Une drôle de rencontre. [PV Arnold Steele]

La nuit était fraîche, mais tout de même douce. Je rentrais d'une soirée et pour ne pas me faire prendre, j'avais décidé de passer par le parc. Un des pensionnaires était dehors, le nouveau je crois. J'arrivais près du mur où se trouvait ma fenêtre puis agrippa la gouttière, je grimpa aisément à celle-ci puis remonta dans ma chambre. J'avais laissé ma fenêtre ouverte à cette occasion. J'enleva mes vêtements mise à part mon boxer et mon soutien-gorge. Je saisis mon paquet de cigarette, en pris une et l'alluma, je saisis ma guitare à la volée puis alla m'asseoir sur le rebord de ma fenêtre. Je commença avec un air relativement doux, puis plus les minutes passèrent plus le rythme s'accéléra. J'appuya ma tête contre le rebord froid puis ferma les yeux, laissant mon esprit vagabondait avec mes notes de musique.

Une nouvelle petite balade nocturne pour moi...les abords du pensionnat était calme. Le ciel était clair, les étoiles scintillaient comme des joyaux. Il n'y avait pas un bruit, personne aux environs...sauf une petite silhouette qui regagnait discrètement sa chambre en remontant par la gouttière. C'était une jeune demoiselle qui avait fait le mur, comme on dit. Rien d'étonnant : c'était une pratique courante parmi les pensionnaires. Au bout de quelques minutes, je la revis, assise sur le rebord de sa fenêtre, clope au bec, et guitare à la main...en sous-vêtements.

Je pris cela comme un signe. Je rentrais à l'intérieur de l'établissement, et me dirigeais silencieusement vers le couloir des filles. Très vite, des notes de guitare me parvinrent aux oreilles, une délicieuse mélodie. Elle était douée, la petite fugueuse ! je m'approchais de la source de la musique pour identifier la porte de la chambre de la demoiselle. Ceci fait, je toquais à sa porte.

Je continue de jouer pendant quelques instants puis j'entends que quelqu'un toque à ma porte. Je sursaute légèrement, écrase ma cigarette puis pose délicatement ma guitare sur mon lit. J'attrape une chemise qui m'arrive à mi-cuisses et la porte. J'arrive à la porte puis tourne la clef dans la serrure afin de l'ouvrir. J'appuie sur la poignée puis constate qu'un jeune homme est là, devant moi, le poing toujours en l'air. Il est visiblement plus grand que moi, je lève ma tête puis plante mon regard dans le sien. Il reste toujours le poing en l'air. Je rigole doucement puis lui adresse un léger sourire.

_ Uhm ? Je peux t'aider ? Le questionnais-je.

_ Uhm ? Je peux t'aider ?

Eh ben ! Elle était rapide ! Je me sens un peu stupide au moment ou elle m'ouvre, avec mon poing toujours en l'air et ma mine ahurie. Je la vois étouffer un rire puis sourire.

" Bonsoir ! Eh bien en fait je passais devant le couloir des filles et j'ai entendu de la musique....et je voulais voir qui jouait aussi bien. "

Je me rappelle l'avoir vue à la fenêtre en sous-vêtements. Elle portait à présent une chemise sur elle et ses jolies formes. Maintenant qu'elle était face à moi, je pouvais la détailler parfaitement. Et je suis ébahi par l'imposante poitrine que la chemise avait du mal à cacher. C'était bizarre de voir une fille si menue avec un pareil bonnet. Autrement, avec ses cheveux et ses yeux noirs, elle était vraiment mignonne.

" Heu...j'aimerais bien qu'on papote tous les deux... si ça ne te dérange pas, bien sûr...je peux entrer ? "

J'écoutais le petit discours du jeune homme qui soit disant passant n'était pas du tout vilain, bien au contraire d'ailleurs. Mes yeux le détaillèrent dans les moindres recoins de son corps. Il était grand, visiblement musclé. Ses yeux étaient captivants, marron avec un reflet brillant. Ses cheveux étaient nuancés de noir et de gris. Je me décala de la porte puis lui fit signe de rentrer.

_ Je t'en pris dis-je simplement.

J'attendis qu'il rentre pour fermer la porte derrière lui et la refermer. Je le regarda dans les yeux.

_ Mieux vaut fermer, une entrée soudaine est vite arrivée dis-je en roulant des yeux.

Je me dirigea vers mon armoire et l'ouvrit. Ce n'était pas une armoire commune, dedans se trouvait des huiles de massage, quelques objets sexuels allant de la douceur au versions hard. Il y avait également un petit frigo. Je l'ouvris puis en sortis une bouteille de coca. J'attrapais deux gobelets en plastique puis les remplit de coca. J'en tendis un au jeune homme puis pris un pour moi. Je me posa sur mon lit puis te fit signe de venir en le tapotant.

_ Moi c'est Emi, et toi ?

La musicienne m'invite à entrer. En guise de remerciement, je lui adresse un sourire. Elle referme derrière moi ( excellente initiative ) et se dirige vers son armoire. Dans la dite armoire il y avait un mini frigo, plus divers objets....très spéciaux. Elle me sert un gobelet de coca et m'invite à m'asseoir près d'elle sur son lit. J'obtempère très volontiers.

_ Moi c'est Emi, et toi ?

Je bois une petite gorgée de coca avant de lui répondre.

" Enchanté Emi, moi c'est Arnold. "

Un silence passa. Je poursuivis.

" Désolé de débarquer comme cela à l'improviste...mais j'ai vraiment été happé en t'entendant jouer et...je voulais savoir qui jouait aussi bien "

Je pataugeais un peu. J'étais en train de justifier mon désir en passant par un argument musical. Je me trouvais pitoyable.
Je dissimulais ma gêne en finissant mon gobelet.

Je sourie à ses propos.

_ Je joue oui, bien je sais pas dis-je en rigolant.

Le jeune homme avait un regarde tout gêné et des rougeurs s'incrustaient au niveau de ses joues. Je ne sais pas pourquoi, mais un fou rire me prend. Voyant à nouveau son regard gêné, je m'arrête, mais garde tout de même un sourire.

_ Pardon dis-je gênée à mon tour.

Je lui souris à nouveau puis me lève comme montée sur un ressort. D'un air charmeur et félin je le regarde dans les yeux.

_ Il parait que je suis douée avec mes lèvres.

Je passe ma langue sur mes lèvres puis mord ma lèvre inférieure.

_ Je joue oui, bien je sais pas !

Elle partit d'un petit rire adorable. Je me doutais bien que j'y étais pour quelque chose, avec ma maladresse et ma timidité soudaine.
Emi se lève de son lit, prenant une pose séductrice, et me fixe du regard.

_ Il parait que je suis douée avec mes lèvres.

On en venait aux choses sérieuses. Je lui souris, puis répondit :

" Ah oui ? Je demande à voir..."

Mon sourire s'élargit. J'avais déjà chaud. Quand elle bougeait, la chemise qu'elle avait passée sur ses sous-vêtements laissait entrevoir de très belles choses. Mon bas-ventre s'enflammait déjà quand j'imaginais la suite des évènements...

Je passa mes mains sur les boutons de ma chemise et très lentement je les défis, un à un. Une fois que plus rien ne retenait ma chemise, je la fit glisser de mes épaules, elle tomba à terre avec la souplesse d'une plume. Je sourie doucement puis regrimpa sur le lit. Je me mis alors à quatre pattes au-dessus d'Arnold. Ma tête arriva près de la sienne, mes lèvres effleurèrent les siennes. Je lui sourit doucement puis posa mes lèvres sur sa mâchoire, puis elles descendirent. D'abord sur son cou, où je mordilla légèrement sa peau, mes lèvres descendirent encore, tandis-que mes mains défaisaient ses boutons de chemise. Mes lèvres embrassèrent son épaule, son torse, son ventre puis j'arriva à son pantalon. Je le regarda dans les yeux puis défit la bouche de ceinture, et la braguette du jeune homme Je fis descendre son caleçon, du moins au nécessaire puis je vis son sexe se dresser.

_ Je prend ça comme un compliment dis-je avec un sourire.

Je constate avec délice que Emi est plus que douée. Déjà, la façon dont elle se débarrasse de sa chemise veut tout dire. Au moment ou elle me rejoint sur son lit, provoquant un petit grincement de son sommier, mon sexe se dresse de lui-même, bien avant que ses lèvres ne commencent à parcourir ma peau. Elle défait ensuite ma chemise et baisse mon pantalon avec une incroyable douceur. Mon membre se dresse à l'air libre, veines saillantes.

_ Je prend ça comme un compliment ....

" C'en est un justement..." répondis-je.

Je libérais entièrement mon sexe, le pointant négligemment en direction de la bouche de Emi. Je le caresse quelques instants, le temps de le présenter sous son meilleur jour.
J'avais de plus en plus chaud. Le désir me consumait, et j'avais déjà hâte de voir Emi rebondir sur mon membre dressé.

Je glisse mes lèvres sur son gland, je le suce gentiment puis le lèche avec tendresse. Plus les minutes passent, plus ma bouche descend, au bout d'un moment, ses bourses touchent mon menton. Je continue mes vas et viens qui deviennent de plus en plus rapide. Parfois ma gorge se serre sur son gland pour ainsi le masser. Mes mains se baladent sur son torse pour le caresser doucement.

_ Tu aimes demandais-je avec un regard de gamine.

Ma poitrine frottait le matelas entre ses jambes et le matelas grinçait.

Emi commence à me sucer. Et c'est juste divin. Je suis même incapable de comprendre comment elle s'y prend pour me permettre d'éprouver autant de plaisir. C'est bien simple : on ne m'a jamais sucé comme cela. Je dois me retenir pour ne pas jouir tout de suite.

_ Tu aimes ?

Je fais l'effort de la regarder en face. A ce moment là, elle a vraiment un regard de femme-enfant très excitant. Je ne suis pas loin de devenir fou. Pour en rajouter, Emi prend un malin plaisir à faire grincer son matelas dès que possible. Je crois qu'elle a compris que cela me stimulait.

" Oh Emi ! " dis-je d'une voix rauque. " C'est fabuleux ce que tu me fais...."

Au comble de l'excitation, je lui empoigne les seins après avoir défait son soutif. Je les palpe, les pétris...ils sont énormes, c'est vraiment satisfaisant.
Je n'en peux plus. Je jouis une première fois, en partie dans sa gorge et en partie sur sa poitrine.

Je sens sa sève couler dans ma gorge et sur mes seins. J'avale lentement le reste du liquide puis saisie mes seins en mains et colle ma bouche sur les parties que je peux atteindre. Je me remet au-dessus de lui, puis pose mes lèvres sur les siennes. Je sourie doucement puis me fais rouler sur le côté, l'entraînant ainsi sur moi. Ma poitrine colle son torse et le matelas grince au moindre de nos gestes, visiblement il aime ça. Je lui sourie encore puis poussa un soupir d'aise, à mis chemin entre un gémissement et un soufflement.

Emi me fait soudain basculer sur le côté avec elle. Je me retrouve au dessus d'elle, mon torse écrasant ses seins. Je frotte mon torse sur sa poitrine, me relève, lui malaxe encore les seins, avant de m'avancer et d'emprisonner mon membre entre eux. C'était presque obligé de faire une branlette espagnole avec de pareils attributs. La sensation, quoi qu'il en soit, est fabuleuse, et bientôt ma virilité retrouve de la vigueur. J'ai terriblement envie d'elle. Je veux la posséder de toutes les manières possibles.

Je redescends, histoire de pratiquer un petit cunni. Je lui retire sa minuscule culotte et lave avec ma langue sa fentine rose. J'écarte délicatement les lèvres de son sexe, le lubrifie abondamment, puis je joue avec son clitoris, très tendrement. Quand le mélange de cyprine et de salive eut bien lubrifié le tout, je pénétrais Emi, tout en douceur, avant d'amorcer une série de va-et-viens en elle.

Je n'ai aucunement le temps de réagir qu'Arnold prend les choses en mains et ce n'est pas pour me déplaire. Il vient se placer entre mes jambes afin de me faire un rapide, mais néanmoins excellent cunni. Mon corps se tant doucement et rejette rapidement un flot de cyprine, lubrifiant ainsi ma fente. Le jeune homme se lève doucement puis me pénètre lentement avant de faire quelques vas et viens en moi. Plus le temps avance, plus mon plaisir grimpe.Mes yeux sont fermés, mes mains sont agrippées aux draps, les ressorts grincent énormément. Ma bouche est entrouverte et quelques gémissements se font entendent. Je reprends un peu mes esprits et le refait rouler sur le côté. Je me retrouve empalée sur lui, ainsi je fais monter et descendre mon bassin. Mes mains sont posées sur son torse musclé que je caresse avec avidité. Mes yeux sont toujours fermés et mes lèvres sont maintenant pincées. Le plaisir prend sa dernière route avant de me faire grimper au septième ciel.

Après je ne sais combien de minutes, ( le temps n'a d'ailleurs plus aucune importance ) Emi me fait basculer à nouveau, se retrouvant sur moi. Elle prend tout son temps,ne voulant rien précipiter, et je lui en étais profondément reconnaissante. Moi aussi je voulais que ce moment dure le plus longtemps possible.
Le lit grince toujours pas mal, alors que Emi bouge à peine. J'ose à peine imaginer ce qu'il en sera lors de la phase active de nos ébats ! Tout cela m'excite comme jamais auparavant, mon coeur bat avec puissance contre mes côtes. Je vis le meilleur moment de ma jeune existence.

J'échange un coup d'oeil avec Emi. Je comprend qu'elle est sur le point de mettre le paquet et de se déchaîner. Mon bas-ventre se met brûler comme l'enfer.

" Vas-y Emi je suis prêt, donne tout ce que tu as ! "

Arnold prenait visiblement son pied, moi aussi d'ailleurs. Mes levées de bassin furent rapidement accélérés et décuplés. Le plaisir grimpait en moi comme une flèche, mon thermomètre corporel allait tout simplement exploser. Mon corps était brûlant de passion ardente et mon coeur battait à vive allure. Je m'appuyais sur son torse musclé puis continuais mes mouvements. Parfois lentement ,mais le plus souvent folliculaires le compteur. Je ferma mes yeux puis ma bouche s'entrouvrit quelque peu. Des gémissements parvinrent à sortir. Mes gémissements devenaient de plus en plus fort et l'orgasme n'était réellement pas loin. Arnold avait l'air d'être au septième ciel, tant mieux. Je sourie gentiment puis accéléra une dernière fois le mouvement, dans cette ultime action, le matelas grinça fortement. Le plaisir était arrivé au terminus et j'explosais littéralement. Mes gémissements étaient brusque et fort. Le bassin d'Arnold était trempé de cyprine et mon corps était en ébullition. Je me calma peut à peut puis je m'écroulais sur le torse d'Arnold m'appuyant contre lui pour calmer les derniers assauts du plaisir qui me consumait.

Emi ne faisait pas semblant quand elle faisait l'amour. Quand à moi, c'est simple, je prenais un pied monstrueux. D'habitude c'était plutôt moi qui dominait, mais cette fois, étrangement, j'étais content que ce soit elle qui dirige les opérations. Je n'avais même pas besoin de parler, à la limite. Elle faisait spontanément tout ce qui me plaisait au lit. Le rêve !

Pendant qu'elle rebondissait sur mon membre, je lui titillais les mamelons, lui palpais les seins sans retenue. Cela augmentait son plaisir, et surtout le mien. Nous étions tous deux au bord de l'extase, au bord d'un véritable précipice de jouissance. Vers la fin, j'avais un peu peur que le lit de ma partenaire cède sous nos assauts. Peu après, Emi explosa d'un orgasme ravageur en criant, masquant mon propre feulement rauque. J'avais de la cyprine partout mais je m'en fichais royalement.

Emi vint se blottir contre moi pour reprendre son souffle. Je la câlinais, l'embrassait, la remerciait.

" Tu es une partenaire merveilleuse, ma chérie. " lui dis-je dans un souffle. " Prends ton temps, repose-toi un peu. "

Je lui caressais les cheveux et l'embrassait sur le front.

Je sourie quand au compliment et à l'invitation de mon partenaire de jeu. Je le regarda puis lui adressa un second sourire ravageur.

_ Merci à toi dis-je. Merci beaucoup.

J'avais dis cela sur un ton d'extase complètement inédit. Je me fis rouler sur le côté puis regarda la fenêtre ouverte. J'explosais de rire .

_ On a dû réveiller tout l'internat raillais-je.

Je le regarda doucement puis me releva dans un bon. Je me dirigea vers la bouteille de coca puis la lui lança.

_ Désaltère toi dis-je. Tu dois avoir soif.

Je partis dans ma salle de bain.

_ Merci à toi. Merci beaucoup.

Je note le plaisir dans la voix de ma camarade quand elle prononce ses paroles. Je lui ai donné pas mal de plaisir on dirait, et j'en étais content. Après un énième baiser, Emi descendit du lit et s'esclaffa :

_ On a dû réveiller tout l'internat !

Mon rire se joint au sien. Je n'ose même pas passer le tête par la fenêtre pour vérifier, mais elle doit avoir raison. Elle me passe la bouteille de coca en suggérant que j'avais sans doute soif. C'est à ce moment là que je m'aperçois à quel point ma bouche et ma gorge sont sèches. Je bois sans me gêner une bonne goulée de coca. L'effet est immédiat : mes idées sont beaucoup plus claires tout à coup. La fatigue disparaît aussitôt.
Emi partie dans sa salle de bain, j'attends un peu avant de prendre congé. D'une part parce que ce n'est pas poli de partir comme un voleur, de l'autre parce que si ça se trouve elle veut continuer encore un peu...oui je sais, l'espoir fait vivre. Donc j'attends.

J'entends Arnold rire, cela me fais sourire. Je prends des vêtements propres et les enfiles. C'est juste un t-shirt large et un simple boxer mais ça fera l'affaire. Je reviens dans ma chambre et le trouve allongé sur le lit. Je m'étire en prenant mon temps. Levant les bras, j'en profite pour lui montrer mes courbes. Je me cambre doucement puis fini par mettre ma poitrine en avant. Je lui souris gentiment puis je me posa à côté de lui. Mes bras sont appuyés contre ses cuisses. Je le regarde longuement pour le détailler d'encore plus près puis je plante mon regard dans le sien.

_ Alors ? Tu te plais ici ? Dis-je pour entamer la conversation.

Finalement, si je dois attendre un peu, autant attendre confortablement. Je m'allonge sur le lit dévasté par nos ébats et patiente avant de retrouver ma douce amie. Quand elle revient, vêtue d'un grand tee-shirt et d'un simple boxer, elle s'étire nonchalamment, histoire de me faire à nouveau admirer son corps sublime. Elle vient ensuite me rejoindre sur le lit, me regarde de ses grands yeux bruns magnifiques et me murmure :

_ Alors ? Tu te plais ici ?

" Ici, dans le pensionnat ou ici dans ta chambre ? Si tu parles du pensionnat ma réponse est ouais...mais si tu parles de ta chambre alors là, je dis un grand OUI ! "

Je caresse sa joue pendant que je parle. Mon Dieu que cette fille est belle...j'ai beaucoup de mal à résister à la prendre violemment, là tout de suite...Mais je préfère faire preuve de douceur, parce qu'user de la force, ce n'était pas du tout dans mes habitudes, je détestais ça, même par passion...
J'embrasse Emi, délicatement d'abord, puis avec fougue ensuite. Je passe une main sous son boxer et commence à la caresser sa fente avec deux doigts....ça y est, je bande à nouveau. Je frotte son sexe avec plus de vigueur. La chaleur m'envahit à nouveau...

Arnold veut remètre ça .. Et ce n'est point pour me déplaire. Je sourie doucement puis approfondis le baiser. Il commence à me caresser et tout de suite mon plaisir commence à grimper. Je m'allonge et le fait glisser sur moi, lui montrant ainsi que je veux qu'il prenne la situation en main. Chacun son tour dirais-je. Mon corps tremble toujours et encore. Décidément ce gars est doué pour les caresses. Il accélère ses caresses, moi je souffle de plaisir. Ma poitrine se gonfle et se dégonfle, se cognant à son torse. Je passe mes bras au dessus de ma tête puis m'agrippe lentement au draps.

Emi accepte, manifestement avec joie, de poursuivre nos jeux coquins. Pour ce deuxième acte, elle semble me laisser le contrôle des opérations. Je retrouve le rôle de dominant. Mon coeur bat comme un forcené, mon appétit se rouvre, mon sexe durcit à nouveau. La voir ainsi s'offrir à moi me rend dingue.
Je retire doucement son boxer, afin d'avoir libre accès à sa fente. Je la caresse encore, puis je l'embrasse avec passion. Petit à petit, ma langue force l'entrée de ses lèvres intimes, et elle agit d'elle même à l'intérieur, léchant avec frénésie, titillant le clitoris d'Emi, pendant que mes mains se faufilent sous son tee-shirt pour lui empoigner les seins.

La cyprine se remet à couler avec abondance au bout de quelques minutes. Sans autre cérémonie, je pénètre ma camarade, et je donne de longs coups de reins, pour permettre à Emi de savourer l'entièreté de mon membre en elle.
J'accélère la cadence puis, au moment ou la chaleur atteint son pic, je me retire et retourne Emi sur le ventre sans ménagement. Là, je révèle ce que j'ai en tête :

" Dis-moi Emi...aimerais-tu que je m'occupe de ton petit anus ?"

Le plaisir me submerge totalement tandis-que le jeune homme contrôle totalement mon corps. Il le magne sans grosse difficulté. Je me retrouve allongée, le ventre contre le matelas, dos à lui.

_ Dis-moi Emi...aimerais-tu que je m'occupe de ton petit anus ? me demande Arnold.

Rien que d'entendre sa proposition m'excite. Je tremble de plaisir, mon corps est totalement submerger par mon bonheur.

_ Oui oui .. je veux begayais-je doucement.