A la recherche d'un modèle (Mark - suite)

_ On dirait que tu commences à apprécier.

J'émets un grognement pour toute réponse. Il accélère, encore et encore. Il me défonce par derrière, il me fait crier mon plaisir. Ses doigts sur mon clito augmentent également le rythme. Puis, chose à laquelle je n'étais pas préparée, je me prends une fessée.

_Oui !!

Ce mot est sortit d'un seul coup d'entre mes lèvres entrouvertes. Mes seins pendent dans le vide et se balancent au rythme des mouvements bestiaux de Mark. Là où sa main a claquée, je ressens une chaleur plus intense que le feu qui me dévore.

Son cri me permet de prouver qu'en effet, Leïla aime mes fessées. Tant mieux pour elle. Car déjà, je lève de nouveau mon bras et la claque encore. Exactement au même endroit. Et du revers de la main, je lui claque l'autre fesse. Sans arrêter mes coups de reins, je me mets à lui envoyer une série de claques qui fait rapidement rougir sa peau. Leïla crie, halète, gémit. Sur sa fesse gauche, elle porte maintenant la trace de ma main. Mon sexe continue de la sodomiser sauvagement, et mon autre main est toujours en train de s'occuper de son bouton. La situation est terriblement excitante. Entre deux fessées, entre deux coups de reins, je lui dis :

_ Je veux que tu jouisses pendant que je te prends par derrière.

Plusieurs coups pleuvent sur ma fesse, au même endroit. Ma peau me pique. Mais je cri toujours, de plus en plus fort, à m'en faire bousiller ma voix. Je sens et sais que Mark prend son pied derrière moi au son de ses râles de plaisir. L'entendre aimer ça m'excite davantage. Mais l'orgasme reste cette fois coincé quelque part dans ma gorge...

_ Je veux que tu jouisses pendant que je te prends par derrière.

Je reste quelques instants sans bouger, avant de prendre l'initiative de bouger une de mes mains. Je la fais glisser péniblement vers mon sexe tout en évitant de gêner Mark sur mon bouton. Je fais glisser deux doigts dans ma fente. L'élément déclencheur me dévaste totalement. Mes cris redoublent, mon corps subit des spasmes violents.

Je sodomise violemment Leïla, la main perdue entre ses cuisses. Soudain, je la sens qui lâche le lavabo, et va elle aussi perdre sa main entre ses jambes. Elle essaye de me laisser la voie libre, et plonge ses doigts dans son sexe. Je retire alors la mienne, et lui dit :

_ Occupe toi de devant, je m'occupe de derrière.

Mes deux mains sont maintenant sur ses fesses. Je continue de la claquer, parfois mes deux mains s'y mettent en même temps. Je la griffe, écarte ses fesses, les malaxe brutalement. Mes coups de reins entre ses fesses s'accélèrent, et je sens doucement la sève monter. Je ne suis pas loin de jouir…

Il enlève sa main pour s'occuper uniquement de mon derrière. Je le remplace aussitôt, et me doigte violemment tout en pinçant mon bouton. Je perds haleine, ma gorge est lacérée. Je sens mon orgasme monter... monter... Pour se libérer enfin. Je mouille alors abondamment et trempe le sol entre mes jambes. Mes fesses me brûlent, je pense que je ne pourrais plus m'assoir pendant un moment... Derrière moi, je le sens se contracter de plus en plus régulièrement. Sa jouissance approche, tandis que moi, totalement épuisée, continue à me faire violemment sodomiser.

Tout en lui envoyant fessée sur fessée, je sens le corps de Leïla se tendre à l'extrême, ses muscles se contractent, elle pousse un grognement de bête. Elle vient de jouir alors que je la sodomise toujours, et ses contractions provoquent les miennes. Encore deux ou trois aller-retours, et j'éjaculerai dans son cul.
Mais ce n'est pas ce que je veux. Alors je me retire, au tout dernier moment, et me libère entièrement sur ses fesses. Mon sperme éclate, remontant jusque dans son dos et ses cheveux. Mais le principal gicle sur son derrière, et j'aime l'image que cela produit. Une très jolie paire de fesses, rougies par les claques, recouvertes de mon sperme. La scène est des plus excitantes.
Je me retire alors de son petit trou, le laissant légèrement élargi, et lui dit :

_ Tu as encore été parfaite. Mais il faut que tu ailles te coucher maintenant. Tu as cours demain matin.

Effectivement, peu de temps après moi, il lâche sa semence. Mais pas dans mon anus comme je le pensais au départ. Il est soudainement sortit de mon petit trou pour éjaculer sur mon postérieur et même légèrement dans mon dos. Nos souffles laborieux se font entendre dans toute la pièce. Rien d'autre.

_ Tu as encore été parfaite. Mais il faut que tu ailles te coucher maintenant. Tu as cours demain matin.

Je me redresse avec peine, et me retourne pour lui faire face, un sourire fatiguée sur le visage.

_Merci Monsieur. Ravie d'avoir pu vous faire... plaisir...

J'insiste sur ce dernier mot avec une voix mielleuse et un regard qui en dit long. Puis, je me dirige vers la douche, me rince rapidement et me sèche. J'enfile ensuite mes vêtements à la va vite, sans prendre la peine de mettre ma petite culotte. Elle est totalement souillée, et bonne pour la poubelle. Je crois qu'il va être temps d'aller refaire le plein... Sur ces pensées, je laisse en Mark avec, comme au revoir, un regard aguicheur et le passage de ma langue sur mes lèvres.