A la recherche d'un modèle [libre]

Le cours est enfin terminé ! A l'heure de sortir de la salle, je m'étire longuement après avoir somnoler pendant près d'une heure. Je me lève tranquillement et sort dans le couloir. Comme d'ordinaire, le regard des hommes se tourne vers ma poitrine à mon passage, mais je n'y fais plus attention désormais. En passant, je fais une pause au tableau d'affichage pour voir les nouveautés. Je remarque une affiche, cherchant un modèle pour des photos. Je n'ai jamais voulu vraiment faire ça, mais le nom de mon prof d'arts plastiques, Mark, me saute aux yeux. Un sourire se dessine sur mon visage. Depuis qu'il m'a fait devenir celle que je suis aujourd'hui, je lui lance des regards brûlants durant les cours ou lorsque je le croise dans les couloirs. Avec hâte, je vais poser mes affaires dans ma chambre et revient aussi vite que possible. Devant sa porte, je reprends mon souffle et me regarde. J'enlève les premiers boutons jusqu'à ce que l'on entraperçoive le début de ma poitrine. Enfin satisfaite, j'ouvre la porte sans frapper, la referme derrière moi et m'y adosse.

_Bonjour Monsieur. Votre aide de la dernière fois m'a beaucoup aidé pour mon contrôle, et je me suis dit que je pourrais vous aider à mon tour en vous servant de modèle pour vos photos...

Je lui lance un sourire aguicheur tout en me mordillant la lèvre inférieure. A tâtons, je ferme la porte à clé juste derrière mon dos.

C'est la fin de journée, et comme à mon habitude, je reste un peu plus longtemps dans ma salle. J'aime y être au calme. Les derniers étudiants viennent de partir, et lorsque j'entends la porte qui s'ouvre, je me dis que l'un d'eux a oublié quelque chose. Mais lorsque je relève la tête, je vois qu'il s'agit de Leïla, et un sourire se colle à mon visage. Ses boutons sont défait jusqu'à la naissance de ses seins, et son regard est tout sauf innocent.

_Bonjour Monsieur. Votre aide de la dernière fois m'a beaucoup aidé pour
mon contrôle, et je me suis dit que je pourrais vous aider à mon tour
en vous servant de modèle pour vos photos...

Ca alors. J'avais complètement oublié que j'avais posé cette affiche. Mais je ne prends pas le temps de penser à ça, et tandis qu'elle ferme la porte à clé, je sors mon appareil.

_ Oui. Oui bien sûr, viens t'assoir sur mon bureau, lui dis-je.

_ Oui. Oui bien sûr, viens t'assoir sur mon bureau.

Ravie, je m'avance et viens délicatement poser mes fesses sur son bureau. Ma jupe courte cache à peine le haut de mes cuisses. Je croise les jambes et m'installe juste sous ses yeux, pendant qu'il sort son appareil photo.

_Qu'est-ce que je dois faire... ? Dis-je d'une voix douce. Je n'ai jamais servi de modèle, alors je crois qu'il faudra me donner quelques astuces...

Leïla s'assoit sur le bureau, tandis que je me mets face à elle, dégainant mon appareil. Je prends plusieurs photos d'elle comme ça. Des photos simples.

_ Qu'est-ce que je dois faire... ? dit-elle d'une voix douce. Je n'ai jamais
servi de modèle, alors je crois qu'il faudra me donner quelques
astuces...

Je la regarde et souris. Puis, je pose une main sur sa cuisses pour qu'elle les décroise.

_ C'est assez simple, lui dis-je, mais si tu veux m'aider, il faudra que tu fasses exactement ce que je te dis de faire. D'accord ? Commence par te mettre en sous-vêtements.

Encore une fois, je prends plusieurs photos de mon nouveau modèle…

Avec un grand sourire, il pose une de ses mains sur ma cuisse et tire doucement dessus pour faire décroiser mes jambes.

_ C'est assez simple, mais si tu veux m'aider, il faudra que tu fasses exactement ce que je te dis de faire. D'accord ? Commence par te mettre en sous-vêtements.
_ D'accord.

Délicatement, je déboutonne les boutons de mon chemisier un à un pendant qu'il me prend en photo sur toutes les coutures. Lentement, je le fais glisser le long de mes bras jusqu'à ce qu'il tombe sur le bureau. Je décide de me mettre debout sur ce dernier pour faire lentement glisser ma jupe jusqu'à mes chevilles. Je vire le tas de vêtement à l'autre bout de la pièce d'un simple coup de pied.

Leïla s'exécute, et je la photographie pendant qu'elle se déshabille. J'immortalise chacun de ses mouvements. Les boutons de sa chemise qui se défont les uns après les autres. Son soutien-gorge bien rempli qui apparait devant mon objectif. Puis ma jeune modèle, debout sur la table, faisant tomber sa jupe. Et enfin les affaires qui volent dans la pièce.

Je prends un instant pour admirer ce que j'ai devant les yeux. Une très belle jeune fille, avec seulement ses sous-vêtements en coton blanc d'écolière sur la peau. Je la shoote encore un peu comme ça, puis lui dis :

_ J'aimerais que tu t'asseyes sur la table et que tu écartes les cuisses. Tu vois cette culotte ? Je veux qu'elle soit trempée. Débrouille toi comme tu veux, mais je la veux mouillée…

Ses yeux se baladent quelques instants sur mon corps.

_ J'aimerais que tu t'asseyes sur la table et que tu écartes les cuisses. Tu vois cette culotte ? Je veux qu'elle soit trempée. Débrouille toi comme tu veux, mais je la veux mouillée…

Comme je veux... Je me met en position assise sur le bord de la table. Je pose mes pieds sur deux chaises bien écartées l'une de l'autre, de sorte que mes jambes soit correctement relevées pour accès total à mon intimité, mais aussi bien écartées. Je place deux doigts sur le haut de ma culotte et commence à l'effleurer de bas en haut. Pendant que je commence mes caresses intimes d'une main, l'autre vient attraper une mèche de cheveux et commence à jouer avec. Mon regard est fixé sur l'objectif, un regard séducteur.

Leïla s'assoit face à moi sur la table, les jambes bien écartées, les pieds posés sur deux chaises. J'ai une vue imprenable sur son entrejambe. Sa petite culotte moule sa fente à la perfection. Je la photographie sous tous les angles. Sa main vient se poser dessus, et avec deux doigts, elle commence à caresser son sexe à travers sa culotte. Ça y est, je commence déjà à bander. Mais je me dois de rester concentrer. Pour le moment.

Je continue de la photographier pendant qu'elle se touche, et triture ses cheveux. Elle joue le jeu à fond, ayant l'air le plus séducteur possible. Je m'arrête un moment pour caresser sa cuisse. Tout en la regardant droit dans les yeux.

_ Je veux que tu penses à ton plus gros fantasme. Cette culotte doit être trempée comme jamais elle ne l'a été, d'accord ?

Il stoppe ses clichés quelques secondes pour venir me caresser la cuisse et me donner d'autres directives. Et d'après la bosse que je vois dans son pantalon, ce que je fais ne le laisse pas indifférent...

_ Je veux que tu penses à ton plus gros fantasme. Cette culotte doit être trempée comme jamais elle ne l'a été, d'accord ?

Je ferme les yeux et réfléchit, sans cesser mon activité. Mon plus gros fantasme... Je n'en ai pas vraiment, mais il y a un rêve que j'ai fait une nuit... A mon réveil, je me souviens avoir trempée ma culotte comme jamais ! Je visualise Mark, nu. Hmmm... J'accélère le mouvement de ma main. Il me plaque dos contre un mur et vient m'embrasser sauvagement, ses mains s'occupant violemment de mes seins sensibles. Et sans aucune douceur, elles se posent sous mes fesses pour me porter et m’empaler sur son sexe dressé au maximum. Je pose maintenant ma main entière et augmente encore plus le rythme, ma respiration se fait saccader. Je n'aime pas forcément la violence, mais ce rêve était si... Je n'ai pas de mots pour décrire ça. Il me prend fort contre le mur. Quant à moi, j'entoure sa taille de mes jambes et ondule le bassin pour l'accompagner. Je griffe à moitié son dos sous l'extase, ma bouche se balade partout sur son visage... Je sens sous ma main que mon imagination commence à faire son effet...

Je la regarde qui ferme les yeux, tout en se caressant. Ses gestes s'intensifient. Je ne sais pas à quoi elle pense, mais ça a l'air d'être bon… Tentant d'être "pro", je reprends mon appareil et la photographie encore. Je me concentre sur son visage, ses yeux fermés et sa bouche entrouverte. Puis sa main qui caresse sa culotte.

Doucement, je vois une tache apparaitre sur le coton blanc. Son fantasme a l'air de fonctionner. Ses doigts continuent de caresser sa fente à travers le tissu, et je photographie la tâche s'élargir au fur et à mesure. Puis, n'y tenant plus, je pose un doigt dessus. Leïla ouvre les yeux d'un coup. Je mets mon doigt à la bouche, goûtant à sa mouille, et la photographie de nouveau.

_ Ne t'arrêtes surtout pas !

Sentir quelque chose autre que ma main me fait sortir de ma transe. Mark vient de poser un doigt sur ma culotte pour me goûter. Ce geste me fait frémir d'excitation. Il s'éloigne de nouveau de moi pour me re-photographier, m'incitant à continuer. Sauf que cette fois, je ne ferme pas les yeux mais le regarde, lui. Je pousse de forts soupirs, imaginant qu'il revienne vers moi pour enlever ma main et la remplacer. Mes souvenirs remontent à mon premier orgasme. Ma main commence à rougir par les frottements intensifs contre ma culotte trempée. Mais je ne m'arrête pas, et continue à faire monter l'adrénaline.

Leïla a maintenant les yeux plongés dans les miens, et dans mon objectif. Elle se masturbe comme une furie, sa culotte devient de plus en plus trempée. C'est exactement ce que je voulais, et ça m'excite terriblement. Je la photographie, les joues rouges, la main en action… excitée elle aussi. Je passe derrière elle, et dégrafe son soutien-gorge. Sa poitrine se libère, j'en profite pour photographier ses tétons très durs.

J'arrête un moment de la prendre en photo, et caresse son sein. Je joue avec son téton. A l'oreille, je lui dis :

_ Continue comme ça, tu es parfaite. Continue jusqu'à ce que tu n'en puisses plus!

Je le vois passer derrière moi, dégrafer mon soutien-gorge. Je me débrouille pour l'envoyer avec les autres vêtements sans arrêter ma besogne. L'excitation a fait durcir mes tétons, ce que Mark ne manque pas de photographier avec gourmandise. D'ailleurs, en parlant de gourmandise, il ne peut pas s'empêcher de venir caresser mon sein et de jouer avec mon téton.

_ Continue comme ça, tu es parfaite. Continue jusqu'à ce que tu n'en puisses plus!

Sa main augmente mon désir. Je remonte ma main jusqu'à la bordure de ma culotte et y entre ma main. Je reprend un rythme soutenu, les premiers gémissements viennent. Ma main jouant avec mes cheveux passe sur mon sein libre que je malaxe. A mes caresses rapides, j'ajoute mon pouce sur mon clitoris et joue avec. Les gémissements sortent toutes les cinq secondes de mes lèvres entrouvertes. Ma langue passe dessus dans un geste lubrique.

Alors que je joue avec son sein, je vois la main de Leïla remonter, puis disparaitre dans sa culotte. Mon sexe est dur dans mon pantalon j'ai vraiment du mal à me concentrer. Je me replace face à elle, et photographie sa main en train de s'agiter dans sa culotte trempée. Ma jeune modèle gémit de plus en plus, elle se lèche les doigts de gourmandise.

Je n'arrive plus à me focaliser sur autre chose que sur sa main et sa culotte mouillée. N'en pouvant rapidement plus, je lâche mon appareil, et vient me placer entre ses cuisses. J'attrape alors l'élastique de sa culotte, et la baisse le long de ses jambes.

_ Enlevons ça, tu veux ? Je veux voir tes doigts sur ta fente quand tu te feras jouir.

Mes gémissements deviennent des cris. Mon corps tremble. Mon ventre est parcouru par de minuscules spasmes. Je vois mon photographe se tortiller sur place. Visiblement, il apprécie beaucoup ce que je fais. Il lâche prise, pose son appareil photo et se place entre mes cuisses.

_ Enlevons ça, tu veux ? Je veux voir tes doigts sur ta fente quand tu te feras jouir.

Joignant le geste à la parole, il fait glisser ma culotte tâchée le long de mes jambes et me l'enlève. J'écarte les cuisses à leur maximum, accélérant les rythmes de mes mains sur moi. Mes doigts sont recouverts de ma mouille. Mes tremblements deviennent violents, de même que mes spasmes. Comment j'arrive à être proche de l'orgasme avec seulement ma main, je n'en sais rien. Toujours est-il que ça marche.

J'enlève la culotte de Leïla et la garde dans ma main, caressant cette tâche d'humidité qui m'est si chère. Je ne quitte pas Leïla des yeux. Je la regarder se masturber comme une folle, ses doigts recouverts de mouille allant de sa fente à son clitoris. Son corps tremble de plus en plus. Mon sexe à moi en fait de même. Je me concentre et me mets à photographier ce sexe entièrement épilé, et entièrement trempé, dégoulinant, rouge d'excitation. Ces doigts qui vont et viennent à l'intérieur. L'expression du visage de Leïla. Je photographie tout son plaisir. Jusqu'à ce qu'elle explose dans un orgasme ravageur…

Ça y est. Je n'en peux plus. Je cri de jouissance, par un plaisir solitaire. Je m'allonge sur la table, mes jambes toujours écartées, mes mains toujours positionnées sur mon sein et mon sexe. Mes spasmes diminuent peu à peu. Je suis complètement haletante, le bras un peu engourdi par mes mouvements rapides. Pendant ce temps, le photographe continue son activité, prenant tout de moi. Je suis prête à parier qu'il regardera longuement ses prises en se caressant le sexe. Je me calme peu à peu, et attend la suite des évènements.

Ma jeune modèle se met à jouir comme une folle et s'allonge sur la table, épuisée. Alors qu'elle tremble encore, je fais des tonnes de photos d'elle. De son sexe dégoulinant, plein de spasmes. Mon sexe est dur comme pas possible.

N'en pouvant plus, je pose mon appareil photo et m'approche d'elle. Puis je pose deux doigts sur sa fente encore sensible, et je joue lentement avec, enfonçant mes doigts à l'intérieur ou caressant son clitoris.

_ Tu as été parfaite, lui dis-je. Je crois que j'ai les clichés qu'il me faut. Mais j'ai bien peur d'être trop excité pour te laisser partir comme ça…

Je lui souris, et me penche sur elle pour l'embrasser, mon sexe, encore dans mon pantalon, venant se frotter contre le sien.

Se penchant sur moi, Mark vient m'embrasser avec un sourire. Avec deux doigts, il vient taquiner mon sexe devenu extrêmement sensible qui, à son contact, recommence à mouiller légèrement. Je soupire.

_ Tu as été parfaite. Je crois que j'ai les clichés qu'il me faut. Mais j'ai bien peur d'être trop excité pour te laisser partir comme ça…

Il enlève sa main pour venir frotter sa bosse entre mes jambes. Un sourire naît alors sur mon visage. Je l'embrasse avec sensualité, mes mains caressant son dos. Mes pieds ont quittés les chaises pour se poser sur le bureau, élevant donc mes cuisses. Entre deux baiser, je lui dit :

_ Donnez-moi ma récompense et peut-être que je resterais...

Je commence à me frotter contre Leïla, faisant monter mon excitation. La jeune fille sourit et m'enlace, caresse mon dos.

_ Donnez moi ma récompense et peut-être que je resterai… me dit-elle.

A mon tour de lui sourire. Sans la lâcher, je glisse entre mes cuisses, en profitant pour caresser son sexe mouillé au passage, puis défait ma ceinture, et baisse pantalon et caleçon. J'en profite pour retirer ma chemise. Je nous veux nus tous les deux.

Mon sexe est dur, et vibre déjà contre sa fente. Le prenant dans ma main, je pose mon gland déjà bien lubrifié à l'entrée de son sexe, la titille et la chauffe un petit peu.

_ Tu acceptes le paiement en nature ? lui dis-je avec un sourire.

Et agrippant son épaule d'une main, je m'enfonce progressivement en elle.

Avec un sourire, il glisse une de ses mains vers son sexe, en caressant le mien au passage. Je l'entends défaire sa ceinture et enlever ses vêtements, l'un après l'autre. Il enlève ensuite sa chemise, et se retrouve totalement nu. Puis, il la redescend pour attraper son sexe et faire frotter son gland contre mon sexe. Je soupire.

_ Tu acceptes le paiement en nature ?

Une main agrippée sur mon épaule, il s'enfonce peu à peu en moi, jusqu'à atteindre le fond. Mes lèvres s'entrouvrent de nouveau, laissant échapper un long gémissement. Mes mains sur son dos descendent sur ses fesses que je caresse avec avidité.

_Oui, dis-je dans un souffle. J'aime ça... C'est terriblement bon...

Je m'enfonce progressivement dans le vagin déjà bien humide de Leïla, jusqu'à atteindre le fond. Le plaisir se lit déjà sur ses lèvres, et je me sens également parfaitement bien ! Leïla attrape mes fesses, m'incitant à aller plus profondément encore. Je pose alors mes mains sur ses cuisses, les fais glisser jusqu'à ses fesses. D'un geste rapide, je relève et écarte ses jambes. D'un autre geste rapide, je m'enfonce encore plus profondément. Mes couilles buttent contre ses fesses.

_ Si tu aimes tant ça, comptes sur moi pour recommencer encore et encore, lui dis-je en la regardant droit dans les yeux.

Je commence alors un lent va-et-vient, que j'accélère progressivement.

A l'aide de ses mains, il me relève le bassin pour s'enfoncer au maximum, m'arrachant un cri. Je sens ses couilles contre mes fesses.

_ Si tu aimes tant ça, comptes sur moi pour recommencer encore et encore.

Il commence alors un lent va et viens dans mon sexe. Après quelques lents aller et venu, il augmente sa vitesse. J'ondule le bassin pour l'accompagner. J'émets plusieurs râles de plaisirs successifs avant de lui lécher avec sensualité ses lèvres, sa mâchoire, son lobe d'oreille et son cou, auquel je fais un suçon. Ma tâche accomplie, je laisse toujours mon visage dans son cou, et murmure entre chaque soupir.

_Oui... Oui... Oui...

Je me mets à la pénétrer de plus en plus vite. Leïla ondule du bassin pour suivre le rythme, ce qui m'incite moi aussi à accélérer. Elle se met alors à gémir de plaisir, et je finis par grogner moi aussi, en rythme avec elle. Nous sommes des animaux assoiffés de sexe !

Leïla s'accroche à mon cou, m'embrasse, suce mon cou. Je la tiens maintenant par les fesses, la décollant presque de la table, et mes coups de reins se font de plus en plus violents. Je grogne de plus en plus en malaxant son cul.

Puis, la regardant droit dans les yeux, je lui dis :

_ Touche toi en meme temps. Tu m'excites quand tu te touches.