Arrivée discrète [libre]

_ Pardon mademoiselle. Qu'est-ce que vous faites dans ma salle ? La salle d'étude est au rez-de-chaussée !

Je sens bien que la jeune fille est timide, elle bafouille, n'ose pas me regarder. J'avoue que ça me plaît assez bien.

_ J'ai du mal à comprendre la partie sur le plaisir, me dit-elle timidement.

Une fois encore, je souris. Je sens là une occasion à ne pas manquer. Avec le plus d'assurance possible, je me tourne un peu vers elle, me collant encore un peu plus.

_ Le plaisir ? Le plaisir, c'est une partie assez compliquée de l'éducation sexuelle. Ca ne s'apprend pas vraiment. Ca se… ressent !

Je lui souris à nouveau, essayant de la rassurer un peu. Puis je pose sa main sur sa cuisse.

_ Tu l'as déjà ressenti ?

Est-ce mal de ma part de vouloir profiter de la timidité et de l'innocence de Leïla ? Je ne sais pas. Je ne crois pas. Alors je tente le coup et remonte encore un peu plus ma main le long de sa cuisse. J'arrive là où sa jupe se termine. Sa peau est douce, j'hésite à monter encore un peu plus. Je sens qu'elle frémit, elle se met à trembler. L'un de mes doigts finit par glisser sous sa jupe.

_ C'est dommage. Il faudrait que tu le ressentes pour bien comprendre… Tu aimerais que je t'aide pour ça ?

Ça main remonte de plus en plus le long de ma cuisse, et s'arrête à la limite de ma jupe. Mes yeux se baladent partout face à ce mal être qui me prend. Doucement, un de ses doigts glisse un peu sous ma jupe. Je me tords les doigts avec gêne.

_ C'est dommage. Il faudrait que tu le ressentes pour bien comprendre… Tu aimerais que je t'aide pour ça ?
_Je... Je ne sais pas...

Qu'est-ce que je dois faire ? Le repousser en m'enfuir en courant ? Le laisser faire ? Mon corps refuse totalement de bouger, tandis que mon esprit aimerait connaître la suite.

Ma main est à moitié sous sa jupe, mais Leïla est tétanisée, impossible de bouger. Elle a peur mais est indécise. Si elle n'avait vraiment pas voulu, me dis-je, elle m'aurait déjà repoussé. Aussi, je décide de passer à une autre technique. Une technique plus autoritaire.

Alors, sans retirer ma main de sous sa jupe, je lui dis, sans paraître trop méchant :

_ Ecarte tes cuisses.

Sa main est maintenant totalement sous ma jupe. Avec une voix autoritaire, il me demande d'écarter les cuisses. Je tourne brusquement la tête vers lui, les yeux écarquillés.

_N... Non, je... je...

Je suis au bord de la panique. Si j'avais sur que ça tournerais comme ça... Je ferme les yeux et espère de tout cœur, avec la peur au ventre, qu'il ne me redemande pas ça.

Voilà que Leïla se met à paniquer. Elle tremble de plus en plus. Je ne sais pas si ma technique autoritaire marche vraiment, mais je décide de continuer un peu. Ma main est toujours sur sa cuisse, et n'a pas vraiment bougé depuis tout à l'heure. Je la caresse doucement, pour essayer de la détendre.

Puis je m'avance vers elle, rapproche ma bouche de son oreille, et lui dit, en léchant doucement son lobe d'oreille :

_ Si tu veux savoir ce qu'est le plaisir, écarte les cuisses, s'il te plait.

Son visage se penche vers moi. Il murmure doucement à mon oreille.

_ Si tu veux savoir ce qu'est le plaisir, écarte les cuisses, s'il te plait.

Et il me lèche le lobe de l'oreille. Je frissonne aussitôt et ferme les yeux. Contre mon gré, mes cuisses se relâchent légèrement et se décalent de quelques millimètres l'une de l'autre. Bon sang qu'est-ce qu'il m'arrive... Ce simple geste m'a totalement fait perdre ma volonté ! J'arme de nouveau mon esprit pour tenter de lui résister à la prochaine occasion.

Leïla finit par céder, et dessere les cuisses. Juste un tout petit peu. Ce n'est pas grand chose, mais ça me permet de remonter ma main un peu plus haut. Le bout de mon doigt vient titiller le tissu de sa petite culotte. C'est bien, mais il m'en faut plus.

Alors avec mon autre main, je viens moi même écarter ses jambes. Ainsi, j'arrive à poser ma main entièrement sur sa culotte. Mes doigts ne tardent pas à s'activer sur sa fente, à travers le tissu.

_ Ce sera beaucoup comme ça, tu ne crois pas ? lui dis-je toujours à quelques millimètres de son oreille.

Par mon action, sa main remonte un peu plus pour arriver devant mon intimité. Je sens un frôlement contre ma culotte, le bout d'un de ses doigts. De son autre main, il m'écarte doucement un peu plus les cuisses pour avoir un accès un peu plus facile. Cette fois, il pose sa main entière sur mon sexe, et à travers le tissu commence à me caresser mon intimité. Sa bouche toujours proche de mon oreille, il me murmure :

_ Ce sera beaucoup comme ça, tu ne crois pas ?
_O... Oui, dis-je dans un souffle.

Ses caresses me procurent des sensations étrangères à mon corps. Dans un premier temps je me suis contractée avant de me relâchée. Des fourmillements se font ressentirent dans le bas de mon ventre. Je suis en train de perdre le contrôle, mes pensées sont dans un brouillard total. Je me retrouve avachie sur ma chaise, mes cuisses maintenues écartées par la main experte de l'homme, ma tête légèrement basculée en arrière.

Au fur et à mesure que mes doigts s'activent sur sa culotte, Leïla cède. Elle finit par s'avachir sur sa table, les cuisses grandes ouvertes. Sous mes doigts, je sens que sa culotte s'humidifie. Légèrement pour l'instant, mais je sais que ça va empirer. Je continue, pousse mon pouce contre son clitoris, je veux la faire céder encore plus.

Je lui chuchote de nouveau :

_ C'est beaucoup mieux comme ça en effet. Est-ce que tu sens le plaisir qui monte tout doucement ?

Et tout en lui parlant, je défais un à un les boutons de son chemisier…

_ C'est beaucoup mieux comme ça en effet. Est-ce que tu sens le plaisir qui monte tout doucement ?

Tout en parlant, son pouce vient se poser sur mon clitoris. Un courant fort me fait frémir, un frémissement qui parcoure ma colonne vertébrale. Je soupire d'aise. Des ondes de chaleur traverse mon corps, perturbe la presque totalité de mes sens. Je ne parvient pas à lui répondre. Régulièrement, au rythme des mouvements de sa main, je pousse un soupire à peine audible. Son autre main a finit par lâcher ma cuisse pour monter vers ma chemise, défaisant mes boutons les uns après les autres. Je ne bouge pas, ne tente pas de l'en empêcher, bien trop occupée à comprendre les réactions de mon corps. Lentement, mais sûrement, je me retrouve avec ma chemise ouverte, laissant voir ma poitrine gonflée par ma respiration, maintenue dans ma lingerie. Les pans de mon haut, désormais libre de tous mouvements, glissent peu à peu sur les côtés, au rythme de mon souffle.

Un à un, je défais les boutons de son chemisier, jusqu'à découvrir son soutien-gorge, assorti à son uniforme et largement rempli par une belle poitrine. Ses seins montent en rythme avec sa respiration, de plus en plus forte. Je pose ma main sur l'un de ses seins, le caresse tendrement. Je sens déjà son téton pointer légèrement à travers la lingerie.

Mon autre main, elle, continue de masser le sexe de Leïla. Je la sens de plus en plus humide. Afin de voir ce que je fais, je relève rapidement sa jupe sur sa taille. Cela me permet de voir qu'en effet, une grosse tâche humide orne sa petite culotte.

_ On dirait que le plaisir commencer à monter, lui dis-je à l'oreille. Tu as vu comme tu mouilles ?

Sa main ayant fini de déboutonner mon haut, elle vient se poser doucement sur l'un de mes seins pour commencer à le caresser. Sous sa main, ma poitrine se durcit, de même que mon téton. Son autre main, affairée sur mon sexe qui se gonfle doucement, lâche sa prise pour remonter ma jupe. Je baisse les yeux, et aperçois une tâche naissante sur ma culotte désormais libre de sa main. Sa bouche est toujours proche de mon oreille, je sens son souffle chaud sur mon cou.

_ On dirait que le plaisir commencer à monter. Tu as vu comme tu mouilles ?
_Oui... Murmurais-je à mon tour.

Je tourne légèrement ma tête pour me retrouver joue contre joue avec lui. Je perds le total contrôle de moi-même. Une de mes mains prend la main de mon beau professeur qui maintenait ma jupe pour la replacer doucement sur mon sexe, et recommencer ses douces caresses plaisantes que j'accompagne. Très plaisantes. Quant à ma main libre restante, elle se place sur sa cuisse que je commence à caresser.

_J'aimerais que vous continuez professeur, dis-je tout bas à son oreille. Grâce à vous, je commence un peu à comprendre cette partie du cours...

Mes lèvres entrouvertes frôlent sa mâchoire. Ma respiration, qui s'était un peu calmée lorsqu'il a enlevé sa main de mon intimité, est redevenue saccadée par la reprise des légers mouvements.

Leïla tourne sa tête vers moi, nos deux visages sont maintenant côte à côte. J'entends sa respiration saccadée, ses légers gémissements. Lorsque sa main vient replacer la mienne sur sa culotte, je me dis qu'elle a désormais entièrement cédé au plaisir, et je souris en y pensant. Mon idée se confirme lorsqu'elle vient caresser ma cuisse.

Je me mets alors à caresser de nouveau son sexe, à travers le tissu désormais trempé de sa culotte. Nos bouches se frôlent, je caresse sa joue du bout de mes lèvres.

_ Ne t'en fais pas, lui dis-je. Je ne compte pas m'arrêter en si bon chemin.

Accompagnant mon geste à la parole, j'écarte doucement sa culotte pour dénuder son sexe. Lorsque j'y mets le doigt, elle frémit. Je la sens trempée, son clitoris est déjà gonflé de plaisir. Je me mets alors à la masturber, un doigt sur son petit bouton, l'autre allant et venant le long de sa fente.

Ma respiration, au départ silencieuse, devient un peu plus audible. Ses lèvres parcourent mon visage dans un frôlement.

_ Ne t'en fais pas. Je ne compte pas m'arrêter en si bon chemin.

Il commence à écarter ma culotte avec ses doigts. Son autre main continue les caresses sur ma poitrine. Au contact d'un de ses doigts sur mon sexe à moitié découvert, un frémissement me prend. La sensation est totalement différente. Il reprend doucement ses caresses intimes, un doigt jouant légèrement avec mon clitoris tandis qu'un autre fait des allers et venus dans ma fente humide. Je gémis de plus en plus fréquemment, ma main qui était sur la sienne le quitte pour se cramponner fermement au bord de la table devant moi tandis que l'autre active les caresses sur sa cuisse. Sans me rendre compte, ma main monte peu à peu sa cuisse.

_Hmmm... Hmmm...

Ma main sur son sexe s'active de plus en plus. Mon pouce titille son clitoris, et c'est maintenant deux doigts qui vont et viennent sur sa fente, tentant de la pénétrer légèrement. Mon autre main est toujours sur sa poitrine, et pour plus de facilité, je sors l'un de ses seins de son soutien-gorge, et joue doucement avec, titille son téton.

Leïla se met à gémir, et sa main remonte doucement vers la bosse que mon sexe forme sur mon pantalon. J'en profite pour l'embrasser, suçant ses lèvres et enfonçant ma langue dans sa bouche. Je descends ensuite ma tête, suce son téton, devenu très dur, et remonte l'embrasser.

Ma main, entre ses cuisses, a du mal à agir aisément. Sa culotte me gêne toujours. Je retire alors mes doigts un instant, et lui dis :

_ Enlève ta culotte, s'il te plait. Et écarte les cuisses en grand.

Il plaque ses lèvres sur les miennes et vient jouer avec ma langue. Puis, il les quitte un court instant pour descendre sur mon sein et suçoter mon téton. Mon corps se cambre légèrement sous l'effet, manque de me faire glisser de ma chaise. Il reprend sa posture initiale lorsque ses lèvres reviennent sur les miennes. Très vite, il retire ses doigts et me dit avec une voix désireuse :

_ Enlève ta culotte, s'il te plait. Et écarte les cuisses en grand.

Le souffle court, je me lève. Les mains tremblantes, je peine à faire glisser ma jupe et ma culotte le long de mes jambes. Dans le même temps, je retire ma chemise qui n'est désormais d'aucune utilité. Il ne reste plus sur moi que mon soutien-gorge, qui ne retient que l'un de mes deux seins. J'écarte légèrement les jambes de mon professeur et m'assoit à califourchon sur ses genoux. De cette manière, je me retrouve les fesses à moitié dans le vide, maintenue par mes jambes plus écartées que précédemment, face à lui. Je lui demande timidement :

_Co... Comme ça ?