Une drôle de rencontre. [PV Arnold Steele]

_ Oui oui .. je veux

Ma proposition malhonnête met Emi dans un état incroyable, une folle excitation. Je souris, et lui retire son tee-shirt, libérant sa divine poitrine. Totalement soumise, elle n'attend plus que je m'occupe de son petit trou.
Je lui pétris le popotin d'une main, l'autre caressant son petit bouton sous elle avec délicatesse. J'alterne ainsi la ( relative ) brutalité et la douceur. Ensuite, je me penche et, tout en la masturbant toujours, je commence à lécher son petit orifice. Je le lave, le suce, je le bouffe presque, sans cesser de jouer avec son clitoris.
Je recueille ensuite la cyprine avec ma main, et je lubrifie le petit trou avec avant de la pénétrer. Là encore, je commence en finesse, très lentement, attendant de pouvoir entrer le plus loin possible à l'intérieur. Chose faite au bout de quelques instants.

Puis, sans prévenir, je force l'allure de mes coups de reins. Je ne me retiens plus. C'était comme si mon seul but était de déchirer cet orifice, de l'élargir, que sais-je encore.
Je me couche sur Emi pour mieux la sodomiser. J'attrape de nouveau ses seins et je les malaxe rageusement. Le lit tangue sur ses pieds, d'avant en arrière. La fureur des sens est la plus forte. Emi et moi ne savons plus ou nous habitons. Seul comptait l'orgasme qui arrivait.

Soudainement Arnold accélère le rythme, cela me surprend mais je tiens néanmoins le choque. Au fur et à mesure il s'allonge sur mon dos pour ainsi mieux me prendre. Je m'agrippe au draps puis je serre les dents. Le plaisir m’atteins de plus en plus et je le fais savoir à Arnold en criant de plaisir.

_ Putain c'est trop bon grognais-je.

L'alternance de la violence et de la douceur me plaisais énormément, il restait doux tout en étant le dominant de la situation. Mon coeur battait la chamade, mon corps était bouillonnant de plaisir, mon sexe était parfaitement lubrifié de cyprine et moi j'étais débordante de plaisir.

_ Putain c'est trop bon.

Cela résume parfaitement ce que nous pensons à ce moment précis. je me régale à un point qu'il n'est même pas possible de décrire avec des mots ou n'importe quel autre moyen d'expression. L'anus de Emi était brûlant comme l'enfer, je n'allais pas pouvoir retarder encore longtemps le moment de l'extase. Je donne des coups de reins secs et nerveux, mes bourses claquant le cul de ma partenaire. J'entends un bruit de craquement, sans savoir si c'était un des pieds du lit ou une des barres soutenant le sommier qui était en train de céder sous nous. Dans un effort surhumain, je parviens à articuler :

" Emi, je crois que ton lit va s'écrouleeeeeeeeeeeeeeer ! "

Non, le lit ne s'est pas ( encore ) effondré. C'est juste moi qui atteint l'orgasme au moment ou je finis ma phrase. Un flot de sperme chaud suinte de l'anus de la demoiselle. Un peu confus, je comprends que je viens littéralement de lui inonder son petit trou d'amour.
J'étais vidé. Haletant, je me couche à nouveau sur le dos d'Emi, dont je parviens à entendre les battements de coeur. Epuisé, je balbutie timidement :

" Merci ma belle...."

J'entends un gros craquement, Arnold qui parle puis je le sens jouir sur moi. Mon corps se calme, puis Arnold s'écroula sur mon dos. Je tourne lentement la tête puis dépose un doux baiser sur sa joue. Je reste comme ça un petit temps puis me décale légèrement.Tout d'un coup je sentis le lit partir, l'arrière s'était écrouler et Arnold et moi glissâmes. Nous atterrîmes par terre, je me retrouve assise à califourchon sur ses cuisses tandis-que lui est semi assis contre le lit totalement penché. J'explose de rire puis pose ma tête contre son épaule. Je prend du temps pour me calmer mais ne me déplace pas pour autant.

Le fou-rire qui nous prend à cet instant, je ne l'oublierais pas de sitôt. C'était une situation tellement cocasse et classique à la fois ! Le lit n'avait finalement pas tenu le coup à cause de nos débats et se retrouve à présent penché sur le côté. Un vague sentiment de culpabilité m'envahit. Emi allait-elle devoir désormais devoir dormir à même le sol sur un matelas par ma faute ? On dirait bien malheureusement, dans un premier temps tout du moins.

" Désolé ma chérie, j'y suis allé un peu fort cette fois..."

Je suis assis contre le lit penché, Emi sur moi. Je lui caresse les cheveux quelques secondes, puis je la relève un peu pour lui sucer les mamelons. Je ne me lasserai jamais de voir d'aussi beaux seins, surtout de si près. Je lèche, je tête presque. Puis, de façon automatique, je relève très légèrement Emi pour la pénétrer à nouveau. Je la vois remuer aussitôt. Je continue à jouer avec sa poitrine. C'était notre ultime étreinte de la soirée, je le savais. Je voulais que cela se termine en apothéose...

Arnold me regarde puis s'attaque doucement à mes seins. Je rejette légèrement la tête et ferme les yeux. Peu après, il me soulève lentement puis me met en position de façon à ce qu'il me pénètre. Je sourie gentiment puis pose mes bras autour de sa nuque avant de commencer à faire des mouvements de bas en haut avec mon bassin. Le plaisir m'atteins une nouvelle fois, ce gars à un don pour le sexe. Je rigole doucement à cette pensée puis sourie encore à Arnold.

_ Putain t'es .. t'es trop bon dis-je.

_ Putain t'es .. t'es trop bon ...

J'étouffe un rire. Je vais finir par prendre la grosse tête avec tous les compliments que Emi me fait ! Mais j'essaie de nuancer mes mérites :

" Je suis bon, mais uniquement parce que ma partenaire est exceptionnelle...."

Nous échangeons alors un long et doux baiser, tandis que Emi continue à jouer du bassin sur mon sexe. Elle se penche ensuite et je commence à lui mordiller tout doucement le lobe de l'oreille. Je l'embrasse sur tout le visage, progressivement, et même dans le cou. Je lui pelote la poitrine, et finit par glisser deux doigts dans son anus pour la stimuler des deux côtés à la fois. Un autre orgasme vint nous surprendre, certes pas aussi intense que le précédent mais franchement satisfaisant tout de même. Nous sommes à bout de forces, en nage, fatigués, mais incroyablement heureux. Je l'enlace et lui murmure des mots d'amour à l'oreille, avant de la porter dans la salle de bain pour nous rafraîchir.

L'orgasme finit par nous atteindre, comme une douce et délicieuse caresse. Arnold m'embrasse un peu partout, moi je souffle doucement pour calmer mon hardant plaisir. Nous nous écroulons tout deux, comme des loques jusqu'au moment où il se relève. Il fit un pas vers moi puis me pris dans ses bras, comme une princesse. Je pose ma tête contre son torse puis ferme les yeux. Il se dirige surement vers la salle de bain où se trouve une petite douche ( je n'aime pas particulièrement les douches communes ). Il me garde toujours dans ses bras, tandis-qu'il met la douche en route. Doucement il se place en-dessous du pommeau, lorsque l'eau froide dégouline sur nous je sourie et profite. Je tourne lentement ma tête vers la sienne puis je dépose un baiser dans son cou, puis sur sa mâchoire, sur sa joue pour finir sur ses lèvres. Je pose une main sur son torse.

_ Bonne nuit dis-je dans un dernier souffle.

Mes yeux se ferme définitivement et mon corps s'abandonne dans ses bras.