Inspection des lieux (Pv Mark)

Je m'agenouille sans la quitter des yeux, et écarte délicatement ses cuisses. Son sexe est à quelques centimètres de moi, fraichement épilé, et d'où coule déjà quelques gouttes d'excitation. Je regarde de nouveau Abby, et lui dis :

_ Surtout une gentille infirmière comme toi. C'est si excitant.

Et je plonge alors ma tête entre ses cuisses. Je l'embrasse juste au-dessus de la fente, puis descends. Je trouve rapidement son clitoris, déjà bien excité, et me mets à le sucer. Je le suce, fais tourner ma langue autour. Je me sers de ma langue pour ouvrir ses lèvres, et gouter à son nectar. Délicieux.

_ Ecarte bien les cuisses, lui dis-je avant de replonger la tête sur son sexe.

Là, deux doigts viennent caresser sa fente, et s'y enfoncent progressivement. Les gémissements que j'entends me font tourner la tête, et mon érection est à son comble. Je commence à aller et venir en elle, la faisant de plus en plus mouiller. Jusqu'à faire une tâche sur le drap …

Le regard de mark a quelque chose de captivant, j'y dénote une lueur de lubricité qui désinhibe, chez moi, la plus petite barrière de doute. J'esquisse un sourire à ses paroles, me demandant quel genre de torture il pourrait m'infliger si je ne restais pas gentille... Mes pensées se dissipent très vite lorsque je sens les lèvres de mon partenaire se poser sur ma peau et descendre vers mon intimité. Je pousse un couinement aiguë et incontrôlé lorsqu'il s'attarde sur mon clitoris. Je suis d'une sensibilité à toute épreuve, le moindre effleurement sur cette partie de mon corps suffit à m'exciter et me faire gémir. Je ne le quitte pas des yeux et sourit à ses paroles.

"Très bien... Si cela peut être utile à ta personne."

Je me recule légèrement du bord du lit, écartant totalement les cuisses et vient poser mes pieds sur le bord du lit. Je suis consciente que de cette façon, je m'offre totalement à lui et qu'il aurait une emprise totalement sur mon intimité. Sa langue m'arrache quelques petits couinements de plaisir mais là où je me laisse totalement transporter... Lorsque je sens ses doigts s'enfoncer en moi, me faisant mouiller de plus belle. Je bascule la tête en arrière et me mets à gémir au rythme de ses vas-et-viens... Il est doué, c'est à devenir folle ! Je mouille de plus en plus, je peux même pas cacher l'excitation qui a envahie mon corps...

Je continue de lécher, sucer et lécher encore la fente désormais dégoulinante d'Abby. Son sexe a un goût exquis, et là tout de suite, je me vois très bien la lécher jusqu'à la fin de mes jours. Je la regarde tout en lui faisant du bien, je trouve très érotique sa façon de jeter sa tête en arrière, de fermer les yeux et de gémir. Ça me fait bander encore plus. Faut dire que j'aime ça, lécher. C'est ce que je préfère. C'est ce que j'ai fait en premier lorsque j'ai eu des rapports pour la première fois étant gamin. Lécher est ce qui m'excite le plus. Ou presque.

Mes deux doigts s'activent toujours en elle, se frottant aux parties intimes de son corps. Puis, je décide d'en insérer un troisième. Je ne veux rien brusquer, mais je veux savoir jusqu'où elle peut aller. Mon troisième doigt rentre, assez facilement. Et tandis qu'avec mon pouce, je me mets à titiller son clitoris, je fais la même chose à son petit trou avec mon cinquième doigt. Ma main entière s'affaire désormais pour connaître les limites d'Abby.

Et presque sans m'arrêter de lécher, les yeux toujours rivés sur elle, je lui dis :

_ On dirait que ça te plait pas mal, ce que je te fais ?

Il n'y a pas à chipoter, Mark est doué... Peut-être même un peu trop pour ma petite personne. Il sait exactement quoi faire et quand le faire pour m'arracher des couinements tous plus aiguës les uns que les autres. Je sens mon corps vibrer de l'intérieur, des frissons s'écoulant le long de mon dos... Il est entrain de me rendre complètement folle et, par la même occasion, fait monter une chaleur sans précédent en moi. Malgré le fait que mes paupières soient close, je sens son regard posé sur moi... Cela me déstabilise un peu, j'ai l'étrange sensation de rougir un peu. Pourtant je me laisse transporter par le plaisir que me procure le traitement du professeur.

Un gémissement incontrôlé se fait entendre alors que je sens qu'il fait entrer un autre doigt en moi... Je bouillonne de l'intérieur, mon peau est frémissante, ma respiration se saccade à cause de l'excitation qui m'envahie. Quant à mon intimité... Jamais personne ne m'avait mise dans un tel état, je ne pense pas avoir besoin de vous faire un dessin. Je me montre de plus en plus sensible, les attentions portaient sur mon clitoris m'arrachent de petits sursauts de plaisir. J'ouvre les yeux en l'entendant parler, mon regard glissant jusqu'à finir par croiser le sien. J'esquisse un sourire et passe ma main dans ses cheveux.

"C'est plus que je ne l'aurais imaginé... Tu vas me faire perdre la tête Mark..."

Je me mords la lèvre doucement, avec une petite pointe de provocation. Mes gémissements, bien que nombreux, se font doux et réguliers. Je connais les limites de mon propre corps et s'il continue à jouer avec chaque parcelle de ma peau, chaque parcelle de mon intimité... Je finirais par baisser les armes.

A ce que je comprends, à ce que je peux voir, entendre, sentir, goûter… Abby aime le traitement que j'impose à son corps. Ses gémissements sont de plus en plus nombreux, son corps tremble, sa main dans mes cheveux m'invite à continuer comme ça. Non. A redoubler d'effort. Quant à son sexe, il est inondé, déborde de plaisir, et c'est avec un plaisir non dissimulé que je l'avale entièrement. Entre deux coups de langue, je me permets d'ailleurs de lui dire :

_ Jamais vu… une chatte… si juteuse… et si délicieuse…

Un brin de provocation ne peut pas faire de mal !
Mes doigts accélèrent maintenant dans son sexe, et le petit doigt, qui jusqu'alors ne faisait que frôler son petit trou, s'y fraie un chemin. Rapidement, la cadence accélère de nouveau, jusqu'à la doigter férocement. Mes lèvres toujours vissées sur son clito, je lui dis :

_ Je veux te voir jouir… maintenant !

Même si je voulais dire le contraire, je n'aurais pas pu cacher le plaisir que je prenais. J'aurais pu dire que je n'aimais pas ça, mon corps m'aurait trahi de toute façon. Je rougis de plaisir mais aussi d'une certaine gêne, en sentant le regard de Mark fixer sans cesse. Pour être honnête, je crois que le lit (encre vierge de toute visite jusqu'à maintenant) va devoir subir quelque changement de draps... Je mouille tellement que ma cyprine s'écoule ainsi jusqu'au drap blanc sur lequel je suis assise. Les paroles de mon partenaire me figent un instant, j'ignore comment je dois réagir si il me provoque ou pas, s'il dit pour me flatter ou pas ou s'il dit ça pour le plaisir. Malgré tout, j'esquisse un sourire ; ma main parcourt toujours avec douceur la chevelure de Mark en guise d'unique réponse.

J'écarquille un peu les yeux en le sentant accélérer le rythme des choses. Un gémissement aiguë et furtif s'échappe d'entre mes lèvres... Je me cambre avec sensualité, me mettant à gémir plus fortement et plus régulièrement. Je ferme les yeux, ma respiration est irrégulière au possible. Ma poitrine se relève et s'abaisse de manière saccadée. Plus ce cher professeur accélère le rythme, plus je me mets à gémir avec une grande intensité. Je trembles de plaisir, ma main s'agrippe aux draps du lit, je cherche à me contenir encore un peu...

Je relève mes paupières en l'entendant parler, mes iris bleutés se posent sur son regard. Il cherche donc à me faire jouir ? Là ? Maintenant ? Je plonge mon regard dans le sien, me mordant la lèvre en continuant de gémir sous son traitement. Après quelques secondes, mon corps se mets à vibrer comme jamais... Ma main se crispe dans la chevelure de Mark. Mes paupières se ferment, ma tête bascule en arrière, mon corps se cambre sauvagement. Je rompt définitivement le silence de l'infirmière en poussant un cri de plaisir, un spasme parcourant mon corps sous la délivrance de la jouissance...

"Oh... Mon dieu... Mark !"

J'accélère ! Encore ! Encore plus vite ! Encore plus fort ! Je veux la rendre folle, lui offrir un orgasme ravageur qui la laissera sur le carreau. Alors surtout, je ne m'arrête pas. Les gémissements d'Abby, de plus en plus forts, ne suffisent pas pour camoufler les bruits humides qui proviennent de sa fente à chaque aller-retour de mes doigts à l'intérieur.

Levant un œil rapidement sur elle, je la vois qui part presque en transe, son corps convulse, elle halète. Je sens sa fin proche. Puis, quand je sens ses muscles se contracter autour de mes doigts, j'y vais à fond. Avec ma bouche, j'aspire son clito, et récupère tout son fabuleux nectar grâce à quelques coups de langue. Je ne m'arrête pas un seul moment pendant tout son orgasme. Je lèche, je suce, j'avale, et je vais profondément en elle avec mes doigts. Je ne m'arrête que lorsqu'elle est inerte sur le lit, dévastée par la jouissance.

Alors, je me relève, la regarde allongée sur le lit. Pour ma part, je suis de plus en plus excité. Mon sexe est tendu à mort ! L'attrapant entre mes doigts, je regarde Abby et lui dis :

_ Tu es fatiguée ?

Même le temps ou mon corps est foudroyé par un plaisir des plus intenses, je sens que mark ne s'arrête pas, continuant chacun de ses gestes. La situation prolonge ma jouissance, m'arrache des cris de bien-être. C'est à se demander s'il ne cherche pas à me pousser dans mes derniers retranchement, à tester mes limites. Je finis par me laisser retomber sur le lit, mes mains se décrispant doucement. Les yeux fermés, je reprends mon souffle en douceur, un léger sourire sur les lèvres. En tout honnêté, aucun de mes anciens partenaires ne m'a jamais fait autant de bien. Sans même être passée à l'état supérieure, Mark a réussi à me faire jouir avec une grande intensité.

Je rouvre doucement les yeux, fixant le plafond en inspirant longuement. le silence a repris ses droits, la chaleur qui a envahie la pièce est loin d'être à son comble. Je souris en entendant le professeur parler, mon regard dérive lentement dans sa direction. Je le détaille un instant, sans chercher à me faire discrète, j'ai l'impression que son érection est plus imposante qu'il y a quelques minutes. Je me redresse un peu, m’asseyant en tailleur sur le lit. Fatiguée ? Moi ? Pas déjà ! Pas maintenant ! Surtout que Mark éveille en moi une grande excitation !

"Ai-je l'air fatiguée Professeur ?"

Je me relève lentement, venant me positionner devant lui en souriant. Mes lèvres effleurent les siennes avec sensualité et douceur, ma poitrine s'écrase un peu contre son torse, la chaleur de son corps me fait frissonner. Je passe ma main sur son sexe, titillant son gland avant de glisser jusqu'à ses bourses, les massant délicatement. J'approche mes lèvres de son oreille et murmure avec une voix féline.

"Ne sais-tu pas... Qu'une femme est multi-orgamisque mon cher ? D'autant plus que je suis persuadée... Que tu es loin de m'avoir montré tes capacités."

_ Ne sais-tu pas... Qu'une femme est multi-orgamisque mon cher ? D'autant plus que je suis persuadée... Que tu es loin de m'avoir montré tes capacités.
_ Ça c'est sur et certain !

Abby s'est relevée de son orgasme, les cheveux en bataille, les joues roses d'excitation. Après s'être blottie contre moi, elle m'embrasse, et je lui rends tendrement son baiser. Ma main glisse dans ses cheveux, puis sa nuque, son dos. Sa main à elle enserre mon sexe. Elle le caresse doucement. J'ai définitivement envie de cette fille ! Je ne peux plus attendre, il faut que je la prenne !
Alors sans plus attendre, je la retourne. Un peu choquée sûrement je l'entends qui pousse un petit cri de surprise. Je me colle alors à elle, mon sexe collé contre ses fesses, tout d'abord. Je la maintien penchée sur le lit avec ma main sur sa tête. De mon autre main, j'écarte ses cuisses, puis me faufile, sexe à la main. Je bande très fort, et ne peux plus attendre plus longtemps. Après avoir posé mon gland à l'entrée de sa chatte, et ma main sur sa hanche, je commence à entrer en elle, doucement mais sûrement.

_ J'espère bien que tu vas l'apprécier, lui dis-je entre deux souffles

La réponse de Mark me fait sourire, cet homme est décidément très intéressant. Je pense que je ne suis pas au bout de mes surprise avec lui. Je me suis même curieuse de savoir de quoi il est capable. Il a testé mes limites mais l'inverse ne s'est pas produit. Je suis incapable de dire jusqu'où est-ce qu'il peut aller. Je prolonge le baiser que l'on s'échange avec tendresse, ma peau frémissant de plus belle au contact de sa main. J'ai à peine le temps de le savourer que je sens ses lèvres se détacher des miennes. La seconde qui suit Mark me retourne, face au lit, c'était un peu soudaine, un cri de surprise s'échapper d'entre mes lèvres.

Je tourne la tête pour le regard, je ne caches pas ma surprise. Sa main posée sur ma tête fait une légère pression, je suis obligée de rester penchée en avant. Je frissonne, son sexe tendu est appuyé contre mon fessier. Je bouge un peu mes fesses pour les frotter contre sa verge. Malgré tout, je le laisse prendre les commandes de la situation... Ainsi lorsqu'il écarte mes cuises, je termines par moi-même l'action. Je pose mes mains sur le bord du lit afin d'y trouver un certain appuis écarte un peu plus les cuisses. Je suis naturellement cambrée, ce qui offre à ce cher professeur un vu parfaite tant sur mon fessier que sur ma fente humide. Un petit gémissement de bien-être et soulagement se fait entendre, j'ai brisé le silence à l'instant même où il a commencé à venir en moi.

"J'en doutes absolument pas là... Elle est si grosse ♥"

Je me mords la lèvre en soupirant d'aise. Pour mon premier jour au pensionnat, je commence plutôt bien... Mark m'aide plutôt bien à m’imprégner des lieux.

Je m'enfonce lentement en elle, mais je m'y enfonce entièrement. J'entends Abby qui gémit au passage de mon sexe, se cambrant pour mieux me laisser faire. Mes mains sur ses hanches, je commence de lents va-et-vient.

_ J'en doute absolument pas là, me dit-elle… Elle est si grosse.

Joli compliment. Je ne suis certes pas vraiment démuni. Pas un monstre non plus. Ça effrayerait toutes les demoiselles ! Non, je suis juste bien avec ce que j'ai, et tant mieux si Abby aime ce que j'ai à lui offrir. Pour toute réponse, un petite "merci" discret, et un coup de reins qui me propulse en elle un peu plus violemment.

Tout en la pénétrant, je caresse ses fesses, son dos… puis encore ses fesses. Elle a un petit cul parfait, et qui me donne envie. J'ai envie de le claquer, de laisser les marques de mes mains dessus. Mon problème est que je n'ai strictement aucune idée de si Abby est adepte ou pas. Si je la claque et qu'elle n'aime pas ça, je pourrais très bien me retrouver avec un coup de pied dans les couilles. Chose que je n'apprécierais pas… Oui mais bon… Je continue à la caresser, j'enfonce mon sexe au maximum dans le fond de son vagin. Abby gémit, de plus en plus fort. Et je crois que ça part tout seul…

Ma main se lève, et s'abbat sur son fessier, sèchement. A deux reprises…

Il y a des sensations dont on ne se lasse jamais... Le frisson, qui prends naissance dans mon corps et qui parcourt mon dos en sentant Mark me pénétrer, est terriblement excitant et agréable. Je n'arrive même pas à réprimander un peu gémissement d'aise. Même si dans les secondes d'après, d'autres commencent à se faire entendre, j'ai toujours pensé que le premier gémissement, sortant d'entre mes lèvres, laissait sous-entendre la suite des évenements et le plaisir que j'allais ressentir. Mes mains se resserrent un peu sur le lit qui me sert de point d'appuis. Je me cambre quelque peu sous les mouvements de mon partenaire, gémissant un peu plus.

Je pousse un couinement aiguë sous son coup de rein, mon corps vibre légèrement en le sentant s'enfoncer toujours plus en moi. Ses caresses me font frémir comme jamais, ma peau ne cesse de frissonner, de s'impregner de la chaleur que dégagent ses mains. Mon excitation prends de l'ampleur, Mark me rends vraiment désireuse de sa personne. J'entends un claquement, tout en sursautant par la même occasion. Mon fessier picote, s'échauffe... Un second claquement, je lâche un couinement, je frissonne... Mark vient de me fesser deux fois de suite. Je me surprends à avoir aimé ça, je bombe alors les fesses et balance la tête en arrière pourle regarder, ma chevelure rosée s'écoule sensuellement le long de mon dos.

"Hummm Mark... Encore, t'arrêtes pas... C'est si bon !!"

Moi qui pensais que peut-être, Abby n'apprécierait pas. Je ne pensais pas me tromper autant. Les deux fessées la font sursauter, frémir, mais de plaisir. Si bien que je la vois qui se cambre encore un peu plus, m'offre ses fesses. Elle les offre à mes mains qui tremblent d'impatience. Elle me dit de ne pas m'arrêter… elle ne sera pas déçue.
Tandis que mon sexe pénètre le sien de plus en plus vigoureusement, mes mains s'abattent sur son derrière à une cadence qui elle aussi accélère progressivement. Ses fesses tirent vite sur le rose. Une couleur qui colle parfaitement avec ses cheveux, qui tombent dans son dos de manière tout à fait érotique, et que je finis par attraper pour la faire se cambrer encore un peu plus. J'alterne fessées et caresses, mes doigts agrippent ses fesses, les malaxe, les écarte… parfois un doigt vient caresser son anus. Mon sexe, lui, ne faiblit pas, et c'est maintenant avec force que je la pénètre.

_ On dirait que tu aimes te faire baiser comme ça, non ?

Même dans mes paroles, je deviens de plus en plus virulent…

Le jeune homme trina un peu la jambe car il boite en marchant . Son pantalon du genre jean est entaillé à plusieurs endroit , pour faire mode , mais aussi sous les fesses et là c'est plutôt pas fait exprès il semblerait .

Oui bon d' accord je me suis légèrement blessé seulement . ok c'est de ma faute, vouloir passer par dessus le grillage au lieu de faire le tour, c'était une connerie , mais bon !

Son regard va à droite et à gauche comme il avance dans le couloir , sans doute cherche t' il quelque chose .
Enfin voilà je me suis entaillé le poignet un peu mais surtout le bas de la fesse et là ça saigne quand même un peu . Mon pantalon est taché de sang , pas l 'hémorragie hein mais quand même je sens que cela a du mal à coaguler .

Il porte la main où semble sa blessure et regarde sa main tachée d'un sang épais , il grimace . Alors sa main va rester pour faire compresse jusqu' à trouver comment se soigner . personne dans les couloirs , peut être un peu de bruit dans le fond justement il avance dans cette direction .
Donc je chercher l' Infirmerie il doit bien y en avoir une dans cette école non ?
Une demie heure à chercher quand même .

Du bruit enfin un peu , derrière , il ouvre la porte et entre .

Il y a quelqu'un ? J 'ai besoin de soins !

(Euh je peux savoir ce que tu viens faire là ? C'est un rp privé t'as pas à t'incruster.... Je ne prends pas à compter ta présence dans notre sujet.)

Je me surprends moi-même à éprouver du plaisir alors que je viens de recevoir deux fessées. Mon corps tout entier s'est mis à frissonner de plaisir, je crois que j'ai définitivement perdu tout contrôle. J'en arrive même à demander à Mark de recommencer. Je bombe mon fessier, lui le loisir de faire ce que bon lui semble à compter de maintenant. Les sensations de picotements reviennent en force, il semblerait que mon cher partenaire n'est pas perdu de temps pour affliger mes fesses de nouvelles fessées. Cela finit par m'arracher des petits soupires d'aise au beau milieu de mes gémissements.

Je sens une pression se faire sur ma chevelure, m'obligeant à me cambrer plus encore que d'habitude. Je garde ma tête basculée en arrière, les assauts de Mark se font de plus en plus intense et les sons qui sortent d'entre mes lèvres s'en font ressentir. Ma peau ne cesse de frissonner sous ses caresses, mes mains serrent les draps du lit de plus en plus fort. J'ouvre les yeux en l'entendant parler et tourne la tête pour le regarder, un sourire mi-gênée mi-narquois sur les lèvres.

"Tu n'as pas idée du plaisir que je prends mon cher."

Je suis empourprée de plaisir et d'envie envers mon partenaire. Ma peau est brûlante de désire, ma chevelure a quelques mèches collées sur son visage et mes épaules. Ma poitrine fait de nombreux soubresaut sous les coups de reins de Mark. Mes gémissements sont déformés par des petits cris hors-de-contrôles. Il est littéralement entrain de me faire perdre pied.

[ Oui Sean, s'il y a écrit PV, c'est que c'est privé, entre deux personnes. Tu n'as pas à venir t'incruster si tu n'y as pas été invité. Merci de retirer ton message s'il te plait.]

Mes coups de reins ne s'arrêtent pas, mais je sens l'orgasme monter doucement. Mes mains ne faiblissent pas, et je claque son fessier avec le même enthousiasme ! A la couleur de sa peau, je dirais que Abby aura du mal à s'assoir un moment. Tant pis, je ne m'arrête pas, et continue. J'avoue ne jamais avoir eu trop de pitié. Enfin… pas sur le moment en tout cas. J'ai lâché ses cheveux, aussi, et m'amuse maintenant à enfoncer mon doigt dans son anus. Je le fais aller et venir, testant la résistance de Abby face à cette pratique. Apparemment, ça ne la dérange pas plus que ça.

Abby se retourne et me regarde, son visage porte les stigmates du sexe : les cheveux dans tous les sens, les joues roses et la bouche encore ouverte par le plaisir. Mon Dieu, cette infirmière va me tuer de plaisir ! Je sens d'ailleurs monter la sève, de plus en plus vite. Sans m'arrêter pour autant, je passe ma main sur ses fesses et son dos, et lui dis :

_ Tu vas me faire jouir d'une minute à l'autre, vilaine fille !!

(Désolée c'est court, j'ai plus très envie de faire des réponses "longues" puis je suis fantomatique de toute façon... ^^")

Je suis entrain de subir les assauts de Mark, littéralement. Il est clair que je viens de perdre le contrôle de moi-même. Et je réalise que mon partenaire semble avoir une certaine emprise sur ma personne. Il est rare que j'accepte de me faire fesser de la sorte, ou même de réussir à y éprouver du plaisir. Ma pensée a été plus rapide que ma raison, j'ai fini par lui dire de continuer. J'en payerais sans doute les conséquences plus tard. Mais qu'importe ! Le plaisir éprouvait est bien trop plaisant pour passer outre cette situation. Mark me rends folle, et j'ai l'impression que j'y prends goût.

Ses caresses me font frémir, alors qu'un gémissement de bien-être se fait entendre lorsque mon partenaire glisse l'un de ses doigts dans mon anus. Je crois que c'est le détail de trop, mes gémissements se transforment définitivement en cris de plaisir. J'ignore combien de temps je peux encore tenir dans de telles circonstances... Tous les critères sont réunis pour que je sois foudroyée d'un orgasme sans précédent. En plus de ça, mon corps tremble de plaisir, mes mains sont crispées sur le lit. Je continue malgré tout à observer Mark, ses paroles me font frémir. Je finis par sourire, j'ai beau avoir le souffle court et entre-coupé de gémissements, j'arrive encore à balbutier quelque chose d’intelligible.

"J... Je tiendrais pas... Très longtemps... N... Non plus..."

[ Arrête Abby Tu sais bien que pour moi tu n'es pas fantomatique du tout ! ]

Mon doigt dans son anus a l'air de décupler son plaisir. Ce qui, du coup, décuple le mien également. Ses cris m'excitent. Sa manière de se cambrer sous mes coups de reins m'excite. L'entendre gémir de plaisir ainsi m'excite et je sens que je ne vais pas tarder à jouir. Cependant, je ne veux m'arrêter qu'au dernier moment. Mon doigt dans son anus ne la lâche donc pas, et mon autre main vient se placer sous elle, sur son clitoris pour être exact. Je veux qu'elle jouisse en même temps que moi.

Je sens rapidement ma sève monter, et accélère mes doigts sur son petit bouton. Mais vient le moment où je ne peux plus rien faire. Je sens les muscles d'Abby se contracter autour de mon sexe quand je me retire. Ma main reste sur son clito le plus longtemps possible, il en va de même pour mon doigt dans son anus. J'espère qu'elle aura eu le temps de jouir. Car très vite je la retourne pour qu'elle me fasse face. Et éjacule abondamment sur son corps.

Je finis par baisser la tête, mes yeux se fermant lentement. Mes autres sens se décuplent légèrement, surtout le toucher... Ma peau est réellement frémissante, c'est à à la fois une sensation très agréable mais qui me rends vulnérable. Je ne cherche pas non plus à faire semblant pour être honnête. Mais j'ai peur que tout cela réveille en moi des facettes que je cherche à fuir depuis longtemps... Des parties de ma personnalité dont j'ai un peu peur, que je n'ose pas assumer. J'essais de faire celle de rien, même si j'ai l'impression qu'une porte a été ouverte... Je demande comme réagirait les hommes s'ils se rendent de mon plaisir face à la domination...

Je sors soudainement de mes pensées, ayant l'impression qu'une décharge électrique à foudroyée mon corps... Mes cris se rapprochés, très rapprochés, trop significatif. Mark a touché un point sensible en s'attaquant à mon clitoris, je suis très réceptive sur ce plan... Il est entrain de m'attaquer de toutes les façons possible, je sens que j'ai définitivement atteint ma limite. Soudainement alors que je le sens se retirer, un spasme se forme au niveau de mon bas-ventre avant de terrasser tout mon corps. Je bascule ma tête en arrière, lâchant un cri de plaisir qui résonne dans la pièce. Je sers les draps du lit trop fort, mon ongles ont transpercés les draps, sans doute de la mauvaise qualité, tant pis.

A peine ai-je le temps de recouvrer mes esprits que je sens que mon partenaire m'attraper pour me placer face à lui. La seconde suivant, je sens (et vois) son sperme heurte ma peau, ce qui m'arrache un frisson de bien-être. Un sourire aux lèvres, je m'empresse de récolter un peu de la semence du professeur sur le bout de mes doigts avant de les porter à mes lèvres. Pendant quelques secondes, je suce mes doigts, goûtant et avalant le sperme de Mark. Puis, malgré l'état second dans lequel je me trouve tant le plaisir fut intense, je me fais rattraper par les tremblements de mon corps. Je viens m'asseoir sur le bord du lit, dégageant ma chevelure en arrière avant de regarder le professeur.

"Seigneur ! Mark... C'était juste parfait!"

D'une main, je parviens à la retourner, lui faisant ainsi face. Mon sexe crache son venin sur elle en moins de temps qu'il n'en faut pour le dire. Eclaboussant ainsi le bas de son visage, et surtout sa poitrine. Abby est encore en train de trembler quand j'éjacule sur elle. Les muscles de son corps sont tendus. Peut-être est-ce le signe de l'orgasme qui vient de la terrasser. Si c'est le cas, le timing est parfait. Je tremble, d'ailleurs, moi aussi. Mes jambes ont du mal à porter mon corps. Ma main, elle, est accrochée à mon sexe comme si elle ne pouvait plus le lâcher. Après un dernier râle bestial, je m'assieds sur le lit à côté d'elle.

_ Seigneur ! Mark… C'était juste parfait !
_ Viens-tu de m'appeler Seigneur Mark ? J'aime bien ! dis-je en rigolant

Puis je passe ma main sur sa cuisse, son ventre, la courbe de son sein.

_ Ca a été parfait pour moi aussi, mademoiselle l'infirmière Abby, lui dis-je avec un sourire. Il faudrait que je vienne me faire soigner le dos plus souvent.

Me relevant, je marche entièrement nu dans l'infirmerie, malgré les grandes vitres qui donnent sur le parc. Je m'assois sur son siège en cuir en la regardant avec un petit sourire en coin.

_ Je pense que je vais avoir beaucoup de petits bobos à faire soigner…

Je reprends mon soufle peu à peu avec un peu de difficulté pour être honnête. Je ferme un moment les yeux pour me concentrer sur ma respiration. Mes joues doivent être empourprée suite au plaisir et au bien-être époruvée, ma peau est encore légèrement frémissante et brulante. J'ai l'impression d'avoir courru le marranthon pendant des heures... Même si ce qui viens de se passer est vraiment plus intéressant. Je rouvre les yeux en entendant Mark s'asseoir puis me parler. Je crois les jambes et me laisse retomber sule matelas du lit. Appuyée sur mes avants-bras, j'esquisse un sourire des plus sincère avant de frémir au contact de sa main. Mon regard azuré vient rapidement se perdre dans le sien, je reste silencieuse pour le moment.

Ce professeur sait s'adresser à ses partenaires après avoir couché avec. Je n'ose meme pas imaginer le nombre de ses conquêtes, ça me filerait le tournis. Je fais passer le bout de mes doigts le long de son dos, devaleant sa colonne vertabrale en douceur avant de le suivre du regard lorsqu'il se releve. J'hausse un sourcil amusé en le voyant prendre place dans me siège. A mon tour je me relève et enfile ma blouse blanche. Je laisse ouverte malgré tout. Je ne me suis pas débarassée du sperme de Mark, il est toujours présent sur mon corps.

"J'ai l'impression que monsieur le professeur aime qu'on lui accorde du pouvoir."

Je souris avec une certaine tendresse, m'approchant de lui avant calmement. J1n profite pod
ur me recoiffer, ne plus avoir les cheveux en batail au moins. Une fois arrivée devant lui, je me penche un peu en avant, mes mains se posant sur les accoudoirs du siège. La proximité est telle que ma poitrine effleure son torse en douceur, mes yeux bleutés scrute longuement le regard de Mark. Je viens par approcher mes lèvres de son oreille.

"Viens te faire soigner tous les bobos que tu veux, quand tu veux... Ma porte t'est désormais toujours ouverte Mark."

Je regarde Abby se lever à son tour et enfiler sa blouse d'infirmière. Uniquement sa blouse, qu'elle ne ferme pas, d'ailleurs. Je vois encore son corps luisant de mon sperme. Abby s'approche de moi, tout en félinité, gracieuse.

_ J'ai l'impression que monsieur le professeur aime qu'on lui accorde du pouvoir, me dit-elle.

Oups. Je crois que je suis démasqué. Sans rien dire pour l'instant, je souris en la regardant s'approcher encore un peu plus. Abby se penche sur moi, et sa blouse s'ouvre instantanément. A quelques centimètres de moi, son regard est plongé dans le mien, et sa poitrine frôle mon torse. A l'oreille, elle me dit :

_ Viens te faire soigner tous les bobos que tu veux, quand tu veux… Ma porte t'est désormais toujours ouverte Mark.
_ Merci, lui dis-je en souriant, j'apprécie.

Puis je passe mes mains sous sa blouse, et les pose sur ses hanches. Redescendant sur ses fesses, je lui dis :

_ Mais dis moi, j'ai l'impression que mademoiselle l'infirmière aime qu'on la controle… J'ai tort ?

Je reste penchée vers Mark, mes joues ont repris une teinte normal bien que légèrement rosée. J'ai fini par redescendre sur terre, c'est dommage quand on y pense. Malgré tout la proximité de nos corps et le simple fait de sentir ma poitrine effleurer son torse m'arrachent quelques faibles frissons d'aise. Il est clair que si toutes les visites de Mark à l'infirmerie se termine ainsi, il va rapidement devenir mon patient préféré. D'autant plus que je prend rapidement goût au bonnes choses.

Un doux frisson parcourt légèrement mon dos lorsque je sens les mains du professeur sur ma peau. Je ne le quitte toujours pas des yeux, plongeant mon regard dans le sien et sourit doucement avant de bomber mes fesses. Je perds rapidement mon sourire en l'écoutant parler et affiche une petite moue qui souligne soudainement ma gêne. Je ne pensais pas être découverte aussi facilement, moi qui fais tout mon possible pour cacher cette facette de ma personnalité. J'empourpre brutalement, mes joues sont terriblement rouge et je détourne le regard.

"Non, en effet... Tu vises juste... Le fait d'être dominée à tendance à m'exciter quelque peu... Voir beaucoup trop."

A ma question, le visage d'Abby se décompose légèrement. Je souris, tandis qu'elle me répond :

_ Non, en effet… Tu vises juste… Le fait d'être dominée a tendance à m'exciter quelque peu… Voir beaucoup trop.

_ Tu sembles gênée, lui dis-je tout en continuant mes caresses le long de son corps. Il ne faut pas. Il faut dire que j'ai le chic pour deviner ce genre de choses, il faut m'excuser. Mais si tu as envie d'être dominée…

Je la fais alors tourner afin qu'elle se retrouve face au bureau, me tournant le dos. Je continue alors :

_ … je pourrais t'aider à combler cette envie, lui dis-je en remontant sa blouse, puis en caressant ses fesses. Nous pourrions beaucoup nous amuser…

Je ponctue alors ma phrase par une fessée sur le cul d'Abby.

Je regarde le mur blanc sur ma droite, ma gêne est impossible à masquer. C'est étrangement d'être démasquée aussi rapidement et pour être honnête, ça m'a littéralement fait perdre mes moyens. Autant je peux arriver à me cacher derrière une carapace autant là elle vient d'être brisée en milles et un morceaux. Les caresses de Mark sur mon corps sont agréable, j'apprécie grandement et me mets à frisonner. J'aime bien ce genre d'attention, et la sensation est plus plaisante pour tout dire.

Je l'écoute parler avant de me retrouver face à mon bureau. j'hausse un sourcil, tournant la tête pour le dévisager sans trop comprendre. La suite de ses paroles me fait rougir comme jamais alors que je bombe mes fessier comme par reflex sous ses caresses. Je couine sous sa fessée, ma peau frémissant pendant un bref instant... Je reste pourtant silencieuse, et commence à croire que cet homme aime prendre ses partenaires de dos. Ça reste un peu dommage, j'aime aussi pouvoir me trouver face à mon partenaire de jeu par moment, l'échange de regard peut avoir un côté très intéressant. Je finis par parler avant de pouvoir réfléchir concrètement, comme-ci ce que j'avais toujours voulu cacher finissait par ressortir.

"Alors dans ce cas... Amusons-nous! Domines-moi Mark..."

Je crois que je viens d'ouvrir la boîte de Pandore. J'ai laissé tombée le masque... Et pourtant si vous saviez comme l'idée d'être soumise à un homme comme Mark commence à éveiller mon excitation.