A la recherche d'un modèle (Mark - suite)

Je pénètre Leïla avec hargne, désormais. Mes coups de reins sont violents, et me propulsent profondément dans son jeune sexe. Ma main sur ses fesses ne tarde pas à les claquer. Comme par réflexe. Quelques fessées, ça ne fait de mal à personne. Mon autre main descend de ses cheveux à son dos, passe devant elle et vient titiller les pointes de ses seins, dures comme de la pierre. Je les pince, les tourne sur eux-mêmes.

J'ai envie de la torturer, d'en faire mon esclave. J'ai également envie de la faire jouir, je veux qu'elle jouisse en étant à ma merci. Aussi, je descends ma main le long de son ventre, et arrive sur son clitoris. Je me mets à titiller celui-ci, et lui dis :

_ Tu aimes quand je te prends comme ça ? Que je te maitrise ?

Sa main claque mes fesses, me faisait crier plus fort que d'ordinaire. Son autre main, quant à elle, lâche ma tignasse pour descendre sur mon dos et me faufiler entre le mur et mon corps pour s'occuper d'un de mes tétons tendu à l'extrême. Ce geste me fait soupirer. Puis, il glisse sur mon ventre pour atteindre le début de mon sexe. Ses doigts se glissent entre mes lèvres gonflées à souhait pour toucher mon clitoris et commencer à le titiller activement.

_ Tu aimes quand je te prends comme ça ? Que je te maitrise ?
_ Oui ! Oui j'aime ça ! Maitrise moi encore !

Ses mouvements, ses actions me mettent dans un état de supplice.

Leïla approuve ce que je lui fais, et il ne m'en faut pas plus pour redoubler d'effort ! Mes coups de reins sont dévastateurs, je grogne et la fais grogner de plaisir également. L'une de mes mains caresse toujours son clitoris, l'autre lui inflige toujours quelques bonnes fessées. Doucement, la peau de ses fesses rougit.

Débordant de confiance, j'en profite pour écarter doucement ses fesses, découvrant son petit trou. Et sans jamais m'arrêter de violemment baiser sa fente, je crache un gros paquet de salive sur son anus. Je la caresse un instant à cet endroit, avant d'enfoncer mon majeur à l'intérieur. Intégralement.

Ses coups de reins redoublent d'intensité, nous faisant émettre des sons de plaisir. Mes fesses commencent à me picoter là où tombe la main de Mark. Mais j'aime ça, une petite fessée ! Très vite, je sens mes fesses s'écarter et quelque chose de liquide tomber sur mon anus. Un de ses doigts vient me caresser l'orifice quelques instants, me faisant frissonner. Puis, il entre ce qui me semble être la totalité de son doigt. Un cri m'arrache la gorge. Je tremble littéralement, et essaie de reprendre mon souffle. Mais c'est peine perdue devant ses coups de reins qui me défoncent le sexe !

Lorsque j'enfonce mon doigt dans son anus, Leïla se met à crier. Elle ne doit pas être habituée à ce genre d'intrusion. Pour contrecarrer la douleur, je redouble d'intensité les caresses sur son clitoris. Mais ce n'est pas pour autant que je retire mon doigt, et au contraire, je commence à le faire aller et venir, en rythme avec les va-et-viens de mon sexe en elle.

Tout ce petit manège m'excite énormément. L'entendre gémir, la sentir trempée sous mon sexe et très serrée sous mon doigt… Je suis au bord de l'orgasme, mais je me retiens le plus possible. Essayant toujours de lui donner autant de plaisir que possible, je lui dis :

_ Tu m'excites trop! Tu vas me faire jouir si tu continues.

_ Tu m'excites trop! Tu vas me faire jouir si tu continues.
_ T... Toi aussi !!!

Je suis au bord de l'orgasme. Être prise partout en même temps, au même rythme, m'a amené directement un début d'orgasme. Je n'arrive plus à respirer, je tremble violemment, mon ventre se tord. Le volume de ma voix monte d'un cran. L'orgasme commence à sortir. Je prends appuis le plus possible contre le mur pour ne pas m'écrouler.

Rapidement, le rythme de Leïla s'emballe, son corps tremble, elle respire difficilement. Peu de temps après, je sens les muscles de son vagin se contracter autour de mon sexe, ceux de son deuxième orifice se contractent également autour de mon doigt. Prenant appui sur le mur, Leïla se met à jouir bruyamment.

Il ne m'en faut pas plus pour faire de même, et dans le même temps, je décharge mon sperme au fond du vagin de la jeune fille. J'ai l'impression d'en deverser des litres ! Je reste jusqu'à la fin de mon orgasme en elle, et même encore un peu plus, puis je me retire. Mon sexe commence à dégonfler, le sien dégouline de nos semences. Je retire mon doigt de son cul en dernier. Je veux le sentir serré à l'intérieur.

Je la retourne ensuite et l'embrasse, lui envoyant un sourire qui veut tout dire.

Peu de temps après le début de mon orgasme vient celui de Mark. Mon vagin se retrouve noyé dans sa semence. Mais il ne sort pas tout de suite, il attend la fin de son propre orgasme avant de retirer tout d'abord son sexe, puis son doigt. Nos deux liquides coulent le long de mes cuisses tremblantes. Je sens la main de Mark sur mon bras pour me retourner et m'embrasser avec un grand sourire satisfait. Je souris à mon tour et répond à son baiser. Le jet d'eau, toujours en fonction, nettoie mon corps peu à peu.

_ Vous êtes un professeur vraiment généreux, murmurais-je en reprenant le vouvoiement, sans quitter ses lèvres.

Leïla répond à mon baiser avec fougue. Elle avale quasiment mes lèvres. J'enfonce ma langue dans sa bouche, suce la sienne. Puis elle se recule légèrement de moi pour me dire à quel point elle me trouve généreux. Je la serre encore plus près de moi, l'embrasse de nouveau. Ma main glisse le long de son corps mouillé, j'arrive sur ses hanches, je tourne sur ses fesses, glisse un doigt entre les deux.
Titillant du bout des doigts son anus et le bas de sa fente, je la regarde dans les yeux, et continuant de l'embrasser, je lui dis :

_ J'ai encore beaucoup à te donner, si tu le désires vraiment. Je ferai de toi la plus gâtée sexuellement de cette école !

Peu après mes paroles, il vient serrer mon corps contre le sien. Une de ses mains glisse le long de mon dos, passe sur mes fesses, et place un doigt au niveau de mon anus. Ses lèvres sont collées aux miennes, ses yeux ne me lâchent pas...

_ J'ai encore beaucoup à te donner, si tu le désires vraiment. Je ferai de toi la plus gâtée sexuellement de cette école !
_ Oui... Je le veux...

Je place mes bras autour de son cou et répond passionnément à ses multiples baisers.

Leïla m'embrasse, acquiesçant à toutes mes propositions ! Je lui rends son baiser, l'embrasse vigoureusement, enfonce ma langue dans sa bouche. Mon doigt, calé entre ses cuisses, se fait un chemin entre ses fesses et pousse contre son anus, comme quelques minutes auparavant. Je commence un léger va-et-vient dans son canal étroit, avant d'enfoncer un autre doigt dans son vagin encore tapissé de mon sperme.

_ Si tu acceptes, tu te donneras entièrement à moi. Tu prendras du plaisir comme jamais tu n'en as pris, mais je ferai de toi une dépravée, assoiffée de sexe ! Et tu ne pourras plus faire machine arrière. Toujours partante ?

Il finit par faire entrer son doigt dans mon anus et fait de léger va et viens. Mes soupirs reprennent, mon souffle chaud vient balayer sa peau nue, mes cuisses s'écartent légèrement. Une de mes mains descend avec douceur le long de son torse pour venir caresser du bout de mes doigts fins son sexe chaud. Je le sens frémir sous mes légères caresses, et je fais de même lorsqu'il place un doigt dans mon vagin. Nous nous caressons mutuellement avec délicatesse, le sexe de Mark commençant à se redresser de quelques centimètres, tandis que moi je me fais doigter par mes deux trous à la fois.

_ Si tu acceptes, tu te donneras entièrement à moi. Tu prendras du plaisir comme jamais tu n'en as pris, mais je ferai de toi une dépravée, assoiffée de sexe ! Et tu ne pourras plus faire machine arrière. Toujours partante ?
_ Oui... Mon corps t'appartient, tes mains sur ma poitrine et mon sexe chaud me manquent tous les jours où l'on ne se voit pas... J'ai envie de toi, encore et encore !

_ Oui... Mon corps t'appartient, tes mains sur ma poitrine et mon sexe
chaud me manquent tous les jours où l'on ne se voit pas... J'ai envie de
toi, encore et encore !

Voilà qui me fait sourire comme jamais. Cela annonce une très bonne période, une période de plaisir et de sexe avec Leïla. Je retire alors mes doigts des deux orifices de la jeune fille, et lui prends la main. J'ouvre la porte de la douche, et l'amène jusqu'aux lavabos.
Nous sommes encore tous les deux nus. Et n'importe qui pourrait venir dans la pièce et nous voir. Mais qu'importe. Seul le plaisir compte, à cet instant. Je la plaque alors contre un lavabo, face au miroir. Nos corps sont mouillés, mais rien qu'en nous regardant, nous pouvons voir le désir flamber en nous. Me collant contre elle, mon sexe raide contre la raie de ses fesses, je lui dis :

_ Mets ta main entre tes cuisses et touche toi. Je veux que tu te vois quand tu prendras du plaisir et deviendras une dépravée !

Il retire ses doigts pour me prendre la main et nous faire sortir de la cabine. Le bruit de nos pas mouillés résonnent dans toute la pièce. L'air y est plus froid qu'à l'intérieur de la cabine et me donne une légère chair de poule, augmentant les sensations ressenties. Brusquement, Mark me plaque contre les lavabos glacés. En relevant un peu mon visage, j'aperçois mon reflet. Je le sens se plaquer dans mon dos, son sexe de nouveau tendu collé contre mes fesses. Le contact de sa peau enflamme mes sens, son souffle chaud dans mon cou me fait soupirer.

_ Mets ta main entre tes cuisses et touche toi. Je veux que tu te vois quand tu prendras du plaisir et deviendras une dépravée !

Aussitôt je fais lentement glisser mes pieds sur les côtés pour écarter les jambes. Je fixe son regard au travers du reflet, et sans lâcher prise, je fais glisser une de mes mains sur mon ventre puis mon sexe. Doucement, je caresse mon clito.

Collé contre Leïla, elle-même collée contre le lavabo, je la regarde glisser une main entre ses cuisses. Elle commence à s'activer, en bas, et me regarde fixement. Je la regarde également, mais ne tarde pas à me décaler légèrement pour lui claquer le derrière.

_ Regarde toi ! lui dis-je. C'est toi la putain dans l'histoire.

Et pendant qu'elle continue, je continue à me frotter contre ses fesses. Mon sexe est dur, mon gland est déjà luisant. Ma main attrape l'un de ses seins, joue avec le téton bien dur, le pince, le tire, le torture.
Puis j'attrape mon sexe, et le fais glisser entre ses fesses. Je m'amuse alors à en frotter le bout de sa fente mouillée à son anus.

_ Et ne t'arrêtes surtout pas.

Il se décale légèrement et me colle une fessée. Ce geste me fait pousser un gémissement, avant que ça ne redevienne des soupirs.

_ Regarde toi ! C'est toi la putain dans l'histoire.

Il se recale contre moi et frotte son sexe extrêmement dur contre mes fesses. Une de ses seins passe devant moi pour prendre un de mes seins, puis s'attaquer tout spécialement à mon téton. Je pousse désormais de bruyants soupirs, la bouche constamment entrouverte. Quelque chose vient s'installer entre mes fesses avant de faire des allées et venues le long de ma fente humide.

_ Et ne t'arrêtes surtout pas.

Je ferme les yeux et repose l'arrière de ma tête contre son épaule. De cette manière, sans le vouloir, mon corps se cambre. J'accélère légèrement les mouvements de ma main, et lorsque je sens son gland contre mes doigts, je profite de se court instant de croisement pour le titiller légèrement.

Leïla finit par poser sa tête sur mon épaule. Ses caresses lui font un bien fou, et je la sens déjà prête à jouir. D'autant qu'avec mon sexe, je n'arrête pas de caresser sa fente. Je la titille, la fait mouiller encore un peu plus. Tout en se caressant, ma jeune étudiante saisit mon sexe, le masturbe légèrement. Mais je me dois de la remettre à sa place, et lui pince le téton très fort !

_ Ne t'occupes pas de moi, ne t'occupes que de toi.

Je prends alors mon sexe à pleine main, et commence à rentrer mon gland en elle, entre les lèvres de sa chatte. Je prends bien soin, évidemment, de ne pas la pénétrer, mais seulement de lui donner très envie.

Mon geste me valu un pincement fort sur mon téton, me faisant émettre un petit cri.

_ Ne t'occupes pas de moi, ne t'occupes que de toi.

Je hoche faiblement la tête et continue à me caresser avec intensité. Mes gémissements deviennent de plus en plus réguliers, de plus en plus forts. Les frottements de son sexe m'excitent terriblement ! J'ai envie... Vraiment envie... De lui... Son corps... Ses mains... Et je pense qu'il va enfin me combler lorsque que je sens son gland entrer en moi. Mais je me suis trompée, il ne va pas plus loin. Je tremble littéralement de désir, et je tente de résister à la tentation de lui sauter dessus.

Mon gland est coincé entre les lèvres de son sexe, et je bouge à peine. Je la tiens par les hanches, et la regarde se toucher dans le miroir. Je lui ordonne de continuer, surtout, de ne pas s'arrêter ! Je la sens qui tremble contre moi, et je m'amuse à la torturer encore un peu. Je m'avance d'un demi centimètre en elle, avant de me reculer de deux. Mes mains sur ses hanches glissent sur son ventre, vont tripoter ses seins, retournent dans son dos, tirent ses cheveux, viennent pétrir ses fesses… Je lui envoie une ou deux claques, tout en me retenant de lui enfoncer mon sexe profondément en elle. Car oui, j'en ai envie, moi aussi… Mais je me retiens. Entre deux fessées, je lui dis :

_ Jouis sur mon sexe, et je te baiserai comme tu le mérites.

Il pénètre un peu plus en moi avant de se retirer légèrement, me faisant gémir de désir. Une torture... Il n'y a pas d'autres mots. Puis, il promène ses mains sur mon corps : mes hanches, mon ventre brûlant, mes seins qu'il caresse (gémissements intenses de ma part), mon dos, mes cheveux, mes fesses. Et les claques tombent, me faisant crier à chaque coups. J'aime... Punaise, qu'est-ce que j'aime... Mes gestes accélèrent encore, triturant mon bouton jusqu'à ce que les premiers spasmes arrivent.

_ Jouis sur mon sexe, et je te baiserai comme tu le mérites.
_Oui ! Oui !

Je ne retiens plus mes cris. Ses fessées si excitantes et mon clito si gonflé, si torturé par ma main... L'orgasme sort, fort, de ma gorge, de mon sexe désormais dégoulinant de mouille.

Mes claques tombent, de plus en plus fort, sur le postérieur de Leïla. Lorsque je lui ordonne de jouir, il faut peu de temps à la jeune fille avant de s'exécuter. Je sens son corps trembler comme une feuille, ce qui ne m'empêche pas de continuer à la fesser. La jeune étudiante crie comme une folle, si elle n'a pas alerté tout l'internat, ce sera un miracle !

Et pendant qu'elle jouis, ravagée par l'orgasme, je décide de m'enfoncer en elle. D'un coup, en attrapant ses reins. Mon sexe la pénètre, se cale entièrement en elle. Je fais un aller-retour, puis deux, puis trois. Puis je ressors. J'attrape mon sexe, et pose cette fois mon gland sur son anus. Et les mains toujours accrochées à ses reins, je commence à pousser et à m'enfoncer progressivement entre ses fesses.

Malgré mon orgasme, il continue ses intenses coups de rein, avant de ressortir de mon sexe. Ma fente grande ouverte dégouline abondamment. Presque aussitôt après, il vient poser son gland contre mon anus et pousse pour entrer peu à peu. C'est la première fois... Ce n'est pas vraiment agréable pour le moment, mais je pense que ça va passer. Mes cris se calment doucement, laissant place à mes halètements nombreux.

Lorsque j'entre dans son anus, je sens le corps de Leïla se tendre. Je sais bien que c'est sa première fois, pourtant ses fesses étaient si accueillantes que je n'ai pu me retenir ! Alors l'agrippant par les hanches, je m'enfonce doucement en elle. Doucement, mais entièrement. Son trou est serré, et pour tout avouer, je m'y sens très bien.

_ Détends toi. Tu finiras par apprécier.

Après quelques aller-retours très lents, je lâche ses hanches pour passer une main sur son sexe. Sa fente est vraiment trempée ! Je glisse deux doigts à l'intérieur, pour bien les lubrifier, puis remonte sur son clito. Alors, en accélérant progressivement la cadence entre ses fesses, je commence à branler son petit bouton.

Il entre en entier dans mon anus et ne bouge plus pendant quelques secondes.

_ Détends toi. Tu finiras par apprécier.
_ Je te fais confiance pour ça...

Il commence à bouger avec lenteur, ses mains sur mes hanches avant dans lâcher une. Celle-ci vient frôler mon ventre pour arriver sur mon sexe. Sa main me fait frémir d'excitation. Je sens deux de ses doigts entrer légèrement dans mon sexe, me faisant gémir d'envie. Il a raison... Je deviens assoiffée ! La cadence de ses coups de reins montent légèrement, mais de quoi me faire tout de même haleter de nouveau. Je tremble comme une feuille et tiens à peine sur mes jambes. Mais je résiste. Ses doigts son mon sexe glissent avec douceur jusqu'à mon clito, qu'il commence à titiller. Mes souffles brûlants laissent place à de petits gémissements réguliers. Je succombe... Mes mains se cramponnent aux lavabos devant moi, d'ailleurs mon torse s'est détaché du sien pour se pencher en avant sous l'effet du désir. Ma tête se retrouve plaquée contre le carrelage du mur glacé, mon buste est avachi sur les lavabos qui servent désormais d'appuis, mes jambes sont largement écartées. Cette position plutôt étrange offre néanmoins un avantage particulier à mon partenaire : une vue imprenable sur mon sexe.

Au fur et à mesure, j'accélère mes coups de reins entre les fesses de Leïla. Mes doigts sont toujours collés à son clito, que je branle continuellement. J'accélère, et la jeune fille a l'air d'apprécier, petit à petit. Elle se penche en avant, s'accroche aux lavabos. Mes doigts, rapidement, sont recouverts de sa mouille, et je la sens qui coule d'entre ses lèvres.

_ On dirait que tu commences à apprécier, lui dis-je.

Alors j'accélère encore. Je la sodomise de plus en plus vite. Ma main accélère aussi entre ses cuisses, je maltraite son clitoris. Dans cette position, ses fesses me sont offertes comme sur un plateau. Je suis déjà en train de les défoncer, mais vu qu'elle avait l'air d'aimer ça tout à l'heure, j'arme ma main, la lève. Une première fessée s'abat bruyamment sur son derrière.