de son anus à son clitoris. Je sentais déjà une certaine chaleur, ainsi qu'une humidité évidente. Je lui ai alors demandé :

_ Dis moi, Estelle... Est-ce que tu t'es mal rincée lors de ta douche, ou bien aimes-tu ce que je te fais ?