La dernière aux douches (pv Estelle)

_ Et bien j'apprécie également. Et je vais faire en sorte que tu apprécies encore plus !

J'ai alors poussé mon doigt en elle. Son sexe se lubrifiait tellement que je n'ai eu aucun problème à enfoncer mon majeur à l'intérieur, profondément. Mais très vite, j'ai décidé d'en ajouter un. Celui-ci est rentré légèrement plus difficilement, mais je me suis très vite retrouvé à la doigter sauvagement de mes deux doigts. Avec mon pouce, je trouvais son clitoris et me suis mis à la masturber...

Je sentais qu'Estelle était en train de se laisser aller complètement. J'en ai alors profité pour accélérer. Mes doigts allaient et venaient à une vitesse folle dans son sexe trempé, et mon pouce triturait violemment son petit bouton. Mon autre main s'est rapidement emparé de l'un de ses seins, et j'ai commencé à jouer avec ses tétons, les tordant ou les pinçant légèrement.

Apparemment, Estelle aimait de plus en plus ça. Non seulement elle était trempée, mais en plus elle me laissait manœuvrer comme je le voulais. J'ai pris ça comme une invitation, et j'y suis allé encore plus fort. Un nouveau doigt rentra en elle. Je ne savais pas quel était sa capacité maximum, mais je m'en foutais. Quant à ses seins, j'ai continué à m'amuser avec ses tétons. Je les tirais, les pinçait... Je lui ai même mis une ou deux claques sur les seins. De si jolis seins...
Je la regardais, et je voyais qu'elle prenait de plus en plus de plaisir. Je lui ai alors dis, sans pour autant ralentir mes doigts en elle :

_ Je te préviens, tu as interdiction de jouir sans mon accord !

Elle me provoquait, maintenant. Tant pis pour elle. Après encore deux ou trois aller-retours dans sa chatte, j'ai retiré brusquement mes doigts. Son sexe était un trou béant et dégoulinant de mouille.

_ Sinon tant pis pour toi, lui ai-je dis en me relevant.

J'ai commencé à défaire mon pantalon, puis mon caleçon. Je bandais déjà très fort. Je me suis rapproché d'elle, et j'ai posé mon sexe sur son visage. Frottant mon gland contre sa bouche, je lui ai dis :

_ Par contre ne m'en veux pas, mais ta belle bouche me donne des idées...

Estelle prenait apparemment plaisir à frotter ses lèvres contre mon gland, mais sans pour autant ouvrir sa bouche d'un centimètre.

_ On dirait que tu aimes chauffer les hommes, lui ai-je dis.

Je me suis amusé de ce jeu pendant un court instant, mais en voulant plus, j'ai décidé d'attraper soudainement ses cheveux, et de tirer assez fort dessus. Sous la surprise, Estelle a ouvert la bouche, et j'ai saisi cette occasion de m'engouffrer à l'intérieur. Une fois mon gland sur sa langue, et ses cheveux toujours dans ma main, je n'ai qu'à pousser, pousser le plus profond possible...

Je n'avais plus aucun doute là-dessus : Estelle était joueuse. J'aimais ça ! J'avais très envie de jouer avec elle, moi-aussi. Alors tandis qu'elle me regardait, de son regard le plus transperçant, j'ai poussé mon sexe le plus profondément possible dans sa gorge. Jusqu'à ce que mes testicules se retrouvent bien posées contre son menton. Je suis resté ainsi un moment. J'ai poussé le vice jusqu'à tirer ses cheveux vers moi pour enfoncer son nez dans mon pubis, et pincer son nez de l'autre. Privée de respiration le temps de quelques secondes.
Je l'ai ensuite relâchée, et ai commencé à aller et venir violemment dans sa bouche, comme s'il s'agissait de sa chatte.

Je la baisais, maintenant. Littéralement. Mon sexe allait et venait dans sa gorge à une vitesse folle. Parfois, je sortais de sa bouche, un filet de bave épaisse reliait mon gland à ses lèvres, et je prenais un malin plaisir à étaler la mixture poisseuse sur ses jolies joues. Puis je retournais en elle.
Mon petit manège a duré six ou sept minutes, durant laquelle je me suis entièrement défoulé sur Estelle. Mais après ça, l'envie de jouir est venue. Je n'avais pas envie de me retenir. Je me suis contenté de lui dire :

_ Vous aimez le sperme, jeune fille ?

Lorsque Estelle a fait "oui" de la tête, j'ai eu un petit sourire. Si elle avait dit "non", cependant, mon sourire aurait été le même. J'aurais pris autant de plaisir.
J'ai attrapé Estelle par les cheveux et ai enfoncé mon sexe le plus profondément en elle. Je voulais être au plus profond de sa gorge pour éjaculer. Quand le moment est arrivé, j'ai commencé à me contracter, écrasant son visage contre mon bas-ventre. Le sperme est parti en saccades, directement dans son estomac. Ce n'est que lorsque j'ai terminé que je me suis retiré. Mon sexe était poisseux, plein de sperme et de salive mélangés.
Je me suis alors contenté de la regarder en souriant, sadiquement, tout en nettoyant mon sexe contre ses lèvres.

Je ne m'y attendais pas vraiment, mais Estelle a sorti sa langue pour nettoyer les dernières gouttes dégoulinant de mon sexe. Je l'ai donc laissée faire en la regardant.
Une fois sa tâche terminée, j'ai tiré Estelle par le bras pour la relever. Son visage était délicieusement dégueulasse, souillé par la bave et le sperme. Elle m'excitait encore plus comme ça.
Je me suis ensuite reculé d'un pas, et lui ai dit :

_ Tu as l'air d'être une très bonne élève. Très dévouée. Tu mérites récompense. Assieds toi sur la table, cuisses ouvertes...

Je me suis approché des cuisses ouvertes d'Estelle. Sa fente entrouverte était luisante de mouille, et celle-ci perlait sur mon bureau.

_ Attention à ne pas salir le mobilier, mademoiselle, ou je serai contrait à vous faire nettoyer...

Je lui ai fait un sourire, et je me suis occupé de ce qui m'intéressait. J'ai posé un doigt sur son sexe, et l'ai fait allé de haut en bas, de l'entrée de sa chatte jusqu'à son clitoris. J'allais doucement au début, puis j'ai accéléré, poussant un peu plus à l'intérieur. Au fur et à mesure, son sexe se liquéfiait. Jusqu'à ce qu'il soit chaud à point.
Alors je me suis mis à genoux, et écartant ses cuisses le plus possible, j'ai posé ma bouche sur sa fente.